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BURKINA FASO

BURKINA FASO (427)

Le Prytanée Militaire du Kadiogo (PMK) célèbre ses 70 ans d’existence. Le lancement officiel des activités de cette commémoration a eu lieu le mercredi 17 mars 2021 à la salle de conférence de Ouaga 2000. Une occasion pour le PMK de faire un bilan de ses réalisations en 70 ans et de réfléchir à d’éventuelles perspectives.

1951-2021, cela fait 70 ans que le Prytanée Militaire du Kadiogo œuvre dans l’éducation civilo-militaire des jeunes du Burkina Faso et de ses pays amis. Et dans la matinée du 17mars 2021, anciens et actuels enfants de troupes, parents d’élèves, enseignants et autres invités venus des pays voisins étaient nombreux à ce rendez-vous.
Cette commémoration se tient sous le thème « Le Prytanée Militaire de Kadiogo, 70 ans d’excellence au service du Burkina Faso et ses pays amis de l’Afrique ». En sa qualité d’ancien pensionnaire du PMK, c’est Lassané KABORE, ministre de l’Economie, des Finances et du Développement et co-parrain qui a donné le clap d’ouverture de cette commémoration. « Cette école nous a beaucoup donné, elle nous a appris l’humilité. Et pense que ce qui permet au Burkina Faso de tenir, c’est l’humilité qui caractérise les fils et filles du pays, donc cette école est véritablement dans le tempo » témoigne Lassané KABORE. A l’endroit de tous ceux qui interviennent dans l’éducations des jeunes du PMK, il leur a demandé de maintenir la « discipline et la rigueur » qui a toujours été inculqué aux pensionnaires, car dit-il « rien ne peut se bâtir dans le désordre ».

« Pour toute la communauté des anciens enfants de troupes, 70 ans, ça mérite une célébration et ce sera l’occasion pour nous de faire un bilan pour voir ce que nous avons réalisé en 70 ans et d’envisager les perspectives pour voir comment on pourrait repositionner cette école afin que les pensionnaires puissent faire face aux défis d’Aujourd’hui » a affirmé le Commandant du PMK, Ismaël DIAOUARI

Plusieurs activités vont ponctuer cette commémoration. Il s’agit notamment des conférences, des activités socio-culturelles et sportives, des dons de vivres, une collecte de sang et une cérémonie de prise d’armes.

En rappel le Prytanée Militaire de Kadiogo est un établissement d’enseignement secondaire dépendant du ministère de la défense. Fondé par l’armée coloniale de France en 1951, l’école a pour principale mission de former moralement, physiquement et intellectuellement des cadres militaires et civils au profit de la nation.  Sa devise est « s’instruire pour mieux servir ».

La police nationale a tenu ce mercredi, 17 mars 2021 une conférence de presse à Ouagadougou pendant laquelle, elle a présenté les résultats de différentes investigations menées face à la recrudescence des attaques à main armée dans les centres urbains notamment la ville de Ouagadougou.

Suite à la recrudescence des cas d’actes de grand banditisme qu’a connu la ville de Ouagadougou lors du premier trimestre de l’année 2021, la police nationale a initié des opérations de sécurisation de la ville appelée « phase intensive et phase ordinaire ». Selon la police, cette opération a permis d’avoir pour résultat « une accalmie notable des actes d’agressions à main armée des agences de transfert électronique et autres points de commerce ». Aussi, elle a permis de réduire les cas de délinquance dans les différents arrondissements de la ville de Ouagadougou.

« À l’issue de la phase préventive, 7878 personnes contrôlées, 19 personnes interpellées et gardées à vue, 7157 personnes engins contrôlés et ou fouillés, 196 personnes sensibilisées et 20 engins mis en fourrière. Toujours dans cette phase préventive, plusieurs matériels ont été saisis pour des infractions comme la détention illégale d’arme à feu, les vols aggravés, le recel ; l’ivresse publique et manifeste, les destructions de biens publics, le défaut de carte grise, de plaque d’immatriculation et de documents d’identité. » a déclaré le Commissaire Principal de Police Sayibou GALBANE

Ainsi, pour la phase de répression, les investigations ont porté sur plusieurs cas d’attaques à main armée dont la série des attaques menées par des individus portant des casques dans les quartiers de Tampouy, Bassinko, Yagma, Nonsin, pissy et Bendogo entre le 11 novembre 2020 et le 17 février 2021.

Ces investigations ont abouti aux résultats suivants selon Sayibou GALBANE :

« Trente et une (31) personnes interpellées dans le cadre des investigations, huit (08) personnes gardées à vue pour acte de grand banditisme, vol et complicité de vol à main armée, et recel, Un (01) véhicule à quatre roues, neuf (09) engins à deux roues, sept (07) pistolets automatiques dont un (01) factice, deux (02) paires de menottes, des minutions de kalachnikov et de P A, six (06) paires de chaussures de marque Sebago, quatre (04) casques de motos, deux (02) blousons de couleur Noire, une (01) de gant de couleur noire, quarante-deux (42) téléphones portables et une somme de six cent mille (600.000) francs CFA.»

A cet effet, la police nationale note que plusieurs individus sont activement recherchés pour leur lien présumé avec les différentes attaques dans les villes de Ouagadougou et Bobo Dioulasso.  La Polic Nationale appelle la population à la franche collaboration pour endiguer les attaques à main armée dans la ville de Ouagadougou et environnants tout en l’invitant à éviter le port apparent des armes, d’éviter de manipuler des fortes sommes d’argent devant la clientèle car certains clients viennent « en éclaireur » pour s’assurer que vous avez assez d’argent avant le braquage, d’installer des caméras de surveillance dans les boutiques et si possible de s’offrir les services d’une société de gardiennage, de s’assurer de la bonne moralité des employés et d’éviter de rester ouvert au-delà de la nuit tombée.

Le gouvernement burkinabè par décret charge désormais le ministère de l’Education Nationale, de l’Alphabétisation et de la Promotion des Langues Nationales (MENAPLN) pour l’organisation du BAC. Un changement qui suscite de la colère de la part de certains élèves qui s’inquiètent de leur accès à l’université une fois cette réforme appliquée. Quelles sont les conséquences réelles de cette réforme ?  Ernest TRAORE, responsable aux relations extérieures du bureau national de la Fédération des Syndicat Nationaux des Travailleurs de l’Education et de la Recherche (F-SYNTER) pour mieux comprendre était l’invité de l’émission « Faut qu’on en parle » du mardi 16 mars.

Radio Pulsar (RP) : Comment s’organisait le baccalauréat jusque-là

Ernest TRAORE (ET) : Avant ce décret, le baccalauréat était organisé par l’Université en collaboration avec les acteurs du MENAPLN. Cette organisation comporte plusieurs étapes. Il y a l’étape de la proposition des sujets, l’étape de la sélection des sujets définitifs, et il y a enfin le déroulement du baccalauréat proprement dit.

R P : Parlez-nous de ces différentes étapes

E T : La proposition des sujets est faite par les enseignants du secondaire, qui généralement sont des enseignants de la classe de terminale. Après cela, il y a des commissions qui sont mises en place par l’université. A l’intérieur des commissions de sélection des sujets, il y a les enseignants du secondaire et du supérieur. Les enseignants du supérieur sont les responsables des commissions .
Vient enfin le déroulement des épreuves. Lors de cette étape, la présidence des jurys est assurée par les universitaires, parce que tout simplement, le baccalauréat est le premier diplôme universitaire.

R P : Est-ce que jusque-là, il y a eu des problèmes dans l’organisation du baccalauréat ?

E T : A notre niveau nous n’avons pas connaissance d’une quelconque difficulté liée à l’organisation du bac. Ce que nous savons c’est que à travers cette organisation, le baccalauréat est l’un des baccalauréats assez prisés. Et dans la sous-région, il fut un temps où certains candidats quittaient leur pays pour venir passer le baccalauréat ici, parce qu’ils estimaient que c’était un diplôme bien organisé, avec beaucoup de sérieux.

R P : Aujourd’hui on parle de confier l’organisation au ministère de l’éducation. Alors qu’est-ce qui va changer ?

E T : A ce niveau, le décret qui parle de l’organisation du bac est le décret portant attribution des membres du gouvernement. Nous disons que jusque-là il y a toujours un flou, parce que jusqu’à présent il n’y a pas encore de précisions. Sur la base donc d’information que nous disposons et par rapport à l’orientation politique des dirigeants. Si on tient donc de l’esprit du décret, c’est que désormais le baccalauréat sera un diplôme de fin de cycle des études secondaires. Cela signifie que tout élève titulaire du baccalauréat ne pourra pas s’inscrire automatiquement à l’université. Il sera forcément obligé de passer un concours pour avoir de la place à l’université.  

R P : Est-ce que le gouvernement pourrait décider que les élèves admis au baccalauréat puissent s’inscrire automatiquement à l’université ?

E T : Ce que nous souhaitons, c’est que le gouvernement nous donne de plus amples informations par rapport à ce décret. Mais nous pensons que ce que le gouvernement est en train de faire actuellement c’est une reforme subtile. En réalité, le gouvernement est en train de vouloir opérer cette réforme en ne donnant pas les arguments réels qui sous-tendent cette réforme. Nous disons cela parce qu’il suffit seulement de regarder un certain nombre de documents comme le programme présidentiel. Il y est dit clairement que le bac sera arrimé au MENAPLN.

R P : Est-ce à dire qu’avec cette réforme, les enseignants du supérieur n’auront pas un regard sur l’organisation du bac ?

E T : Nous disons que jusqu’à présent, il y a des précisions que le gouvernement doit donner à l’ensemble des acteurs. Mais là n’est pas le problème. Pourquoi cette réforme ? est-ce que l’organisation précédente du baccalauréat a posé problème ? A notre connaissance non. Donc nous disons que si le gouvernement a décidé de cette réforme, c’est qu’il a ses arguments. Et nous pensons que ce qui amène le gouvernement a opérer une telle réforme n’est rien d’autre que d’essayer de filtrer l’entrée au niveau des universités.
Il faut que la population comprenne que le bac était déjà organisé par les enseignants du secondaire et ceux du supérieur. Ce n’est même pas le problème. Ce que nous voulons savoir, quelles sont les implications de cette réforme sur les titulaires du bac ? Quelles sont les implications pour le Burkina Faso, par exemple est-ce qu’avec une telle organisation le bachelier Burkinabè pourra aller s’inscrire ailleurs dans l’espace francophone ?

 

Le ministère de l’Agriculture, des Aménagements hydro-agricoles et de la mécanisation a organisé le mardi 16 mars 2021 un atelier de validation du manuel de procédure de la gouvernance des stocks alimentaires. Cet atelier vise à amender et à valider le document de gouvernance des stocks ainsi que les outils qui serviront à la gestion.

C’est dans l’optique de mieux répondre aux besoins des populations du Burkina Faso en matière de sécurité alimentaire que le manuel de procédure de la gouvernance des stocks alimentaires a été élaboré. Et le présent atelier va amender et valider ce manuel qui permettra de renforcer les capacités du système de stockage au niveau de la SONAGESS, la société nationale de gestion des stocks de sécurité alimentaire. « Cet atelier est important parce qu’une des composantes clé, c’est d’améliorer la gouvernance. Par rapport aux populations vulnérables, cela permettra d’adapter la composition des stocks en tenant compte de ces paramètres » a affirmé le secrétaire général du ministère de l’agriculture. « Le document donne des grandes lignes qui permettront à la SONAGESS d’avoir des stocks prêts pour répondre aux besoins de crises qui peuvent apparaitre et de pouvoir anticiper » a-t-il poursuivi. 

Du côté de la SONAGESS, cet atelier de validation est bien accueilli. « Nous sommes contents d’avoir ce document qui nous permettra de savoir qui fait quoi, et qu’est ce qui doit être fait exactement, de l’achat des produits jusqu’à la sortie » s’est réjoui le Directeur Général de la SONAGESS Amandé BELEM. Le stockage concerne tous les produits de la société tels que le Niébé, le riz, le maïs, l’huile, le sorgho et le mil.

A noter que l’atelier est financé par le projet d’appui au stockage de sécurité alimentaire en Afrique de l’Ouest et coordonné par l’Agence Régionale pour l’Agriculture et l’Alimentation (ARAA)/ CEDEAO.

Rappelez vous, le 16 décembre 2020, sur sa page Facebook, Ladji Bama avait accusé le parti le Mouvement du Peuple pour le Progrès MPP d’être lié à la tentative d’assassinat dont il a été victime le 10 novembre dernier, alors qu’il revenait de Dori, dans région du Sahel. Suite à ce post, le MPP a porté plainte en justice contre le journaliste pour diffamations.

Lors de la première comparution le 1er mars 2021, le parquet avait requis une peine de deux mois de prison et une amende de 250 000 F CFA à l’encontre du journaliste, le tout assorti de sursis. Deux semaines plus tard ce sont en tout deux millions de F CFA que le journaliste Ladji Bama par ailleurs rédacteur en chef du journal Courrier Confidentiel doit versé au Mouvement du Peuple pour le Progrès, le MPP.

Le journaliste qui dit ne pas se reconnaître dans les faits qui lui sont reprochés, entend faire appel de cette décision.

Des hommes armés non identifiés ont tiré plusieurs coups de feu, dimanche nuit, dans le village de Zoura dans la commune de Kongoussi, région du Centre Nord après avoir enlevé un habitant, a appris l’AIB auprès de témoins.

Selon plusieurs habitants du village de Zoura (7 km de Kongoussi), des rafales ont été entendus hier dimanche entre 19 h 00 et 20h GMT dans le village, créant une panique générale au sein de la population.

Selon les témoignages les tirs nourris ont eu lieu après l’enlèvement de Louis Ouédraogo, trésorier du bureau de l’association des parents d’élèves du collège d’enseignement général de Zoura.

«Ils sont arrivés chez Louis Ouédraogo et ils ont voulu l’emmener. Quand son frère a voulu comprendre le pourquoi, ils ont commencé à tirer en l’air. c’est ainsi que les gens ont été alerté et c’est devenu le sauve qui peut» a confié un témoin à l’AIB.

Selon toujours ses informations, les assaillants n’ont pas quitté le village par engins motorisés.

«Nous y sommes restés jusqu’à tard dans la nuit mais nous n’avons entendu aucun engin démarré ni circuler. Cette dernière situation nous plonge davantage dans la peur parce que nous ne savons pas s’ils ( Ndlr : les hommes armés) sont toujours dans le village où s’ils ont posé des explosifs» a-t-il précisé.

Du côté de l’administration et des services de sécurité de la localité, l’enlèvement de Louis Ouédraogo a été confirmé.

En rappel, le village de Zoura a connu une attaque d’homme armés en octobre 2019, ayant causée 9 morts

 

L’honorable Ladji COULIBALY est de retour au sein l’Union pour le Progrès et le Changement UPC. Les membres du parti ont en effet accueilli l’ex démissionnaire le Samedi 13 mars 2021 à leur siège de Ouagadougou. Ladji COULIBALY faisait partie des 13 frondeurs de l’UPC en 2017 et qui avaient créé L’UPC/RD.

Dans la matinée du 13 mars le parti du lion a organisé une réunion spéciale pour annoncer le retour de l’honorable Ladji COULIBALY au sein du parti. Ce dernier, accompagné de certains militants de la Comoé (région dont il est originaire) est venu demandé pardon à « sa maison mère ». « Moi aujourd’hui, j’ai pris la décision personnelle, sans autre considération pour dire que je reviens à la maison mère » a-t-il déclaré. Il poursuit à cet effet en disant que « je me suis écarté, mais je reviens pour souder et faire de telle sorte que l’upc retrouve son rayonnement d’avant ».

Ce revirement de situation réjouit le parti du lion qui a bien voulu réintégrer le désormais ex démissionnaire. « Le président a souhaité que l’on puisse de retrouver pour repartir sur de nouvelles bases, et cela suppose que son retour a été agrée » a déclaré le vice-président du parti Adama SOSSO. Et selon lui, cette démarche s’inscrit également dans la perspective du Burkina de réconcilier les fils et filles du pays. « Le parti a décidé au vu des responsabilités qui ont été confiées au président du parti de commencer à faire la réconciliation à l’interne » a poursuivi le vice-président. Il promet aussi que des cérémonies de ce genre se tiendront les jours à venir.

En rappel, Ladji COULIBALY avait rejoint le Mouvement pour le Burkina du Futur (MBF) et s’était présenté sous la bannière de ce parti dans la Comoé aux dernières élections législatives.  L’on se rappelle également de la polémique qui a valu le surnom « tranquillos » à l’ex ministre de la sécurité Simon COMPAORE. Et bien c’était dans le domicile de ce député que Simon COMPAORE s’est rendu avec une « Kalachnikov » en main don la vidéo a fait le tour des réseaux sociaux.

Le président du Faso Rock Marc Christian KABORE a reçu en audience le chef de file de l’opposition politique Eddie KOMBOIGO. Ils ont échangé sur des questions d’intérêts publics, notamment la question de la réconciliation nationale et celle de l’insécurité. C’était le vendredi 12 mars 2021.

Le nouveau chef de file de l’opposition est allé mieux comprendre la vision du chef de l’Etat sur la question de la réconciliation. « Nous avons rappelé au président du Faso que nous l’avons entendu très rarement après les élections sur la question de la réconciliation. Il était bon qu’il s’exprime pour que la population sache sa bonne foi et sa volonté d’aller vers cette réconciliation » a soutenu Eddie KOMBOIGO. Et selon lui le chef de l’Etat a rassuré que des actions « fortes » et « concrètes » seront menées dans les jours à venir en faveur de la réconciliation.

« Nous avons voulu savoir où on en était avec les forces de défenses au niveau des frontières, notamment la question de l’équipement » dixit Eddie KOMBOIGO. À ce niveau également, le président  a rassuré que les soldats ont été « ravitaillés » en équipements et sont aptes à combattre l’ennemi.  Il a aussi plaidé pour le soutien des familles des FDS.

La question de la négociation avec les terroristes était encore sur la table de discussion entre les deux hommes. Pour le chef de file de l’opposition, les positions sur ce sujet divergent même au sein du gouvernement, il lui a donc demandé de se positionner clairement sur la question. « Il serait bon que le chef de l’Etat décline assez clairement sa politique sur l’option qui est d’aller frontalement ou d’associer la négociation » a-t-il expliqué.

Par ailleurs, en ce qui concerne la relance économique du pays, Eddie KOMBOIGO a suggéré au chef de l’Etat de se pencher sur le problème de la dette intérieure « qui ne fait que s’accroitre ». Toute chose qui « tue l’économie locale » selon lui.

Le conseil des ministres en sa séance du mercredi 10 mars 2021 a procédé à des nominations, a adopté plusieurs rapports et plusieurs décrets.  Au titre du ministère de l’éducation national, de l’alphabétisation et de la promotion des langues nationales, c’est au total 05 décrets relatifs à l’organisation des différents examens qui ont été adopté.  

Les candidats libres pourront désormais postuler pour les concours d’entrées en 6e et en 2nd. Ce décret augmente également l’âge limite pour le concours d’entrée en 6e à 16 ans au lieu de 14 ans. Il fixe le nombre des places par province et non par région.

Le certificat d’aptitude professionnel CAP est désormais ouvert aux élèves en 4e année du CAP des établissements d’enseignement et formation techniques et professionnels, à ceux de la 2e année recrutée après la classe de 5e ou de 4e des établissements d’enseignement général et aux élèves de 5e des lycées et collèges avec 3 années de pratiques professionnelles dans la spécialité choisie.

Aussi, l’examen du brevet d’étude professionnel BEP est maintenant ouvert aux élèves en classe de 1re D des établissements polyvalents d’enseignement secondaire général et aux candidats libres justifiant d’un niveau à celui de la classe de 1re D des lycées polyvalents.

Par ailleurs, l’organisation de l’examen du BEPC revient désormais aux directions provinciales en charge des enseignements post-primaire et secondaire en lieu et place des directions régionales.

Jécolia Sawadogo pour le résumé du conseil des ministres

« J'ai appris avec une immense tristesse le décès survenu ce jour du Premier Ministre Ivoirien Hamed Bakayoko.

Je salue la mémoire de cet Homme d'Etat qui a mis, sans relâche, son énergie et son talent au service des Ivoiriens et de la Côte d'Ivoire,

Avec sa disparition le Burkina perd un ami, un frère, attaché à la vitalité des relations historiques entre nos deux pays.

Je présente mes condoléances émues à mon homologue Alassane Ouattara , à sa famille et au Peuple Ivoirien.

Que son âme repose en paix ».

Roch Marc Christian Kaboré.

Président du Faso

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