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BURKINA FASO

BURKINA FASO (427)

Le trafic dans la capitale burkinabè devient de plus en plus intense. Entre l’étroitesse des voies et l’insuffisance de feux tricolores, c’est tout un casse-tête de circuler à Ouagadougou. Nous nous sommes intéressés au cas de l’axe Ouaga inter, où il n’y a qu’un seul feu pour la piste cyclable réservée aux engins à deux roues et la voie réservée aux véhicules.  

Des Klaxons de voitures et de motos, des policiers qui régulent la circulation. Nous sommes sur l’axe Ouaga inter, sur la voie menant au rond-point de la patte d’oie.  Ici la circulation est sens dessus-dessous et c’est un parcours de combattant que de réussir à se frayer un passage. En effet, sur ce croisement situé près de la gare routière, il n’y a qu’un seul feu tricolore pour les deux pistes à savoir celle des deux roues et celle réservée aux véhicules. Une situation qui n’enchante ni les passants ni les riverains qui déplorent les nombreux cas d’accidents causés par cette situation. « Il est vraiment dangereux de circuler sur cet axe. Avant il y avait deux feux pour les motos et pour les véhicules, mais maintenant, il n’y a qu’un seul feu qui contrôle les deux côtés. Ce qui fait qu’il est vraiment risqué de circuler ici » nous a expliqué Issaka ILBOUDO, riverain de la voie. « Il y a de cela quelques jours un poids lourd a écrasé une personne sur sa moto sur cette même voie » a-t-il poursuivi.

« L’état actuel de la voie ne rend pas la circulation fluide. Lorsque le feu est vert, il y en a qui veulent tourner, et d’autres non. Cela cause d’énormes soucis » a affirmé YABRE Abdoul Lamine riverain.

Au regard de l’état de la voie, la police est obligée d’intervenir pour réguler la circulation. Ce qui soulage   les passants. « La police fait du bon boulot sur cette voie, mais les problèmes persistent » soutien Omar LOMPO qui emprunte régulièrement la voie.

Passants et riverains ne souhaitent alors qu’une seule chose, l’installation d’un second feu pour rendre la circulation plus fluide et réduire le taux des accidents sur cet axe. « Si vraiment on gagne un deuxième feu, ça allait beaucoup nous aider et aider tout le monde » a conclut YABRE Abdoul Lamine.

Selon une lettre circulaire de la direction générale en charge du Commerce du Mali, en date du 19 février 2021, une gamme de thé vert de Chine de marque Achoura contiendrait des résidus de pesticides. Cette direction recommande par ailleurs le retrait du lot incriminé du circuit de distribution afin de préserver la santé des consommateurs.

Ceci est le message de l'ex président et ancien premier ministre sous la transition, Yacouba Isaac Zida suite à l'adhésion du MPS à la majorité présidentielle

Confucius disait que « tout le monde pense que le bonheur se trouve au sommet de la montagne alors qu’il se trouve dans la manière de la gravir ».

Je voudrais à travers ce message adresser mes félicitations au professeur Augustin Loada et son parti le Mouvement Patriotique pour le Salut (MPS) pour la décision prise d’adhérer à la majorité. Il ne fait aucun doute que c’est une décision mûrement réfléchie et issue d’échanges entrepris au sein des instances du parti. Je salue donc non seulement le courageux choix politique mais également la démarche qui a abouti à ce positionnement. La principale raison avancée est la priorité accordée au processus de réconciliation nationale par le président Roch Marc Christian KABORÉ et son gouvernement. Aussi, en réponse à l’appel du parti, je m’inscris dans cette logique de la réconciliation nationale tout en félicitant le chef de l’État qui à l’entame de son second mandat, s’est attaqué de manière résolue à ce chantier de la réconciliation nationale et de la cohésion sociale, porteur d’immenses espoirs pour l’ensemble de notre peuple. La réconciliation nationale n’a jamais été facile nulle part et certainement qu’elle ne le sera pas au Burkina ; mais nous devons ensemble relever le défi car la grandeur d’un peuple réside en sa capacité à transcender ses divergences pour bâtir une nation forte au bénéfice des générations présentes et futures.

Je suis convaincu aujourd’hui que notre pays prend la bonne direction ; aussi je réaffirme mon entière adhésion au processus enclenché et invite dès à présent toutes les militantes et tous les militants du MPS ainsi que tous les Burkinabè, femmes ou hommes, jeunes ou vieux, indépendamment de leur appartenance politique, ethnique ou religieuse, à se mettre tous à l’ouvrage afin de faire de la réconciliation et de la cohésion sociale une réalité dans notre pays.

À tous ceux qui doutent encore, je voudrais les interpeller et dire que leurs doutes, leurs craintes et parfois mêmes leur colère sont légitimes ; toutefois, la réconciliation n’étant pas un processus linéaire, notre pays peut éditer sa propre version originale qui nous mettra tous en confiance. Chacun d’entre nous a donc le devoir d’y contribuer pour qu’au bout du compte cette réconciliation soit ce que souhaite véritablement l’ensemble de notre peuple. Il est plus que jamais temps que notre solidarité quitte le cadre des slogans pour se traduire maintenant en actions concrètes à l’endroit de tous nos compatriotes qui sont profondément blessés et ont besoin d’être guéris de graves traumatismes physiques et psychologiques. Cette réconciliation sera le premier pas vers l’édification d’une nation solidaire, unie, forte et prospère. La sagesse populaire ne nous enseigne-t-elle pas de regarder là où l’on a trébuché plutôt que là où l’on est tombé ? Nos échecs face aux ennemis extérieurs sont dus en grande partie à une incohésion sociale aggravée: des burkinabé aux côtés de parfaits inconnus ont pris les armes contre leurs propres concitoyens et cela ne saurait être anodin.

Refusons d’être les victimes résignées d’un projet d’anéantissement de notre nation, de nos familles, de notre identité et de nos valeurs, projet orchestré par les forces du mal et exécuté par les groupes armés terroristes actifs dans notre région sahélienne depuis quelques années, et qui dans leur folie meurtrière ne discriminent aucune ethnie, aucune religion, aucun village ni aucune ville ; nous devons quitter nos positions tranchées qui parfois encouragent et dynamisent nos agresseurs tout en sapant le moral de nos braves soldats. Il est temps qu’ensemble nous reprenons en main notre destin en changeant le cours de cette guerre injuste et de cette histoire tragique qui nous sont imposées.

Nulle personne ne peut se réconcilier avec les autres si elle n’est pas d’abord réconciliée avec elle-même; par conséquent, si notre pays le Burkina Faso veut retrouver son éclat et sa place dans le concert des nations, il lui faut impérativement se réconcilier avec lui-même et ensuite se réconcilier avec ses voisins et avec tous les peuples d’Afrique et du monde.

Que Dieu bénisse le Burkina Faso réconcilié !!!

 

L’Alliance des partis et formations politiques de la majorité présidentielle a tenu sa toute première conférence de presse de l’année le jeudi 04 mars 2021. Le regroupement s’est prononcé sur  certains nombres de points qui animent la situation nationale notamment la nouvelle configuration politique. L’alliance a également accueilli une dizaine de partis politiques en son sein.

Ce sont au total 11 partis et formations politiques qui ont rejoint officiellement le 04 mars la majorité présidentielle. Selon le coordonnateur de l’APMP Clément SAWADOGO, ils ont reçu en tout 22 demandes d’adhésion et après étude des dossiers, 11 ont été retenus. « Nous ne recevons pas n’importe qui à la majorité » a-t-il précisé. Me. Benewendé SANKARA se réjouit de ces adhésions qui viennent renforcer le poids de la majorité. « Il faut se réjouir que la majorité se renforce. Il faut consolider les acquis et défendre le programme pour lequel le chef de l’Etat est élu. Nous sommes heureux de savoir que les partis politiques viennent renforcer ce combat » a-t-il affirmé.

Ce fut l’occasion pour l’APMP de dresser le bilan des élections couplées. « Cette victoire au premier tour de l’élection présidentielle signifie sans nul doute une adhésion et une appréciation positive par notre peuple de la mise en œuvre du programme présidentiel du premier mandat » s’est félicité Clément SAWADOGO.

L’APMP apprécie positivement la composition de la nouvelle équipe gouvernementale avec en sa tête le premier ministre Christophe Joseph DABIRE. « L’APMP fait la lecture d’une part, d’une recherche d’efficacité de l’action gouvernementale et d’autres part, de la nécessité d’une démarche de cohésion harmonieuse dans la mise en œuvre des 10 chantiers du programme présidentiel ».

L’Alliance a aussi salué la création d’un ministère en charge de la réconciliation nationale. Toute chose qui selon les membres « témoigne une fois de plus de l’esprit rassembleur du président KABORE et du comportement républicain qui anime les acteurs politiques burkinabè qui savent mettre en avant l’intérêt supérieur de la nation ».

L’APMP a par ailleurs « invité le nouveau chef de file de l’opposition a un esprit républicain, et lui assure de sa franche collaboration dans l’intérêt de la république et du bonheur du peuple Burkinabè ».

  

Winston Churchill faisait remarquer que « La démocratie est la pire forme de gouvernement, à l’exception de toutes les autres formes qui ont été régulièrement tentées ». C’est cette conviction qui a toujours soustendu notre engagement en faveur d’une gouvernance démocratique dans notre pays. C’est fort également de la conviction que celle-ci ne devrait pas être une simple fin en soi mais un levain pour un avenir plus radieux pour notre peuple que notre engagement politique s’est sublimé dans le Mouvement Patriotique pour le Salut (MPS). A un moment où notre classe politique amorce une mutation profonde, le MPS ne pouvait rester en marge de ce mouvement, dont les lignes de fracture opposent, nolens volens, les tenants de la restauration d’un ordre ancien et ceux d’un monde nouveau encore en gestation.

Camarades militants

Contraint, aux termes de l’article 4 de la loi du 14 avril 2009 relative au statut de l’opposition politique de choisir son camp, le MPS a choisi d’adhérer à la majorité, instruit par l’histoire postcoloniale et récente de notre peuple. A ces leçons de l’histoire s’ajoute un impératif du moment, celui de la réconciliation nationale, celui d’un retour apaisé du président d’honneur du MPS, celui d’une consolidation de notre jeune démocratie. Le Secrétariat exécutif national (SEN) du MPS s’est en effet réuni le mardi 2 mars 2021 en vue d’examiner la situation du parti et la vie politique nationale. Au nombre des questions qu’il a discutées figure le processus de réconciliation nationale amorcé dans notre pays depuis la fin des élections législatives et présidentielles couplées de novembre 2020. Pour le MPS, le débat sur cette question inscrite à l’agenda gouvernemental avec la nomination d’un ministre d’Etat en charge de la réconciliation nationale et de la cohésion sociale ne devrait plus se poser en termes de pertinence mais en termes de substance. Ainsi, les réserves et oppositions exprimées çà et là sur cette question doivent être interprétées comme une invite pressante à examiner et traiter les problèmes qui en découlent avec le plus grand sérieux afin de ne pas décevoir et frustrer une fois de plus le peuple et la nation burkinabè qui, en dernier ressort, devraient rester l’arbitre suprême et le bénéficiaire ultime de toute action publique. Il appartient dès lors aux filles et fils du Burkina Faso d’apporter leurs contributions plurielles à la définition d’une politique et d’une stratégie de réconciliation nationale et de cohésion sociale qui reflètent les préoccupations et la volonté du plus grand nombre, celles du peuple et de la nation burkinabè.

Camarades militants

Aucune société ne peut se développer sans un minimum de coopération ; aucune société n’aura d’avenir avec des relations foncièrement antagonistes qui empoisonnent notre destin commun. Comme le soutient un penseur, l’enjeu n’est pas de faire en sorte que nous nous aimions les uns les autres, mais bien de créer une base de confiance minimale pour qu’un certain degré de coopération et de confiance mutuelle indispensable puisse exister ; pas seulement entre les hommes politiques, les militants et les sympathisants qui les suivent, mais également au sein de la population, de l’ensemble des communautés. Le MPS fait le difficile mais nécessaire pari de la réconciliation, convaincu que des relations positives plutôt que négatives peuvent créer une atmosphère plus propice à l’édification d’un Burkina meilleur, qui se trouve au coeur de son projet politique. C’est pourquoi il a souverainement décidé d’adhérer à la majorité, et lancé un appel solennel à son président d’honneur avec qui il partage toutes ces valeurs, pour qu’il adhère au processus de réconciliation nationale enclenché par le président Roch Marc Christian Kaboré et son gouvernement.

Vive le MPS, vive le Burkina Faso !

Pr. Augustin Loada

Président du MPS

Suite aux révélations du journal l’Évènement, dans sa dernière parution, faisant cas de la libération d’une vingtaine de présumés terroristes par le gouvernement burkinabè après des négociations avec Iyad Ag Ghali, le ministre de la communication rejette toute idée de « négociation » avec les groupes  

«  Nous avions relevé ou constaté nous-mêmes que dans les zones impactées par l’insécurité, touchées par l’insécurité, nous avons constaté une certaine prise de conscience d’un certain nombre de leaders d’opinion. Les coutumiers et religieux et d’autres personnes ressources. Et qui avaient conscience qu’il fallait lancer un appel, faire une sensibilisation à l’endroit des burkinabé qui s’essaient enrôlés dans des groupes terroristes. Et de quitter ces groupes terroristes et rejoindre leur pays. et le gouvernement encourage cette attitude. C’est un autre pan de la lutte aussi. Il ne s’agit pas tout simplement de déployer une stratégie militaire ou autre mais il s’agit de faire en sorte que les jeunes burkinabè ne rejoignent pas ces rangs terroristes pour les renforcer et continuer à endeuiller notre pays. Je ne peux pas confirmer ou infirmer. Le journaliste à ces sources. Il  fait son article. Mais le plus important est que le gouvernement du Burkina Faso n’a pas entamé de négociation avec les groupes terroristes. »

La célébration du 8-Mars offre une occasion unique pour toutes les nations de se pencher sur la situation des femmes. Au Burkina Faso, la 164ème journée internationale de la femme sera commémorée autour du thème:« Inclusion financière par le numérique pour un développement économique de la femme : défis et perspectives ». Pour l’occasion, le ministère en charge de la femme et de la famille a procédé au lancement d’un numéro vert de dénonciation des violences basées sur le genre. Une manière pour le département de Laurence Marchall/Ilboudo de témoigner de l’engagement des premières autorités du pays dans l’amélioration des conditions de vie des femmes.

Selon la ministre, le lancement du numéro vert (80 00 12 87) se positionne comme un outil important pour les dénonciations et la prise en charge holistique des victimes. « Les appels entrants sur le numéro sont anonymes et gratuits pour les trois réseaux de téléphonie existant sur le marché. Et l'équipe commise à la tâche composée de juristes, de psychologues, d’éléments de la police judiciaire et des travailleurs sociaux, assurera la continuité du service 24 heures sur 24 », a jouté la ministre.

Prisca KAM

Six personnes ont trouvé la mort dans la région du sahel  hier 2 mars. Une  ambulance du district sanitaire de Djibo a sauté sur un engin explosif improvisé entre Gaskindé et Namissiguia dans la province du Soum. L’incident s’est produit alors que l’ambulance était en mission d’évacuation sanitaire sur Ouagadougou.  L’explosion a causé la mort de la patiente, son mari, 02 accompagnantes, une fillette et l'ambulancier selon le porte-parole du gouvernement.

 « Le gouvernement condamne fermement cet acte criminel perpétré par des individus sans foi et présente ses condoléances aux familles éplorées » écrit Ousseni Tamboura le ministre de la comMunication.

« Le gouvernement invite les populations à collaborer avec les Forces de défense et de sécurité et réaffirme sa détermination à assurer la sécurité des populations sur toute l’étendue du territoire national » précise le porte-parole du gouvernement

Le Président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré, est intervenu, en début de semaine par vidéo, à la deuxième édition du Forum d’Aswan sur le développement durable. Un forum qui se veut un cadre d’échanges sur les enjeux du continent africain.

Selon la direction de la communication de la présidence du Faso, c'est dans un contexte de COVID-19, que la réflexion, cette année, porte sur la pandémie et la problématique de la réponse africaine à la crise. Pour le président du Faso, la crise de la COVID -19 ne doit pas faire perdre de vue la crise sécuritaire, car venant plomber les efforts de pays, en général et ceux sahéliens, en particulier, durement éprouvés. Le chef de l’Etat a également noté la nécessité pour « l’Afrique de prendre en main son destin en vue d’apporter des réponses endogènes » à cette crise sanitaire. Afin de soulager les populations, le président Kaboré a appelé à « un renforcement des mesures sociales et de développement en faveur des populations éprouvées durement par la double crise sanitaire et sécuritaire ». C’est pourquoi, a conclu le président du Faso, « nous réitérons notre appel pour une annulation de la dette de l’Afrique et particulièrement de celle des pays du G5 Sahel qui consacrent entre 20% et 30 % de leurs budgets nationaux à la sécurité ».

Après quatre années d’activités à la tête de la chambre de commerce et d’industrie du Burkina Faso, le bureau consulaire s’est prêté à un devoir de redevabilité. Il a en effet livré le bilan de ses activités durant cette période le mardi 02 mars 2021. C’était au cours d’une conférence de presse au sein de l’institution. Selon ce bilan, plus de 53 500 nouvelles entreprises ont été créées durant la mandature 2016-2021.

Malgré un contexte sécuritaire et sanitaire assez difficile, le bureau consulaire a pu réaliser 91,56% de son programme d’activités durant l’année 2020. C’est ce qui ressort du bilan annuel. En ce qui concerne les activités menées durant la mandature 2016-2021, le bureau a pu réaliser entre autres, un parking pour véhicules poids lourds à Cotonou, la construction des sièges des délégations consulaires régionales, l’opérationnalisation d’une institution de microfinance, SAFINE SA qui sera inaugurée prochainement et la poursuite des travaux d’extension du port sec de bobo. Mahamadi SAWADOGO président de la chambre de commerce a ainsi remercié ses collaborateurs « pour ces résultats fort appréciables »  

La chambre de commerce et d’industrie du Burkina envisage conquérir l’espace CEDEAO à travers plusieurs activités en perspectives comme l’accélération de la réalisation du port sec multimodal de Ouagadougou.  « 2021 est une année charnière pour notre institution qui devra relever le double défi de l’achèvement des projets majeurs de la mandature » a expliqué le président de la chambre de commerce. Il est prévu en novembre 2021 des élections pour élire un nouveau bureau consulaire.

En ce qui concerne la tenue de « AFRICALLIA » (un forum multisectoriel de développement internationale des entreprises initiées par la chambre de commerce du Burkina), le bureau envisage de l’organiser en 2022. « La plupart de nos partenaires viennent des quatre coins du monde. Or en Europe, en Amérique et en Asie, la covid 19 est très développé. Alors si on s’hasarde à l’organiser cette année, nous n’aurons pas le succès escompté. Nous estimons qu’il faut sagement envisager l’organisation en 2022 » a laissé entendre le président du comité de pilotage de « AFRICALLIA », Oumar YUGO. 

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