A quelques semaines d'une échéance en vue d'organiser des élections en Libye, la mise à l'écart du chef du gouvernement parallèle de l'Est reflète un début de rapprochement en coulisses entre l'homme fort de cette région et le camp de l'Ouest, reconnu par l'ONU, selon des analystes.
La Libye, pays riche en pétrole, est en proie au chaos et à de profondes divisions depuis le soulèvement de 2011 qui a renversé la dictature de Mouammar Kadhafi.