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BURKINA FASO

BURKINA FASO (427)

Ceci est un extrait du compte rendu de l’hebdomadaire conseil des ministres du mercredi 03 février 2O21

Le bilan céréalier définitif fait ressortir un excédent brut global estimé à 109 321 tonnes, résultant d’un excédent brut de 668 792 tonnes pour les céréales traditionnelles (mil, sorgho, maïs, fonio) et de déficits bruts respectifs de 322 141 tonnes et de 237 330 tonnes pour le riz et le blé. En prenant en compte le solde import/export, le bilan céréalier définitif fait ressortir un excédent net de 792 301 tonnes, dégageant un disponible apparent par habitant de 243 kg.

La production définitive des cultures céréalières est estimée à 5 179 104 tonnes. Cette production est en hausse de 4,85% par rapport à la dernière campagne agricole et de 12,88% par rapport à la moyenne des cinq (05) dernières années.

La production globale des autres cultures vivrières (niébé, voandzou, patate et igname) est évaluée à 967 931 tonnes. Comparée à la campagne passée et à la moyenne des cinq (05) dernières années, elle est respectivement en hausse de 9,62% et de 25,20%.

La production des cultures de rente estimée à 1 810 289 tonnes est en hausse respectivement de 17,04% et de 31,39% par rapport aux résultats de la campagne agricole précédente et à la moyenne des cinq (05) dernières années. Page 9 sur 15

Le bilan fourrager indique un disponible fourrager au niveau national de 19 377 347 tonnes de matière sèche, composé du disponible des pâturages (4 909 652 tonnes), des cultures fourragères (48 276 tonnes) et des résidus de récolte (14 419 419 tonnes) pour un besoin de 18 075 756 tonnes de matière sèche. Ce disponible couvre 107% des besoins, ce qui place notre pays en équilibre fourrager.

 

Créé le 17 mars 2020, le comité national de gestion de la crise de la pandémie du Covid 19 (CNGCP) a livré le bilan de la gestion de la maladie tant au plan national que régional (région du centre). C’était au cours d’une rencontre ce 02 février en présence du gouverneur de la région du centre. Le plan du départ a expiré en fin décembre 2020 et selon le secrétaire exécutif, l’élaboration d’un autre plan est en perspective.

Le seul mois de janvier a enregistré plus de 3000 cas positifs au coronavirus ainsi que 35 décès. Les mois de décembre et janvier comptabilisent 40% du total des décès au Burkina Faso. Cela montre l’ampleur du rebond de la maladie au niveau national. 64 districts sur les 74 que compte le pays sont touchés et les deux grands foyers sont Ouagadougou et Bobo Dioulasso. Depuis le début de la pandémie, 135 000 tests ont été réalisés et 18012 contacts ont été suivis. L’on note également l’introduction du test du diagnostic rapide a affirmé le Dr Brice BICABA coordonnateur du comité de lutte contre la covid19.  31 lits de réanimation sont consacrés aux malades de covid et 21 laboratoires repartis dans tout le pays sont en mesure de réaliser les tests.

Avec plus 7000 cas à son actifs et 66 décès, la région du centre est la plus touchée par cette maladie selon le bilan du comité régional de lutte contre la covid19.  Les districts de Bogodogo et de baskuy enregistrent le plus grand nombre de cas positifs tant disque les districts de Nongremasem et de sig-noghin sont les moins touchés selon ce bilan.

Si plusieurs actions ont été menées dans le cadre de la lutte contre cette maladie, les difficultés rencontrées sont de plusieurs ordres. « Les grosses lacunes sont surtout des problèmes de financement et souvent de coordination » soutien le colonel colonel-major Théodore Naba secrétaire exécutif du CNGCP. Plusieurs défis restent à relever (la gestion des déchets de prélèvement, les gestions des cas positifs et contacts, la désinfection des ménages et des foyers et les ressources financières).

« Nous allons avoir un plan pour le reste de l’année, car la maladie est bien présente et il faut vivre avec » a affirmé le secrétaire exécutif du CNGCP. Au regard de l’évolution de la maladie, le secrétariat exécutif prévoit l’introduction de vaccin anticovid dans le pays. « … il y a évidemment la prévision des vaccinations qui sont en train d’être préparées pour lutter contre la maladie » nous a confié le colonel-major Théodore Naba.  

Le ministre de la Santé, Pr Charlemagne Ouédraogo a visité ce mardi 2 février 2021, des sites de dépistage du Covid-19. Il s’agit du CHU Yalgado Ouédraogo, de l’aéroport de Ouagadougou et du Centre médical urbain du secteur 52 à la Patte d’oie.

Au cours de la visite à l’aérogare pèlerin de l’aéroport international de Ouagadougou, il a indiqué qu’une dizaine de personnes ont été appréhendées pour fraude grâce au code QR qui se trouve sur les résultats du test.

Les contrevenants un voyageur venant du Sénégal et 11 expatriés au départ de Ouagadougou ont été saisis par la police et les motifs de leurs accusations ont été portés à la connaissance du procureur du Faso. Le  Professeur Charlemagne Ouédraogo a invité la population et les voyageurs à éviter de « passer par des courts chemins pour obtenir des résultats frauduleux ».

Par voie de presse, la Fédération des syndicats nationaux des travailleurs de l’éducation et de la recherche ( F-SYNTER) avait dénoncé la note du gouvernement interdisant les Universités publiques et au Centre National de la Recherche Scientifique et Technologique ( CNRST) d’accepter les candidatures des Ingénieurs de Recherches (IR) et les Enseignants à Temps Plein ( ETP) au concours du Conseil Africain et Malgache pour l’enseignement supérieur (CAMES). Le ministère de l’enseignement supérieur était face à la presse le 01 février pour donner sa lecture de la situation. « Le MESRSI ne peut et ne va jamais s’ériger en fossoyeur de ses agent » (Pr Mahamadou SAWADOGO secrétaire général du ministère).

Ledit décret (N° 2019-0435/PRES/PM/MESRSI/MFPTPS/MINEFID/MS portant organisation des emplois des enseignants-chercheurs, et règlementation des fonctions d’enseignants à temps plein et ingénieurs de recherches) a été signé en accord avec les partenaires sociaux dont la F-SYNTER ont affirmé les conférenciers. Et selon ce décret, les IR et ETP doivent désormais ( 1er janvier 2020) se soumettre à un concours pour être nommés assistants et attachés de recherches avant de pouvoir postuler au concours du CAMES. « Tous les partenaires sociaux ont dit qu’ils ne veulent plus de recrutements d’ETP et d’ingénieurs » a déclaré Mahamadou SAWADOGO, secrétaire général du Ministère de l'enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de l'innovation (MESRSI).

Et si la F-SYNTER exige l’annulation de la note du gouvernement sur cette interdiction, le ministère quant à lui leur propose de « respecter et d’appliquer le décret jusqu’à sa relecture. A écouter le Pr Mahamadou SAWADOGO, une période de 3 ans avait été accordée aux fonctionnaires des institutions publiques d’enseignement supérieur pour soutenir leur thèse et demander à être nommés assistants ou attachés de recherche. Ainsi plusieurs ETP et IR ayant soutenu avant la date butoir (31 décembre 2019) ont été systématiquement nommés assistants et attachés de recherche.

Par ailleurs, le ministère est en réflexion pour la création d’emplois pour les catégories enseignant à temps plein et ingénieur de recherche a soutenu les conférenciers.   

Selon le quotidien Sidwaya le site d’orpaillage du village de Djikando , à Gaoua, dans la région du Sud-ouest a été la cible d’un braquage.  Un acheteur d’or aurait été la cible de ce braquage. Arrivés dimanche dans la soirée  les assaillants  ont tiré des rafales «  d’armes automatiques » selon le journal. Huit personnes ont été tuées et une vingtaine de  blessés. Une enquête a été ouverte par   le procureur du Faso près du tribunal de grande instance de Gaoua, Cheik Alfa Boubakar, qui s’est rendu sur place pour constater les faits.

 

La police Nationale a mis aux arrêts deux (02) réseaux de malfaiteurs qui opéraient dans la ville de Ouagadougou. Ces présumés délinquants étaient spécialisés dans le vol à main armée, l’escroquerie et le faux et usage de faux en écriture publique.

Ce sont au total cinq (05) présumés délinquants des deux réseaux dont l’âge varie entre 26 et 43 ans qui ont été mis aux arrêts. Ces individus étaient spécialisés dans les vols à main armée pour le premier groupe et l’escroquerie et le faux et usage de faux en écriture publique pour le 2e groupe.

Le premier groupe menaçait leurs cibles avec une arme avant de les dépouiller de tout bien trouvé en leur possession. Quant au second groupe, ils attiraient leurs victimes par des publications sur les réseaux sociaux à travers une société de vente dénommée « Darell’ store ». Après plusieurs échanges et après avoir obtenu la confiance de leurs cibles, ils parvenaient à leur extorquer de l’argent.

Un pistolet automatique, quatre (04) motocyclettes, huit (08) téléphones portables et la sommes de cent mille FCFA. C’est le butin saisi par la brigade de recherches du commissariat central de police de la ville de Ouagadougou.

Ces deux réseaux de malfaiteurs opéraient notamment dans les quartiers Sankar’yaaré, Rimkieta, Dapoya et Bassinko.
La police a pu mettre la main sur ces malfrats grâce à la collaboration des populations. Elle invite alors à plus de vigilance et à signaler tout cas suspect aux numéros verts (le 17, le 16 et le 1010).    

Depuis la fin du mois de novembre, le pays est confronté à une deuxième vague. Cette vague est selon les spécialistes d’une plus grande amplitude, caractérisée par une prédominance de la  transmission communautaire. Plusieurs   localités du pays sont désormais touchées par la virus.

Avec plus 4000 cas enregistrés, le mois de décembre aura été le plus touché par le covid19 au Burkina Faso. En moyenne 130 cas ont été enregistrés par jour durant ce mois. Même si le nombre de cas a commencé à régresser en janvier, avec 127 cas par jour, le coordonnateur du centre de riposte maintient le niveau d’alerte. « Nous avons observé une augmentation du nombre de patients hospitalisés au cours de cette période avec une hausse du nombre de décès » soutient Dr Brice Bicaba. Le pays a enregistré 54 décès depuis le mois de décembre.

Les régions du centre et des hauts bassins, qui abritent respectivement les villes de Ouagadougou et de Bobo Dioulasso constituent les épicentres de la pandémie au Burkina Faso selon le docteur Brice Bicaba.

Pour contenir la pandémie, 21 laboratoires sont actuellement à mesure de faire le diagnostic.

Les tests de diagnostique rapide sont également disponibles dans plusieurs centre de santé.

Le coordonnateur assure que son équipe travaille à la réduction de nombre de cas sévère, afin d’éviter une saturation des centres de prise en charge. Le plan de riposte est actuellement en révision afin optimiser les prises en charge dans les centres de santé.

Pour le moment le pays n’enregistre pas de nouvelles souches. Les souches déjà identifiées sont celles qui circulent dans sous-région ouest africaine »

«  Nous avons une équipe de chercheurs qui fait des analyses pour rechercher de nouvelles variantes » souligne dr Brice Bicaba

L’Autorité de Régulation du Secteur de l’Energie (ARSE) s’est prêtée à un devoir de redevabilité. Elle a en effet livré son rapport annuel d’activités de l’année 2019 à la presse le 29 janvier 2021 à Ouagadougou. Selon ce rapport les délestages ont été réduit de 81% par rapport à l’année 2018.

Selon l’Autorité de Régulation du secteur de l’énergie (ARSE) l’année 2019 a été nettement meilleure que celle de l’année 2018. En témoigne la hausse du taux de l’électrification nationale qui est estimé « à plus de 45% en 2019 contre 42% en 2018 », l’augmentation de 7% de l’énergie totale du système passant à « 1989 GWh contre 1858 GWh en 2018 », la réduction des pertes globales du secteur et l’amélioration de la qualité des services. « La clientèle de la SONABEL a ressenti en moyenne 149 coupures en 2019 contre 176 en 2018 » a soutenu Mariam Guy NIKIEMA/ SANON présidente de l’ARSE.

Même si la qualité des services a connu une amélioration, elle reste cependant insuffisante. « Les résultats traduisent une qualité de service insuffisante et ne sont pas un bon signal pour le climat des affaires, selon les critères de Doing Business de la Banque Mondiale » a déclaré la présidente. L’on note également une absence d’une centrale de secours, une insuffisance des investissements dans le secteur, un cout élevé du kwh et une faible valorisation des ressources énergétiques endogènes.

   L’ARSE recommande alors au gouvernement une politique de promotion des énergies renouvelables et un meilleur investissement au niveau du secteur. Le régulateur plaide également pour un pouvoir d’octroi des titres d’exploitation et du pouvoir de fixation/régulation des tarifs de l’électricité.
A noter que l’ARSE est une autorité administrative indépendante qui assure la régulation, le contrôle et le suivi des activités des exploitants et des opérateurs du secteur de l’énergie.

vendredi, 29 janvier 2021 19:39

Burkina Faso : le FESPACO 2021 reporté

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Le gouvernement burkinabè a décidé en conseil des ministres ce vendredi, le report de la 27eme édition du festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou.

« Dans le contexte de la crise sanitaire de la COVID-19, très peu de productions prévues ont été réalisées » explique le porte-parole du gouvernement. « Des tournages de films ont été soit arrêtés, soit reportés ou simplement annulés causant d’énormes pertes sur toute la chaîne de production cinématographique » poursuit le ministre de la communication Ousseini Tamboura.

 Aucune autre date n’a pour le moment été fixée.

Le Carrefour International du théâtre de Ouagadougou a procédé au lancement officiel de la diffusion du spectacle « Immortels » le 27 janvier 2021. C’est en partenariat avec la compagnie « scène-théâtre-cinéma » de France que la grande première de ce spectacle s’est deroulée à Ouagadougou. Cette pièce est jouée principalement par un duo expérimenté du Burkina Faso et de la France.

Une mère de famille séquestre l’agresseur de sa fille, le ligote et le bâillonne. Saisi par un désir de vengeance au début dans le but de lui donner une leçon, il arrive un moment où elle se rend compte qu’elle ne peut plus faire machine arrière. Et c’est justement cette situation de non-retour qui survient à un moment donné dans la vie des hommes, Et qui se retrouvent dans l’obligation de tout faire pour s’en sortir que traite le spectacle « immortels ». Mamadou TINDANO, Anne Ferret et Vincent Philippe (également metteur en scène de la pièce) ont joué cette pièce.

Co écrit par Adama TRAORE du Mali et Sophie Lannefranque de la France, «  immortels » est un projet né d’une rencontre entre acteurs, auteurs et metteurs en scène de différentes contrées. Ce projet a nécessité 2 années de préparation. « Depuis deux ans le spectacle est en train d’être concocter entre les différents acteurs qui l’on imaginé dont Charles OUATTARA » nous affirme Mamadou TINDANO acteur de la pièce et également metteur en scène Burkinabè.  

« Immortels » reste à l’affiche au Carrefour international de théâtre de Ouagadougou CITO jusqu’au 13 février 2021. Après Ouagadougou, le spectacle devrait normalement se poursuivre au Mali et en France, mais regard du contexte sanitaire ce planning est fortement compromis.

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