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POLITIQUE

POLITIQUE (234)

Une dizaine de candidats à l’élection présidentielle de novembre 2020 ont procédé le 25 septembre à Ouagadougou à la signature de 10 engagements visant à réduire les inégalités sociales. Ce plaidoyer auprès de ces candidats a été conduit par une coalition d’organisations de la société civile et d’ONG.

« Ne laissez personne sur le bord du chemin », tel est le message de la coalition « agir contre les inégalités ». Ce collectif regroupant  05 faîtières de la société civile et d’organisations non gouvernementales plaide auprès des candidats à l’élection présidentielle de bien vouloir prendre en compte dans leurs programmes de société, la réduction des inégalités sociales en vue de construire un Burkina égalitaire et en paix. « L’étude que nous avons fait montre qu’environ 20% des personnes les plus riches au niveau du Burkina Faso détiennent 44% des richesses. Vous n’avez que 14% des femmes à l’assemblée alors que le quota genre prône 30%; c’est ça les inégalités que nous déplorons » regrette Sylvestre Tiemtoré, membre de la coalition des OSC.

Ce sont donc 09 candidats en lice pour la présidentielle qui se sont engagés dans cette perspective en intégrant dans leurs programmes de gouvernance la question de la réduction des inégalités. « Ce que nous avons au Burkina, c’est que nous partageons tous la misère parce que nous n’avons pas pu exploiter notre potentiel. Les inégalités sociales issues de nos cultures, nous avons tenté depuis les années 80 de les réduire et nous travaillons encore cet effort de réduction » a laissé entendre Eddie Kombéogo, président du Congrès pour la Démocratie et le Progrès. Pour Abdoulaye Soma, président du parti Soleil Levant « une fois élu président du Faso, les grands organes de direction et de gouvernance de notre pays que sont le gouvernement, l’assemblée nationale, (…) seront composés de 50% de jeunes, 50% d’adultes, 50% de femmes et 50% d’hommes.

Selon la coalition, un mécanisme de suivi des engagements pris par les signataires sera mis au point afin que ces engagements soient respectés.

Cheick Omar Ouédraogo (stagiaire)  

Le chef de file de l’opposition a animé sa traditionnelle conférence de presse hebdomadaire ce mardi à son siège. Plusieurs sujets dont l’insécurité, la rentre scolaire, et la question de l’emploi au Burkina Faso ont été abordés par Yumanli Lompo président du PNDS et Aboulaye Arba président du PMP. Pour les conférenciers, la question du manque d’emploi est une bombe à retardement au Burkina Faso

Pour les animateurs de la conférence,  le désespoir a gagné la jeunesse burkinabè.  Et la question de l’emploi des jeunes est « une bombe qui ne tardera pas à exploser, si on n’y prend garde » font-ils savoir.

« Beaucoup de jeunes qualifiés et diplômés iront se jeter dans les bras des ennemis, ou s’adonneront à des activités illicites et dangereuses » préviennent ces responsables de partis de l’opposition.
Les deux conférenciers du jour accusent le pouvoir du président Roch Marc Christian Kaboré d’avoir  diminué le nombre de postes à pourvoir dans la Fonction publique, sans avoir suscité et promu des entreprises viables.

La lutte contre le terrorisme a fait l’objet d’analyse des conférenciers

Selon les animateurs de cette conférence hebdomadaire du chef de file de l’opposition, la manifestation des populations de Nagré, village situé dans la région de l’Est est  un acte lourd de sens qui doit faire réfléchir le régime du MPP sur la situation chaotique dans lequel il a mis le Burkina. Pour l’opposition les volontaires pour la défense de la patrie doivent avoir les moyens de défense, la formation et l’encadrement nécessaires, et une grande motivation pour combattre les ennemis. Tout en saluant les efforts du gouverneur de la région pour calmer les manifestants, l’opposition exhorte les autorités locales à aider à la préservation de la paix sociale.

La rentrée scolaire n’a pas échappée aux conferenciers 

L’autre sujet important abordé par les conférenciers de la semaine, c’est la rentrée des classes. L’opposition reconnait que l’année scolaire passée a été troublée par la crise sécuritaire, la fronde sociale et la pandémie du coronavirus. « Des centaines de milliers d’enfants risquent de ne pas aller cette année à l’école, à cause de l’insécurité » ont-ils martelé. Il appartient au Gouvernement  selon l’opposition, de prendre toutes les mesures nécessaires pour la scolarisation des enfants déplacés internes, et pour la réouverture des 4000 écoles fermées ou détruites à cause du terrorisme.

« Alassane Ouattara ne sera pas le prochain Président de la Côte d’Ivoire » (Soro Guillaume)

Suite à l’invalidation   de sa candidature pour la prochaine présidentielle,   Guillaume Soro a dans une publication sur sa page Facebook, qualifié de « coup d’état civil », la décision du conseil constitutionnel.

« Le Conseil Constitutionnel de Koné Mamadou a commis le plus grand crime, le véritable coup d’état civil depuis l’indépendance en 1960 » écrit-il

 Guillaume Soro qui ne s’avoue pas vaincu, annonce qu’il combattra pour l’État de droit et la démocratie.

« Je combattrai la dictature et la tyrannie. J’animerai une conférence de presse le 17 septembre pour décliner les étapes du combat contre les présidences à vie en Afrique » soutient l’ex président de l’Assemblée nationale ivoirienne.

« Je persiste à dire que  Alassane Ouattara ne sera pas le prochain Président de la Côte d’Ivoire en dépit de la forfaiture du Conseil Constitutionnel » martèle-t-il.

A quelques jours de la rencontre annuelle gouvernement/secteur privé, le comité de pilotage du cadre de concertation pour le dialogue Etat/secteur privé (CODESP) s’est réuni à la primature ce 14 septembre pour des travaux préparatoires. Cette concertation a été pour eux une occasion de discuter des perspectives de la prochaine rencontre qui aura lieu à Bobo-Dioulasso. Cette phase préparatoire permettra à ladite rencontre d’atteindre pleinement ses objectifs.

Examen du compte rendu de la deuxième session du comité de pilotage du cadre de concertation et d’orientation pour le dialogue (CODESP), rapport général de la rencontre Etat/secteur privé de 2019 et les perspectives pour la prochaine rencontre, ce sont les points essentiels des échanges de cette rencontre. En vue d’améliorer le dispositif mise en place par ce cadre, des engagements ont été pris au cours de cette session. « Nous avons par famille de métier, ainsi que par secteur d’activité, discuté de l’ensemble des problèmes et tiré des conclusions et des enseignements » dixit Harouna KABORE, ministre du commerce. « Nous avons également pris des engagements pour continuer à mettre en œuvre les recommandations et améliorer le dispositif » rajoute-t-il.

Les mesures de restrictions prises par le gouvernement pour stopper la pandémie de la maladie à coronavirus, a sans doute ralenti les activités des entreprises privées, ce qui a entrainé une baisse de recettes. Néanmoins, le président du conseil interprofessionnel des entreprises du Burkina-Faso apprécie les mesures du gouvernement pour la relance du secteur privé. Pour le président du conseil interprofessionnel des entreprises du Burkina-Faso, « il y a une bonne mise en œuvre des différentes recommandations et engagements. Nous avons pu mesurer que le gouvernement était à l’écoute et avait accéléré l’opérationnalisation des fonds qui devaient être mise en place » a-t-il déclaré

A noter que la rencontre nationale du cadre de concertation et d’orientation pour le dialogue Etat/secteur privé aura lieu les 21 et 22 septembre prochain à BoboDioulasso.

Wendkuni Jecolia Sawadogo (stagiaire)

 

 

 

Le conseil constitutionnel ivoirien a dévoilé ce 14 septembre la liste des candidats retenus pour la présidentielle du 31 octobre. Le président sortant Alassane Ouattara a vu sa candidature approuvée tandis que celles de Guillaume Soro et Laurent Gbagbo ont été rejetées.

Ils étaient 44 au départ à vouloir briguer à la magistrature suprême au soir du 31 octobre 2020. Finalement 4 candidats seulement ont vu leurs dépôts de candidature approuvés par le conseil constitutionnel. Il s’agit du président sortant Alassane Ouattara, Henri Konan Bédié, Kouadio Konan Bertin et Pascal Affi N’guessan.

Parmi les candidatures rejetées figurent celles de Guillaume Soro et Laurent Gbagbo.

À peine dévoilée la liste des candidats retenus, la réaction du président du parti Génération et Peuple Solidaire ne s’est pas faite attendre. « Je conteste vigoureusement la décision injuste et infondée prise ce 14 septembre par le conseil constitutionnel. Je considère que c’est une décision inique, politiquement motivée, juridiquement boiteuse et qui s’inscrit dans une logique d’anéantissement de la démocratie et l’Etat de droit » proteste Guillaume Soro sur sa page Facebook.

La candidature de l’ancien président de l’assemblée ivoirienne est jugé irrecevable car ne figurant pas sur la liste électorale à cause de sa condamnation à 20 ans de prison. Laurent Gbagbo ne figure  non pas sur cette liste car selon le conseil constitutionnel, sa candidature n’a pas été signée par lui-même en personne, mais plutôt par Armand Ouegnin sans procuration.

Il faut noter que la candidature d’Alassane Ouattara est réfutée par l’opposition et des manifestations en ont suivies faisant des morts et des dégâts matériels.

   

Le Mouvement pour le Progrès et le Changement (MPC) a notifié au cours d’une conférence de presse ce 10 septembre, sa démission de l’Alliance des Partis de la Majorité présidentielle. Le parti informe par ailleurs soutenir le candidat Zéphirin Diabré pour l’ élection présidentielle de novembre 2020.

Le Mouvement pour le Progrès et le Changement rentre au bercail après avoir passé cinq années de vie commune au sein de la majorité présidentielle. En effet, le MPC a quitté le navire de l’APMP pour adhérer au Chef de File de l’Opposition Politique (CFOP). Ce choix selon les premiers responsables du parti se justifie par la mauvaise gouvernance actuelle et l’insécurité grandissante au Burkina. « Durant les cinq années du mandat Kaboré, le Burkina a perdu le contrôle d’un tiers de son territoire. Environ 4000 Burkinabès et amis du Burkina ont été tués(…). Plus de 4000 écoles fermées et des centres de santé non-fonctionnels », tels sont entre autres le bilan du MPP, dressé par Claude Ouédraogo, président du parti démissionnaire. Toujours selon lui, le Burkina autrefois havre de paix est devenu un épicentre d’horreur.

A quelques mois des échéances électorales, le MPC dit porter son choix sur Zéphirin Diabré comme candidat à l’élection présidentielle de novembre 2020. Un choix réfléchi au regard des capacités de rassemblement de « Zeph » et de la qualité de son programme, selon les conférenciers. «De par son expérience internationale et nationale, dans le public et le privé, dans les affaires et la politique, M. Diabré a la réputation d’un homme compétent qui peut changer radicalement la gouvernance du pays » explique le président du MPC.  

Le MPC annonce également signer l’accord politique de l’opposition et investira très prochainement son candidat à la présidentielle.  

 Cheick Omar Ouedraogo (stagiaire)

Le gouvernement burkinabè annonce la mobilisation de 5 milliards de F CFA pour assurer la prise en charge des personnes sinistrées suite aux inondations. Le conseil a également adopté un  décret portant création de l’institut national de formation des personnels de l’éducation. Ce sont là quelques points abordés au conseil des ministres de ce 09 septembre 2020.

La situation pluviométrique de ces derniers jours est suivie de près par le gouvernement. Selon Abdoul Karim Sango, porte-parole du gouvernement par intérim, le Burkina déplore 13 morts et 19 blessés suite aux pluies diluviennes enregistrées sur l’ensemble du territoire national. Le conseil a ainsi déclaré l’état de catastrophe naturelle.

Par ailleurs, le conseil a instruit à cet effet le ministre chargé des finances de mobiliser la somme de 5 milliards de F CFA au profit du fond national de solidarité en vue d’assurer une prise en charge des personnes sinistrées. 

Au titre du ministère de l’éducation nationale, de l’alphabétisation et de la promotion des langues nationales, le conseil a adopté un décret portant création de l’institut nationale de formation des personnels de l’éducation et approbation de ses statuts. Concrètement les 08 ENEP (Ecole de Formation des Enseignants du Primaire) seront fusionnées en un seul institut. « les 08 ENEP vont rester dans leur format actuel. Cependant on aura plus à chaque ENEP un directeur général et un conseil d’administration. On aura un institut qui va coiffer l’ensemble de ces 08 ENEP et celles-ci  constituerons une sorte de directions régionales » explique Abdoul Karim Sango.

L’adoption de ce décret selon le porte-parole du jour va permettre d’améliorer la qualité de la formation des personnels de l’éducation.

La Communauté économique des États d'Afrique de l'Ouest (Cédéao) a demandé à la junte, qui a pris le pouvoir au Mali, de désigner un président civil de transition d'ici le 15 septembre, selon le communiqué final du sommet à Niamey.

Réunis à Niamey, au Niger, les dirigeants d'Afrique de l'Ouest ont décidé, lundi 7 septembre, de donner jusqu'au 15 septembre à la junte militaire au pouvoir au Mali pour désigner un président et un Premier ministre de transition.

Dans un communiqué lu à l'issue de leur sommet, les chefs d'État de la Communauté économique des États d'Afrique de l'Ouest (Cédéao) ont précisé que ce président et ce Premier ministre devaient être des civils.

Soucieuse de maintenir la pression sur les militaires ayant renversé le 18 août le président Ibrahim Boubacar Keïta, la Cédéao n'a pas levé les sanctions prises contre le Mali après le coup d'État : fermeture des frontières, et embargo sur les échanges financiers et commerciaux.

Ils ont néanmoins salué les mesures prises par la junte au cours de la semaine écoulée, afin d’ouvrir une concertation avec les partis politiques et des représentants de la société civile au sujet de la période de transition.

La Cédéao exige le rétablissement rapide d'un régime civil au Mali et l'organisation d’élections dans un délai d'un an, un calendrier sur lequel la junte réunie au sein d'un Comité national pour le salut du peuple (CNSP) ne s'est pas engagée.

AFP  

 

Le Mouvement Agir Ensemble pour le Burkina Faso a officiellement investi son candidat Kadre Désiré Ouédraogo pour l’élection présidentielle de novembre 2020. La dite investiture a eu lieu ce 06 septembre à la maison de la culture de Bobo Dioulasso. Une candidature « acceptée » par KDO à travers la remise symbolique d’une attestation de désignation.

«J’accepte d’être votre candidat à l’élection présidentielle du 22 novembre » affirme Kadre Désiré Ouédraogo dit KDO lors de son investiture comme candidat à la présidentielle prochaine par le mouvement agir ensemble pour le Burkina Faso.

La cérémonie d’investiture était axée autour du thème « quel Burkina légué aux générations futures : Défis et perspectives » et a connu la participation de chefs coutumiers et religieux, de représentants de partis de l’opposition comme de la majorité et de partis affiliés à la coalition.

Pour KDO,  sa candidature est motivée par le fait que le Burkina est aujourd’hui « méconnaissable » sur les plans de la sécurité, la stabilité et le vivre ensemble. Et pour cela il se dit « prêt à redonner une autre image au Burkina que ce désastre qui ne fait honneur à aucun d’entre nous ».

Selon KDO, sa priorité une fois au sommet de l’Etat burkinabè sera d’engager la réconciliation afin de faire taire les querelles en vue d’opposer un front uni au danger.

Le contrat social que le candidat du mouvement agir ensemble propose se battit autour de 3 axes « indissociables » que sont la paix et la sécurité, l’égalité dans la transparence, et enfin le développement pour la prospérité.

L’ancien premier ministre sera donc confronté au président sortant, au chef de file de l’opposition et d’autres « baobab » de partis politiques lors du scrutin présidentiel à venir.

 

    

Le comité de l’Appel de Manéga invite le chef de l’Etat à ouvrir une ultime concertation nationale autour des élections regroupant toutes les forces vives de la nation. Le comité appelle également les candidats à la présidentielle à prendre un engagement solennel devant le peuple à travailler ensemble quel qu’en soit le résultat à l’issue des élections. Ces résolutions ont été adoptées à l’issue d’un colloque du conseil technique et scientifique du comité tenu le 1er août à Manga. Ces résolutions concourent à la réconciliation nationale et au vivre-ensemble.  

Le Burkina Faso se prépare pour les élections présidentielle et législatives prévues le 22 novembre 2020.  Dans  sa quête de paix, de vivre-ensemble et de réconciliation nationale, « l’Appel de Manéga » a organisé un colloque autour du thème « évaluation de la feuille de route des sages et des enjeux politiques et électoraux en lien avec la réconciliation nationale et la paix » le 01er août 2020 à Manga. Les experts et les personnes ressources se sont penchés ainsi sur l’organisation des élections en lien avec la crise sécuritaire et l’offre de la réconciliation nationale.

Selon le comité, dans la perspective de la tenue effective des élections, la sécurisation de ces élections doivent être exclusivement assurée par les FDS sans la participation d’autres forces telles que les groupes d’auto-défense. Aussi l’Etat devrait maintenir les autorités coutumières en dehors du champ de la politique partisane pour ainsi demeurer les derniers recours dans la résolution des crises.

Toutefois, si les élections se tiennent partiellement sur certaines parties du territoire, ceci n’est pas sans conséquence. Des citoyens se verront exclus par la restriction de leur droit de vote à participer aux élections. De plus, un grave problème de territorialité et de souveraineté du pays se poserait en concédant une partie du territoire aux terroristes. Par ailleurs l’absence de légitimité des élus est envisageable.

Soucieux donc de toutes ses questions, le comité a pris deux résolutions. Il invite de facto le président du Faso à ouvrir une ultime concertation nationale sans exclusive autour des élections pour recueillir les avis et suggestions de toutes les forces vives de la nation. Secundo, l’Appel de Manéga à travers ses experts appelle les candidats à la présidentielle à prendre un engagement solennel devant le peuple à travailler ensemble, victorieux ou perdant, pour l’intérêt supérieur de la nation.    

Cheick Omar Ouedraogo (staigiaire)

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