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POLITIQUE

POLITIQUE (234)

 Le deuxième tour de l'élection présidentielle au Niger opposera en février Mohamed Bazoum, candidat du parti au pouvoir, à l'ex-chef de l'Etat Mahamane Ousmane, selon des résultats provisoires du scrutin annoncés samedi par la commission électorale.

L'élection doit désigner le successeur de Mahamadou Issoufou, qui quitte le pouvoir après deux quinquennats.

Mohamed Bazoum est arrivé en tête du premier tour avec 39,33% des voix contre 17% pour Mahamane Ousmane, a précisé la commission.

Trente candidats étaient en lice. Hama Amadou, battu au second tour de la précédente élection présidentielle, avait été empêché de se présenter à cause d'une condamnation

Dans quelques heures, la nouvelle année 2021 ouvrira ses portes au monde entier. Pour le peuple burkinabè, c’est une année chargée d’espoir qui commence, comme pour faire oublier les souvenirs douloureux et les situations difficiles qui ont marqué l’année qui s’achève.

Ainsi que nous l’avons vécue, l’année écoulée a été jalonnée d’épreuves auxquelles notre peuple a fait face. En effet, les difficultés nées des crises sécuritaire, sanitaire et sociale n’ont pas eu raison de notre détermination collective à continuer à bâtir les fondements de notre bonheur.

C’est pourquoi, la Nation exprime par ma voix sa reconnaissance infinie à tous ses enfants qui ont payé de leur vie la résistance opposée aux groupes armés terroristes et renouvelle sa solidarité aux veuves, aux orphelins et aux parents de toutes les victimes civiles et militaires de cette guerre. Aux blessés, j’adresse mes vœux de prompt rétablissement.

Peuple du Burkina Faso

Chers Compatriotes

Au plan politique, l’acquis majeur dont nous devons toutes et tous tirer une légitime fierté, est incontestablement la tenue, le 22 novembre dernier, des élections couplées, présidentielle et législatives. Elles furent, de l’avis unanime, démocratiques et inclusives, associant pour la première fois le vote des Burkinabè de l’extérieur.

La sincérité et le sens des responsabilités avec lesquels le dialogue politique a été initié, conduit et suivi, ont permis de renforcer le consensus national sur la préparation et la tenue de ces élections, dans un contexte sécuritaire et sanitaire préoccupant.

Je voudrais saluer la classe politique, les organisations de la Société civile, les responsables traditionnels, coutumiers et religieux ainsi que toutes les personnes ressources qui, par amour pour le pays, ont contribué au succès du processus qui nous a permis d’avoir des élections apaisées.

En dépit d’un contexte national et international difficile, la croissance économique est au rendez-vous dans notre pays, grâce à une maitrise des grands équilibres macro-économiques et à la poursuite des réformes au niveau des principales régies financières, afin d’accroitre la mobilisation des ressources internes.

Ces efforts doivent être poursuivis et renforcés par la digitalisation de l’essentiel des services destinés au large public et le renforcement de l’utilisation de la technologie dans les secteurs vitaux du développement.

Au sortir du quinquennat 2016-2020, malgré des avancées notables au plan social, sanitaire et éducatif, au niveau des libertés, des infrastructures, de l’énergie et de l’emploi des jeunes et des femmes, beaucoup reste à faire.

C’est en se mobilisant comme un seul homme que nous pourrons engranger des résultats encore plus spectaculaires dans les différents domaines du développement économique et social.

Chers compatriotes

Burkinabè de nos villes et campagnes

 

L’année nouvelle annonce l’an I de mon second et dernier quinquennat. Mes rencontres avec les Burkinabè de l’intérieur et de l’extérieur, avec les Forces Vives de nos régions, avec les femmes, les jeunes, les productrices et producteurs du pays, les opérateurs économiques et les acteurs de l’économie informelle ont permis de prendre toute la mesure des nombreuses attentes formulées çà et là.

Ensemble dans un dialogue fécond et respectueux, nous pouvons trouver les réponses et solutions appropriées pour l’amélioration des conditions de vie des Burkinabè, en ayant pleinement conscience des moyens dont nous disposons.

Pour ce faire, nous devons, ici et maintenant, engager les réformes qui s’imposent pour améliorer la gouvernance aux plans politique, économique et social, lutter plus efficacement contre la corruption et amener les Burkinabè à aimer et à être fiers de leur pays.

L’avenir radieux du Burkina Faso, le salut de notre Nation viendront de notre capacité individuelle et collective à oser ensemble le changement porteur de paix, de démocratie, de cohésion sociale, de justice et de prospérité partagée.

Comme vous le savez, le Gouvernement vient de rappeler la nécessité d’observer les mesures destinées à lutter efficacement contre la COVID-19. C’est dans la discipline et la volonté de chacune et de chacun de nous de se protéger et de protéger les autres que nous prendrons le dessus sur cette pandémie.

De manière lucide et sereine, nous devons saisir les difficultés actuelles comme une opportunité pour gagner le pari du développement durable, dans le respect des valeurs qui ont, de tout temps, fait la fierté du Burkinabè et qui sont entre autres, le travail, l’intégrité, la dignité et la solidarité.

 

Peuple du Burkina Faso

Concitoyennes et Concitoyens

de l’intérieur et de l’extérieur

 

Dans quelques jours, une équipe gouvernementale sera constituée et va se mettre au travail immédiatement pour dérouler le programme pour lequel j’ai bénéficié de la confiance des Burkinabè pour les cinq années à venir. Les priorités sont connues et la feuille de route du gouvernement est prête.

J’en appelle au sens des responsabilités de tous afin que la noble et exaltante mission de servir le Peuple décuple les énergies des uns et des autres pour en faire de bons, fidèles et loyaux serviteurs du Peuple burkinabè.

C’est le prix que nous devons payer pour réhabiliter le politique et les hommes et femmes politiques. C’est aussi à ce prix que nous pourrons mobiliser tous les Burkinabè autour de leurs intérêts que nous devons servir, défendre et promouvoir.

 

Peuple du Burkina Faso

Chers compatriotes

En cette fin d’année marquée par la mise à jour et l’exigence du respect des mesures anti-COVID-19, je voudrais inviter les Burkinabè à accueillir 2021 dans la sobriété et dans le respect, aussi bien, des règles de la circulation routière que des mesures sanitaires édictées dans notre intérêt à tous.

La santé étant la condition de la vie, il faut que chaque Burkinabè soit l’artisan et le meilleur défenseur de sa santé.

J’ai une pensée pour tous les malades et les déplacés pour qui cette nuit n’est pas synonyme de réjouissance. Mes vœux de santé et l’expression de ma solidarité accompagnent les uns et les autres.

A toutes celles et à tous ceux qui travaillent cette nuit dans des établissements à feu continu, dans les services de santé, sur nos routes ou qui sont au front, pour notre sécurité, je leur adresse mes encouragements.

A chacun et à chacune des Burkinabè de l’intérieur comme de l’extérieur, à nos frères et sœurs des autres communautés qui vivent ici au Burkina Faso en parfaite intelligence avec nos populations, je souhaite une année de santé, de paix et de prospérité.

Aux amis du Burkina Faso à travers le monde, je souhaite une bonne et heureuse année 2021.

 

                                                Paix et prospérité pour tous !

Que Dieu bénisse le Burkina Faso !

Je vous remercie.

 

Le Conseil constitutionnel a, au cours d'une audience solennelle ce jour, investi Roch Marc Christian Kaboré dans ses fonctions de président du Faso pour les cinq prochaines années.
Audience solennelle de prestation de serment, port des insignes de Grand maître des ordres Burkinabè et le discours du président du Faso ont constitué les temps forts de cette investiture.
"Je jure devant le peuple burkinabè et sur mon honneur de préserver, de respecter, de faire respecter et de défendre la Constitution et les lois, de tout mettre en oeuvre pour garantir la justice à tous les habitants du Burkina du Faso". C'est par cette formule consacrée qui marque le début officiel de son mandat que le président Roch Marc Christian Kaboré a scellé son engagement avec le peuple burkinabè.
Roch Marc Christian Kaboré a, dans son discours, rendu un vibrant hommage aux martyrs de l'insurrection populaire des 30 et 31 octobre 2014 et du coup d'État manqué du 16 septembre 2015 et à toutes les victimes du terrorisme dans notre pays.
Il a également salué l'engagement des Forces de défense et de sécurité ainsi que celui des Volontaires pour la Défense de la Patrie dans la lutte contre le terrorisme.
Pour le chef de l'État, cette cérémonie d'investiture est un moment historique qui honore le peuple burkinabè et ce quinquennat qui s'amorce est " plein de défis et d'espoir ". Aussi, le président du Faso accordera une attention particulière à la réconciliation nationale et à la paix dans son nouveau contrat avec les Burkinabè. Le président du Faso a également dit sa volonté de lutter contre la corruption et de prôner la bonne gouvernance.
Pour ce faire, Roch Marc Christian Kaboré a appelé tous les Burkinabè à l'Union sacrée autour des grands défis pour construire ensemble une  Nation forte et prospère.
La cérémonie d'investiture a connu la présence d'une dizaine de chefs d'État et de Gouvernement, des chefs de missions diplomatiques.

Direction de la communication de la présidence du Faso

samedi, 26 décembre 2020 11:51

Le Mali pleure la disparition de Soumaïla Cissé

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Quelques heures après l’annonce de la mort de Soumaïla Cissé, les amis de l’ancien leader de l’opposition malienne pleurent sa disparition.

Enlevé par des jihadistes le 25 mars 2020, Cissé fut libéré en octobre dernier. Il est décédé ce vendredi du coronavirus en France ; ou il avait été transféré pour recevoir des soins.

Ancien leader de l'opposition au Parlement, Cissé a été finaliste de trois élections présidentielles.

En 2013 et 2018, il a été battu par Ibrahim Boubacar Keita, qui a été évincé lors d'un coup d'Etat militaire le 18 août.

A 71 ans, il laisse un vide dans le cœur de ses supporters.

"Soumaïla était devenue le flambeau que les Maliens voulaient tenir dans leurs mains pour qu'il éclaire le chemin à suivre. Pour retrouver la paix, l'unité, la souveraineté du Mali et la concorde nationale" a déclaré Choguel Kokala Maiga, président du parti MPR et un ami de Soumaïla Cissé.

"Un sentiment de tristesse. Une grande tristesse. Ce matin, nous... tout a été bouleversé lorsque nous avons appris cette terrible nouvelle, le décès de notre président, l'honorable Soumaïla Cissé. Pour nous, cela signifie prendre notre guide, notre chef, le fondateur de notre parti." a confié Salikou Sanogo, vice-président du parti URD.

"Un sentiment de tristesse. De grande tristesse. Ce matin, nous avons... tout s'était bouleversé en apprenant cette terrible nouvelle, le décès de notre président, l'honorable Soumaïla Cissé. Pour nous, c'est prendre notre guide, notre dirigeant, le fondateur de notre parti. "

"Je n'ai pas assez de mots. Je ne sais même pas par où commencer. Tout ce que je peux dire, c'est : que son âme repose en paix. A part ça, je ne peux rien dire. Que son âme repose en paix." a révélé Elhadji Abdoul Toure, ami de Soumaïla Cissé.

Le Premier ministre MALIEN par intérim, Moctar Ouane, a exprimé ses condoléances, en tweetant que "tout le Mali ainsi que le continent africain pleure un de ses braves fils

Dans le cadre de la mise en œuvre du plan intégré de sécurisation des élections du dimanche 27 décembre 2020, la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation en République centrafricaine (MINUSCA) a reçu jeudi trois cents (300) casques bleus du contingent rwandais de la mission des Nations unies au Sud Soudan (UNMISS), afin de renforcer les capacités de la Mission et répondre aux défis sécuritaires actuels.

 

Les soldats de la paix, arrivés à Bangui, à 16h40 et à 18h10, à bord de deux vols, viennent renforcer le dispositif de sécurisation des élections de la Force qui consiste, en partie, à déployer des troupes dans les circonscriptions électorales en appui aux forces de défense et de sécurité centrafricaines.

 

Le Représentant spécial du Secrétaire général des Nations unies en République centrafricaine et Chef de la MINUSCA, Mankeur Ndiaye, a salué l’arrivée de ces casques bleus supplémentaires et remercié le Secrétaire général de l’ONU pour avoir sollicité et obtenu l’autorisation du Conseil de sécurité de l’ONU en vue du renforcement en urgence du dispositif actuel de la MINUSCA alors que des groupes armés cherchent à perturber les élections de dimanche. « Il s’agit d’une preuve supplémentaire de l’engagement total de la communauté internationale aux côtés du peuple centrafricain, pour la tenue des élections le 27 décembre dans le respect des délais constitutionnels », a-t-il dit.

 

Mankeur Ndiaye a de nouveau condamné les alliances entre acteurs/partis politiques et groupes armés, et réitère l’appel de la communauté internationale demandant aux groupes armés de mettre fin immédiatement aux attaques qui visent à empêcher les électeurs de se rendre aux urnes. « La MINUSCA continuera à exécuter son mandat de sécurisation des élections, en appui aux forces de défense et de sécurité centrafricaines », a renchéri le Représentant spécial, réaffirmant que la volonté de la population et l’exercice de son droit civique seront respectés.

 

Ces renforts permettront à la MINUSCA d’accroître sa contribution à la mise en œuvre du plan intégré de sécurisation des élections, en étroite coordination avec les forces de défense et de sécurité centrafricaines et les forces internationales présentes dans le cadre d’accords bilatéraux avec la République centrafricaine, conformément aux paragraphes 32 ((b) i)) et 52 de la résolution 2552 du Conseil de sécurité des Nations unies.

Communiqué de presse Minusca

 

 

Bambari, à quelque 380 km au nord-est de Bangui, de nouveau sous contrôle gouvernemental. Les Casques bleus et les forces armées centrafricaines disent avoir repris mercredi la quatrième ville de la République Centrafricaine (RCA) aux rebelles qui s'en étaient emparés la veille.

"La situation est sous contrôle à Bambari", a affirmé Abdoulaziz Fall, porte-parole de la force de la Mission de l'ONU en Centrafrique, la Minusca. "Les civils commencent à revenir. Les groupes armés ont été repoussés dans la brousse".

La veille, Bambari était tombée aux mains de l'Unité pour la Paix en Centrafrique (UPC), un des nombreux groupes armés qui se partagent plus des deux tiers de la RCA et parmi ceux entrés en rébellion à l'approche des élections présidentielle et législatives prévues dimanche, avec pour favori le sortant Faustin Archange Touadéra.

Dans l'ouest du pays, trois autres groupes armés qui ont formé une coalition s'en sont aussi pris mardi à des axes routiers vitaux pour l'approvisionnement de la capitale. A Boali, une ville située à environ 60 kilomètres de Bangui sur la route nationale 1, l'axe vital qui relie la ville au Cameroun, la population prenait peur. Et femmes et enfants se réfugiaient à six kilomètres de la ville. Quelques heures plus tard, plusieurs pick-ups arrivaient à l'hôpital communautaire de Bangui avec leur plateau arrière rempli de blessés, ont rapporté des journalistes de l'AFP.

La tenue des élections dimanche est un enjeu majeur pour l'ONU et le pouvoir du président sortant Faustin Archange Touadéra, grand favori, qui exclut tout report malgré les attaques des groupes armés dans ce pays ravagé par la guerre civile.

 

 

Le conseil constitutionnel a proclamé les résultats définitifs de l’élection présidentielle du 22 novembre dernier dans la matinée du 18 décembre 2020. Il a confirmé la réélection de Rock Marc Christian KABORE au premier tour à la magistrature suprême.

Rock Marc Christian KABORE sera donc à la tête du Burkina Faso pour  les 5 prochaines années. Le conseil constitutionnel a confirmé sa réélection à la magistrature suprême. Cependant les chiffres sont légèrement différents de ceux de la Commission Nationale Indépendante CENI. Il a été réélu au premier tour avec 1 645 229 voix soit un pourcentage de 57,74% contre 1 654 982 voix (57,87%) pour les résultats provisoires.

Eddie KOMBOIGO du Congrès pour la Démocratie et le Progrès CDP conserve sa place. Il arrive Deuxième avec 15,54% des voix. Il devance donc Zéphirin DIABRE de l’Union pour le Progrès et le Changement UPC qui lui a obtenu 12,46% des voix.

Le conseil constitutionnel a relevé certaines irrégularités qui ont entaché le scrutin. C’est essentiellement l’arrivée tardive du matériel de vote, la suppression de plusieurs bureaux de vote et leurs emplacements inappropriés. Certains procès-verbaux n’étaient pas signés ou ne comportant pas toutes les informations requises. Le conseil a souligné la discordance entre les suffrages exprimés portés sur certains procès-verbaux et ce figurant sur la feuille de dépouillement. Et afin certains Procès-verbaux, feuilles de dépouillement et feuille de résultat par bureau de vote ne correspondaient à aucun bureau de vote figurant sur la carte électorale. Certaines enveloppes non conforme ou ne contenant pas les documents électoraux ont été également rejetées

 Le conseil a donc effectué des rectifications et a annulé les résultats de 200 bureaux de vote. Le président du conseil constitutionnel a toutefois affirmé que les irrégularités ne sont pas de nature à compromettre la transparence et la sincérité du scrutin.

A noter que les résultats définitifs des législatives sont attendus pour le 20 décembre.

 

 

 

« Le candidat Kaboré Roch Christian Marc a obtenu 1.645.229 voix, correspondant à 57, 74% des voix, plus de majorité des voix » a déclaré le président du conseil constitutionnel. Il est dont déclaré vainqueur de l’élection présidentielle. ,

« L’élection du 22 novembre est régulière, transparente et sincère » a poursuivi Kassoum Kambou

Il est suivi par Eddie Komboïgo du CDP avec 15, 54% et Zéphirin Diabré qui obtient 12,46% des voix. Le taux de participation est de 50,22%

Pierre Buyoya a dirigé le Burundi pendant plus de 10 ans. Il venait de démissionner de son poste de haut représentant de l'UA pour le Mali et le Sahel depuis 2012.

Buyoya « avait été hospitalisé mercredi de la semaine passée [le 9 décembre]dans un hôpital de Bamako, où il avait été placé sous respirateur », a précisé à l’AFP le membre de sa famille : « Il a été évacué sur Paris hier [jeudi en début d’après-midi], son avion a fait une escale et est arrivé en France dans la nuit. Il est décédé dans une ambulance qui l’amenait dans un hôpital parisien pour des soins. »

En octobre, M. Buyoya avait été condamné à la prison à perpétuité dans son pays pour l’assassinat en 1993 de son prédécesseur, Melchior Ndadaye. L’ex-président avait dénoncé « un procès politique mené de manière scandaleuse » et avait démissionné fin novembre de son rôle d’envoyé spécial de l’UA pour « laver [son] honneur ».

Tutsi issu d’un milieu modeste, Pierre Buyoya avait d’abord fait carrière dans l’armée avant de devenir président à la suite d’un coup d’Etat contre Jean-Baptiste Bagaza, lui aussi tutsi, sur fond de grogne dans l’armée. Pendant son premier mandat, il s’était employé à ouvrir l’espace démocratique au Burundi, un processus qui débouchera en 1993 sur l’élection à la tête du pays de Melchior Ndadaye, premier président démocratiquement élu du Burundi et premier Hutu à accéder au pouvoir. Les Hutu représentent environ 85 % de la population du Burundi.

Pierre Buyoya a dirigé le Burundi pendant plus de 10 ans. Il venait de démissionner de son poste de haut représentant de l'UA pour le Mali et le Sahel depuis 2012.

"Le président Pierre Buyoya est mort à Paris. Il avait le Covid-19", a déclaré à l'AFP un membre de sa famille qui a requis l'anonymat. Plusieurs autres proches ont confirmé le décès de M. Buyoya, qui a également occupé le poste de Haut représentant de l'Union africaine (UA) pour le Mali et le Sahel de 2012 à fin novembre de cette année. 

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