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BURKINA FASO

BURKINA FASO (427)

On se souviens encore qu'il fut un temps où l'ancien maire de la capitale, Simon Compaoré, s'était évertué à donner un nom à nos rues à coup de cérémonies d'inauguration.

Quelques 10 ans plus tard le constat sur le terrain donne à se demander si tout l'effort consenti en valait réellement la peine ? S'il existe au sein de la mairie un service dédié au suivi et au contrôle de ces plaques pourtant appartenant au risque de nous tromper à la mairie?

Ça et là les plaques sont soit cachées soit décrochées, laissées à l'abandon ou purement et simplement déplacées pour un lieu autre que le lieu initial. Parfois même disparaissent carrément.

Qu’on se comprenne bien. Nous ne mettons nullement en cause la notion de propriété privée des détenteurs des murs où sont fixées ces plaques.
Mais qu’on nous permette d’attirer l’attention du maire que, s’il n’y prend garde, il risque d’avoir affaire à une débaptisation anarchique des rues qui n'aura respecté aucune procédure en la matière.

C’est pourquoi, d'un point de vue moral et journalistique une sensibilisation s'impose à tous les niveaux.

Le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré, a  eu en fin de matinée une séance de travail avec le président de la Transition du Mali, Bah N’Daw, en visite d’amitié et de travail au Burkina Faso.
Les ministres burkinabè et malien en charge des Affaires étrangères ont animé un point de presse à l’issue de la rencontre de travail entre les deux parties. « Je peux qualifier de fructueux, ces échanges qui ont porté sur différents sujets, sur la coopération notamment l’intégration entre les deux pays », a indiqué le ministre burkinabè des Affaires étrangères, de la Coopération, de l’Intégration africaine et des Burkinabè de l’extérieur, Alpha Barry.
Il a déclaré que dans le cadre du renforcement de la coopération entre « les deux pays frères et voisins », les présidents Kaboré et N’Daw ont donné des instructions pour la reprise de la commission mixte de coopération entre les deux pays, qui n’a pas pu se tenir depuis 2012.
« Le président de la Transition du Mali a fait part au président du Faso de la situation intérieure du Mali  au niveau politique et sécuritaire. Le Burkina Faso et le Mali partage une même situation sécuritaire préoccupante », a soutenu le ministre Alpha Barry. C’est pourquoi, avant le sommet du G5 Sahel à Ndjamena, qui entend faire le bilan des engagements du sommet de Pau et réorienter la lutte contre le terrorisme, il était nécessaire, selon Alpha Barry, que les deux présidents échangent leurs vues sur la question.
Selon le ministre malien des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Zeyni  Moulaye cette visite s’inscrit dans le cadre d’une tournée entreprise dans la sous-région, depuis la mise en place des organes de la Transition pour raffermir les relations de bon voisinage et renforcer la coopération bilatérale.
Il a affirmé que le Mali entend profiter de l’expérience du Burkina Faso en matière de gestion d’une transition pour mieux réussir la gestion des affaires de l’Etat et aboutir à des élections acceptées de tous.

Direction de la communication de la présidence du Faso

La police nationale a mis aux arrêts un réseau de malfaiteurs spécialisés dans les actes de grand banditisme dans la ville de Ouagadougou. Plusieurs armes à feu  ainsi que des engins à deux roues et une somme d’argent ont été saisis.

 Ce sont au total neuf (09) présumés délinquants qui ont été interpellés par la police judiciaire du centre. Ces jeunes dont l’âge est compris entre 22 et 29 ans étaient spécialisés dans les vols à main armée, les cambriolages de véhicules et des boutiques.

Basés dans un kiosque dans le quartier Tabtenga de la ville, ils s’y retrouvaient régulièrement pour planifier leurs attaques. Ils ciblent les centres de commerce à attaquer, ensuite ils se déportent sur les lieux pour faire la reconnaissance et attendent le moment propice pour passer à l’acte. Ils menacent leurs victimes avec leurs armes à feu, obligent les gérants à remettre leurs recettes et dépouille les clients de leurs biens et emportent les vélomoteurs originaux trouvés sur les lieux. Ils ciblaient également les véhicules de luxe garés devant les concessions, s’assurent qu’il n’y a personne, « défoncent les vitrent » et emportent les objets ayant de la valeur.

À l’issue de ces interpellations, 01 kalachnikov, 03 pistolets automatiques, deux revolvers, 06 vélomoteurs, 02 ordinateurs portables, 49 paires de chaussures neuves et une somme de 5 138 190 f CFA ont été saisis.

Quatre présumés malfaiteurs du réseau sont toujours en cavale et l’enquête se poursuit. La police a par ailleurs remercié la population pour leur « franche » collaboration et les exhortent à rester vigilants et prudents. À noter que des victimes sont déjà rentrés en possession de leurs matériels volés.

Le secteur du tourisme qui représente 3% du PIB dispose d'une importante production de données statistiques, a affirmé Bassirou Balboné, directeur de l’Observatoire national du Tourisme (OBSTOUR). Mais ce qui a prévalu à la tenue les 8 et 9 février 2021 ici à Ouagadougou, d'un atelier de formation au profit des utilisateurs des données du tourisme, c'est le fait que ces données statistiques soient encore sous exploitées.

Initié par OBSTOUR en collaboration avec le Sous-Programme Statistiques du Programme d’Appui à la Gestion Publique et aux Statistiques, l'objectif de cet atelier était donc d'informer les participants sur la production de ces données, où et comment s'en procurer. Pour ce faire, plusieurs modules tels que entre autres, les généralités sur le tourisme, les concepts et mots clés, l’élaboration et la production, l’accès aux données statistiques, les forces et faiblesses des statistiques du tourisme, ont été dispensés aux différents participants.

Au sortir des travaux les participants se veulent mieux outillés et prêts à utiliser les données déjà disponibles. A noter que d'autres sessions de formation en cours de réalisation en ce qui concerne les données statistiques sectorielles.

Secrétariat permanent du comité national de lutte contre la drogue alerte contre la consommation de la Chicha par les jeunes. Selon l’institution la Chicha est en réalité « plus novice » que la cigarette. « Une séance d'une heure de chicha revient à fumer entre 20 et 30 bâtons de cigarettes et les risques pour la santé sont très élevés : maladies cancérigènes, problèmes cardio-vasculaires, respiratoires, digestifs, etc » explique le SP CNLD.

Selon les informations Publiées par le secrétariat permanent du comité national de lutte contre la drogue au             Burkina Faso, le liquide (eau, alcool) utilisé dans le dispositif de la chicha joue un rôle important dans sa nocivité.  Il refroidit la fumée et permet une inhalation plus longue, plus profonde et donc plus nocive. En plus, le liquide diminue l'effet irritant du tabac et donne ainsi à la pipe à eau un goût plus doux. «  Des études récentes montrent qu’elle contient au moins 27 substances cancérigènes » prévient l’institution.

mercredi, 10 février 2021 11:21

Province de la Comoé : un gendarme tué à Ouo

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Des hommes armés ont tiré sur la brigade de gendarmerie de Ouo dans la province de Comoé. Un gendarme a été tué alors qu’il venait prêter main forte à ses frères d’armes selon une source sécuritaire. Un autre gendarme est blessé. L’attaque s’est déroulée aux environs de 21h, dans la nuit du mardi 09 février. Venus à moto, les assaillants ont dû battre en retraite. C’est la troisième fois depuis aout 2019 que les hommes de la brigade de  gendarmerie de Ouo sont visés par des tirs d’hommes armés non identifiés.

Des accessoires de beauté, de séduction et de protection pour plusieurs jeunes, les lunettes sont devenues indispensables pour de nombreux Ouagalais. Dans cet effet de mode, s’il y a des gens qui en tirent profit, c’est bien les vendeurs de lunettes. Généralement installés aux abords des voies, ils sont nombreux à vivre de cette activité.  

Installé  à quelques encablures du barrage de Tanghin sur le tronçon menant vers l’hôpital Yalgado OUEDRAOGO, Mahamadou TRAORE vend des lunettes depuis maintenant deux ans. Il a débuté avec la commercialisation des téléphones portables, mais s’est reconverti en vendeur de lunettes car selon lui, la vente des lunettes rapporte plus. « J’ai commencé avec des téléphones portables, mais j’ai fini par voir que le marché des lunettes est plus rentable, alors je me suis lancé » a-t-il affirmé.

Les clients de ces vendeurs sont généralement les passants, mais aussi les voyageurs. À les écouter, les périodes de fêtes et de poussière comme le mois de février sont plus propices à la vente. « J’ai commencé à vendre dans le mois d’Aout 2020. Et c’est pendant la période des fêtes que ça marche plus » nous a confié GUIRA Faiçal installé au secteur 18 de la ville de Ouagadougou.
Les prix des lunettes varient selon la qualité et l’esthétique et vont « 500 f CFA à 2500 F CFA».

Si ces commerçants ne se plaignent pas du marché, ils sont cependant confrontés à certaines difficultés. Généralement implantés aux abords des voies, ils sont accusés d’occuper anarchiquement le domaine public, et se voient souvent confisqués leurs marchandises par la police municipale. « Nous sommes constamment dans la peur. Lorsque vous êtes arrivés, je vous ai pris pour des policiers » a déclaré Traoré Mahamadou. « Nous sommes aux bord des routes et nous rencontrons souvent des difficultés avec la police. Mes articles ont été saisis à plusieurs reprises » nous a dit Aziz SAWADOGO, vendeur implanté au quartier Somgandé sur l’axe menant au Parc Bangre Weogo. «
«  Une fois je suis allé pour récupérer ma marchandise confisquée au commissariat, mais elle n’était pas au complet » nous a-t-il expliqué. Et entre les frais de retrait et de déplacement, les pertes sont souvent énormes pour certains.

Le souhait de Aziz SAWADOGO est de voir l’Etat burkinabè « encourager les petits vendeurs car ce sont les grands commerçants de demain »        

L’artiste musicienne Sami Rama a annoncé depuis l’Allemagne où elle réside, la fin de sa carrière musicale, à la faveur de la célébration de ses 50 ans, a-t-on appris de sources proches de la chanteuse.

C’est une Ramatou Goumbané alias Sami Rama de son vrai nom, voilée et en larme qui s’est exprimé par vidéo (près de 58 minutes) pour annoncer la fin de sa carrière musicale.

« Je viens auprès de vous, vous demandez 1000 fois pardon, de vous avoir entraîné dans mon rêve et de m’être arrêtée en cours de chemin. Pardonnez-moi du fond du cœur de partir au moment où vous espériez de moi de nouvelles réalisations. J’ai toujours nourri le rêve de vous donner le meilleur de moi, mais je suis désolée de mettre fin à cette aventure », s’est-elle exprimée.

Pourquoi une telle décision ? La Gazelle du Boulgou dit vouloir s’approcher plus de Dieu. « La voie de Dieu, n’est pas celui des humains. J’ai toujours rêvé de mener une vie pieuse, j’ai été interpellé par ce manquement et ma conscience m’a grondé, Alors, j’ai décidé de reparer ce manquement qui me perturbait. Alors, j’ai pris la décision d’installer la régularité et de faire des recherches sur Dieu et sur sa parole pour une meilleure et sincère pratique », a-t-elle dit.

« Je suis allée auprès de mon créateur et j’ai déposé toute ma vie à ses pieds et je me suis mise dans une période de médiation, de lecture, de prières, de jeûne, je me suis isolée, afin de mieux discerner et comprendre des choses. Ce fut un cheminement qui a recadré mes élans, ma vision, mes rêves, un processus qui a installé et écrit quelque chose de nouveau en moi et petit à petit je me suis éloignée de l’univers de la scène, car mon âme avait besoin de connaître un nouvel horizon ».

La musique et la native d’Adjamé (quartier d’Abidjan, Côte d’Ivoire) reste désormais un souvenir et « abandonné une chose qu’on a mis presque toute sa vie à construire et s’arrêter au moment où véritablement les choses se mettaient en place, croyez-moi ce n’est pas facile. Si j’ai mis du temps avant de vous l’annoncer, c’est parce que une telle décision ne se décide pas du jour au lendemain. C’est un processus, c’est une lutte entre l’âme et mes passions ».

Après cette fin de carrière Sami Rama dit vouloir écrire livre qui raconte son aventure musicale.

Depuis sa tendre enfance Sami Rama a toujours rêvé de devenir une artiste-musicienne. Elle intègre les petits chanteurs aux poings levés, puis les Colombes de la Révolution burkinabè. Grâce à Bazar Music, en 1989, elle commence une carrière solo avec son tout premier album intitulé Dounia (le monde).

Trois ans plus tard, elle sort un autre album, un hommage à sa mère, dénommé N’na (maman).En 2001, elle signe Afriqui Bii (Afrique où es-tu ?), une œuvre qui relate les difficultés du continent africain. Son élan artistique sera brisé par un mal à la gorge qui affectera ses cordes vocales.

Elle refuse d’abandonner ses fans sur un coup dur et se fait soigner en France. Pendant ces moments difficiles et convaincue de vaincre la maladie, elle compose et sort « Y croire », un hymne à la positivité et au combat dans la vie. C’est le grand succès de l’année 2005.

Ainsi, suivent des spectacles au Burkina Faso, dans la sous-région et en Europe. Elle prend une année sabbatique pour s’occuper de son association, Dacouan-han, qui vient en aide aux enfants démunis et de son entreprise de vêtements.

Son engagement pour les enfants en difficulté sera exploité par l’ONG Village SOS enfants qui lui attribuera le titre d’ambassadeur de bonne volonté. Sami Rama, c’est aussi de nombreuses distinctions.

Le talent de la gazelle du Boulgou(son surnom) a été maintes fois reconnu, à travers plusieurs prix. Parmi lesquels, le premier prix dans la catégorie vedette de la musique à la Semaine nationale de la culture (SNC) en 1996, le Kundé de la meilleure chanteuse féminine en 2002, lauréate du concours de la Francophonie.

Le mariage religieux de Ramatou Goumbané alias Sami Rama a été fait à la mosquée le samedi 4 janvier 2014 à Dassui, son village situé dans la commune rurale de Garango, avec Tarik Goltzsch, (consultant allemand). Le couple a consolidé ses liens plus tard avec le mariage civil, en Allemagne.

Le Burkina Faso est en marche vers un nouveau référentiel de développement. Abel SOME, secrétaire général du ministère de l’économie et des finances a en effet procédé à l’ouverture des travaux de l’atelier national d’approfondissement de la note d’orientation du référentiel national de développement 2021-2025. C’est un atelier de consolidation de la note qui définira l’action publique de développement au cours des 5 prochaines années.

La mise en œuvre du plan national de développement économique et social (PNDES) a pris fin en  2020. Le Burkina Faso est donc dans une dynamique vers un nouveau référentiel. Le présent atelier définira les « instruments d’opérationnalisation du référentiel » ainsi que son « mécanisme de suivi et d’évaluation », mais aussi identifier « les principaux indicateurs de suivi des progrès » et renforcer « le niveau d’alignement de cette note avec le programme présidentiel ». « L’atelier   marque une étape cruciale du processus de formulation du nouveau référentiel national de développement qui servira de boussole à la conduite de l’action publique au cours des 05 prochaines années » a déclaré Abel SOME représentant la secrétaire générale de la primature Yvonne GUIGMA.

Selon Dr Alain SIRI, coordonnateur technique du dispositif d’élaboration du nouveau référentiel, le document sera amélioré. Les questions de la santé, de la sécurité et de la cohésion sociale y seront mieux intégrées et mieux définies. « Ce référentiel va prendre en compte les actions pertinentes qui ne sont pas encore achevées dans le cadre du PNDES.Il va les consolider et essayer de corriger les faiblesses qui auront été identifiées dans le PNDES » a-t-il soutenu.

Lors de la première session des travaux du comité d’orientation et de supervision du processus d’élaboration du référentiel, les acteurs de la société civile et du secteur privé ont été invité à y prendre part. « Pour avoir la plus grande adhésion dans les politiques publiques, il faut veiller à l’appropriation et l’application de tous les acteurs » a soutenu Alain SIRI.
« Techniquement nous pensons que d’ici la fin du mois de mars nous allons aboutir à un document , et son processus de validation par les autorités va pouvoir s’ouvrir à partir de ce moment » a conclu le coordonnateur.  

Deux jeunes hommes dont les âges sont compris entre 23 et 25 ans, ont été tués hier à Guelwongo par une foule en furie, après une tentative de vol de moto, a appris l’AIB.

Le dimanche 07 février 2021 aux environs de 16h, deux jeunes qui se sont remorqués sur une moto, ont tenté de retirer la moto neuve d’un passant à Guelwonguo (Nahouri, Centre-sud).

Face à la résistance de la victime et aux secours qui se pointaient, les agresseurs se sont retirés.

Dans leur fuite, ils ont heurté une femme sur un vélo, avant de se retrouver à terre.

C’est alors que les présumés bandits ont été saisis par une foule en colère et lynchés sans autre forme de procès.

Certains habitants militaient pour qu’on les livre au groupe d’autodéfense Koglweogo. Mais ils n’ont pas été écoutés.

Lundi matin, des parents sont venus chercher les dépouilles de leurs enfants.

Des groupes de bandits transfrontaliers sévissent régulièrement à Guelwongo, un village burkinabè frontalier avec le Ghana.

Le 5 janvier 2021, trois personnes ont été tuées et six autres blessées par des présumés bandits au marché de Guelwongo.

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