La mort de M. Hanro est un coup dur pour la province de la Gnagna. Car, selon ses proches, le quinquagénaire et ses hommes étaient très engagés dans le processus de sécurisation de la localité.
Au lendemain de l’assassinat de Daouda Hanro, des sous sections des kolgweogo de la province ont rallié Bogandé, ce vendredi, pour faire le deuil de leur chef. Une situation qui, à entendre certains kolgweogo, joints au téléphone, ne saurait ébranler le moral de la troupe.
En sa qualité d’élu consulaire et d’opérateur économique influent, l’homme a été décoré en 2018. Il était le propriétaire des hôtels Hanro I et Hanro II de Bogandé. Il laisse derrière lui quatre veuves et plusieurs enfants inconsolables.
Agence d’information du Burkina