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AFRIQUE

AFRIQUE (219)

Dans la nuit du 20 au 21 avril 2021, aux environs de 01h00, des individus armés non identifiés ont ouvert le feu sur les postes de garde de la base militaire de N’dotré dans la commune d’Abobo, selon un communiqué du chef d’état major général des armées ivoiriennes. L’intention des assaillants était de pénétrer de force à l’intérieur de la base selon l'état major général des armées.

Suite à la riposte des sentinelles les assaillants ont pris la fuite. Le bilan provisoire de cette attaque fait état d’un militaire ivoirien blessé. Trois assaillants ont été tués et un blessé. Celui dernier a été fait prisonnier   et  de nombreux matériel saisis.

« Des opérations militaires de ratissage ont engagées sur le terrain et se poursuivent. La situation sécuritaire reste sous contrôle » selon le général de corps d’armée Lassina Doumbia.

Le président tchadien Idriss Déby Itno, au pouvoir depuis 30 ans et partenaire-clé des Occidentaux contre les jihadistes au Sahel, est mort de blessures reçues au combat contre des rebelles qui ont promis de marcher sur N'Djamena, et un de ses fils lui a succédé mardi à la tête d'un conseil militaire.

Mahamat Idriss Déby a nommé les 15 généraux qui composent le CMT. Dans ce décret signé par le fils du défunt président, s'ensuivent, en plus du sien, les noms de 14 généraux connus pour être dans le cercle des plus fidèles du chef de l'Etat.

Les rebelles, qui mènent depuis neuf jours une offensive contre le régime tchadien, ont promis de marcher sur N'Djamena et rejeté "catégoriquement" ce conseil militaire. "Nous comptons poursuivre l'offensive", a assuré Kingabé Ogouzeimi de Tapol, porte-parole du Front pour l'alternance et la concorde au Tchad (FACT).

Les obsèques nationales d'Idriss Déby Itno, mort lundi selon la présidence, auront lieu vendredi à N'Djamena avant son inhumation dans sa région natale dans l'extrême Est.

La France "perd un ami courageux", a annoncé l'Eysée dans un communiqué, soulignant l'importance d'une "transition pacifique" et son "ferme attachement à la stabilité et à l'intégrité territoriale" du Tchad.

Dans la capitale mardi, quelques heures après que l'armée a annoncé sa mort, les écoles ont fermé et les parents sont venus, paniqués, chercher leurs enfants. Les fonctionnaires, dont les administrations ont également fermé, sont repartis précipitamment chez eux.

De nombreux membres de la Garde présidentielle arpentent la ville en civil, reconnaissables à l'arme de poing glissée sous leurs vêtements et à leur talkies-walkies. Les policiers ont revêtu leur "tenue de combat", comme ils l'appellent: entièrement noire, cagoule ne laissant entrevoir que les yeux. La présence militaire n'est pas plus visible que depuis le début de l'offensive rebelle le 11 avril, jour de la présidentielle.

 

 

Le président tchadien Idriss Déby Itno est décédé en raison des blessures qu'il avait reçues ce week-end durant des combats face aux forces rebelles dans le nord du pays.

Il était au pouvoir depuis 30 ans au Tchad et venait d'être réélu. Le président Idriss Déby Itno est mort ce mardi des blessures reçues ce week-end alors qu'il dirigeait son armée, engagée dans des combats contre des rebelles dans le nord du pays.

Son décès a été annoncé par le porte-parole, le général Azem Bermandoa Agouna, sur la télévision d’État TV Tchad :

"Le président de la république, chef de l’État, chef suprême des armées, Idriss Déby Itno, vient de connaître son dernier souffle en défendant l’intégrité territoriale sur le champ de bataille. C’est avec une profonde amertume que nous annonçons au peuple tchadien le décès ce mardi 20 avril 2021 du maréchal du Tchad."

 

Le président tchadien Idriss Déby Itno a été réélu avec 79,32 % des voix, selon des résultats officiels provisoires publiés lundi.

Sans surprise, le maréchal-président Idriss Déby Itno, au pouvoir sans partage depuis 30 ans, a remporté l'élection présidentielle au Tchad.

Selon des résultats officiels provisoires publiés lundi 19 avril, il a été réélu pour un sixième mandat avec 79,32 % des suffrages exprimés à la présidentielle du 11 avril.

Le taux de participation a été de 64,81 % pour ce scrutin remporté dès le premier tour par le chef de l'État sortant, a précisé le président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), Kodi Mahamat Bam, en livrant les chiffres officiels "provisoires", la Cour suprême devant encore les approuver après l'étude d'éventuels recours contentieux.

Six autres candidats, sans poids politique

L'ancien et dernier Premier ministre d'Idriss Déby Itno, Albert Pahimi Padacké, est arrivé deuxième avec 10,32 % des suffrages exprimés. La première femme à se présenter à une élection présidentielle de l'histoire du Tchad, Lydie Beassemda, est arrivée en troisième position, avec 3,16 % des voix.

Officiellement, neuf candidats concouraient contre le président sortant, mais seulement six en réalité car trois avaient annoncé leur retrait et appelé au boycott du scrutin, mais la Cour suprême avait maintenu leurs noms sur les bulletins de vote.

Les Tchadiens ont voté sans enthousiasme le 11 avril : la réélection du maréchal Déby était largement anticipée car il était opposé à six candidats sans poids politique, le pouvoir ayant écarté de la course, légalement ou par la violence et l'intimidation, les rares ténors d'une opposition déjà très divisée.

Une commission d'enquête tchadienne a chiffré à 40.000 morts le nombre des victimes de la répression sous le régime Habré.

Renversé en 1990, l'ex-président tchadien avait trouvé refuge au Sénégal, où, sous la pression internationale, les conditions de son procès avaient été créées. Il y avait été arrêté en 2013 et inculpé par un tribunal spécial instauré en coopération avec l'Union africaine. Depuis sa condamnation, il purge sa peine dans un établissement pénitentiaire de Dakar.

Ses avocats ont le 29 mars déposé une "demande de permission" visant sa libération, une requête adressée au juge de l'application des peines au Tribunal de grande instance hors classe de Dakar.

"Un refus a été opposé à cette demande", ont indiqué dans un communiqué parvenu dimanche à l'AFP ses avocats Ibrahima Diawara et François Serres.

"Le juge a tenu à mettre en avant l'avis défavorable de la commission pénitentiaire consultative présidée par lui-même et composée du directeur de l'administration pénitentiaire, du directeur de la prison" où est détenu M. Habré et d'autres membres dans le personnel pénitentiaire et la santé, ont-ils ajouté dans ce communiqué.

"Le raisonnement tenu pour refuser la permission est que la question de la santé est du ressort de la direction de l'administration pénitentiaire", alors que "c'est bien en tenant compte des risques pour la santé que la première permission a été accordée par le même juge", ont expliqué les deux avocats, qui ont dénoncé une "règle de droit (...) à géométrie variable".

"Nous vivons des moments difficiles où un système étouffe un homme, ses droits les plus élémentaires, à savoir le droit à la santé", ont poursuivi les avocats.

L'ancien dirigeant tchadien avait bénéficié le 7 avril 2020 d'une sortie de prison de 60 jours accordée par la justice sénégalaise.

Le juge de l'application des peines avait motivé sa décision par le fait que M. Habré était "particulièrement vulnérable au coronavirus" et la nécessité de faire de la place dans sa prison, choisie pour mettre en quarantaine les prisonniers en début de détention. M. Habré avait regagné sa cellule au terme des 60 jours, début juin 2020.

Le Sénégal a officiellement enregistré 39.782 cas de Covid-19, dont 1.091 décès.

"Ce n'est que justice", a déclaré Kaltouma Deffalah, une victime du régime de M. Habré, citée dans un communiqué de Human Rights Watch.

"L'homme qui m'a réduite en esclavage doit purger sa peine conformément à la loi. Nous attendons toujours que Hissène Habré arrête de cacher son argent et nous verse les indemnités ordonnées par le tribunal", a-t-elle ajouté.

Le tribunal qui a condamné M. Habré a également accordé 82 milliards de francs CFA (environ 125 millions d'euros) d'indemnités à plus de 7.300 victimes qui réclament toujours d'être indemnisées.

 

 

Un groupe armé tchadien composé de membres appartenant à l'ethnie du président Idriss Déby Itno a apporté dimanche 18 avril son soutien verbal aux rebelles qui ont attaqué le nord du pays le jour de l'élection présidentielle il y a une semaine.

«L'Union des forces de la Résistance(UFR) réitère son soutien sans faille à la coalition et au Président du Front pour l'alternance et la concorde au Tchad (FACT)», le groupe à l'origine de la rébellion lancée le 11 avril pour déloger Idriss Déby, au pouvoir depuis 30 ans, «et leur demande de continuer les opérations militaires sans relâche jusqu'à ce que le dictateur abandonne le pouvoir», a indiqué dans un communiqué son porte-parole en exil Youssouf Hamid. «L'UFR lance un appel à toutes les forces vives de la nation (à) soutenir par leurs multiples apports l'action en cours pour bouter ce régime hors du Tchad», a-t-il ajouté.

L'UFR avait fédéré la rébellion tchadienne lors d'une tentative de putsch en 2008, stoppée in extremis aux portes du palais présidentiel de N'Djamena grâce à l'appui de l'allié français. En 2019, menée par Timan Erdimi, neveu du président Déby, elle avait de nouveau tenté une incursion dans le nord-est du Tchad, depuis la Libye, mais avait été décimée par des frappes aériennes françaises. L'UFR est composée essentiellement de Zaghawas, l'ethnie du président, alors que le FACT, à l'origine de la rébellion lancée le 11 avril contre Idriss Déby, est à dominante gorane, une autre ethnie saharienne.

 

L'armée tchadienne a affirmé avoir «détruit» samedi une colonne de rebelles du FACT à près de 200 km de Mao, une ville située à plus de 300 km au nord de N'Djamena, dans la région du Kanem. Selon l'armée tchadienne, il y a eu 150 prisonniers dans les combats qui ont eu lieu samedi. Des combats ont repris dimanche en fin d'après-midi. Le président Idriss Déby a dirigé lui-même les opérations, selon des sources militaires. Le FACT a pour sa part affirmé dimanche dans un communiqué avoir «procédé à la libération de la région du Kanem». Dimanche, la capitale N'Djamena était calme. Les chars et nombreux militaires positionnés la veille à l'entrée nord de la ville n'y étaient plus.

Le président du Faso, président en exercice de la conférence des chefs d’État et de gouvernement de l’UEMOA (Union Economique et Monétaire Ouest Africaine) a procédé le 14 avril dernier à la signature de deux actes additifs portant respectivement nomination des membres et du président de la commission de l’Union.

Au titre de la présidence de la commission de l’UEMOA, Abdoulaye Diop, candidat du Sénégal a été nommé président de la Commission. Il remplace à ce poste Abdallah Boureima du Niger dont le mandat prendra fin le 08 mai 2021.

Au titre des membres de la commission de l’Union, 03 commissaires ont été reconduits à savoir Filiga Michel Sawadogo du Burkina Faso, Jonas Gbian du Bénin et Paul koffi Koffi de la Côte d’Ivoire. 04 membres font leur entrée dans la nouvelle équipe de la commission. Il s’agit de Mahamadù Serijo Jaquité de la Guiné Bisseau, Lassine Bouaré du mali, Mahamadou Gado du Niger, Kako Nubukpo du Togo.

La nouvelle équipe de la commission est nommée pour un mandat de 04 ans. Elle est composée de 08 membres et constitue l’organe exécutif de l’Union.

 

Le jeudi 15 avril 2021, dans les environs de BOULKESSI, un véhicule de l’unité Tchadien a été victime d’une explosion d’un engin explosif improvisé. Le bilan fait état de2 soldats tués et  de 04 blessés.

L’unité tchadienne était en opération de sécurisation dans la zone.

Dans un communiqué, la Force Conjointe du G5 Sahel a livré les résultats provisoires des opérations qu’elle mène. Depuis le début du mois d’avril, plusieurs opérations entrant dans le cadre de la sécurisation de la zone ont permis de démanteler un camp d’entrainement de terroristes et de capturer des présumés terroristes. Des matériels roulants et des armes ont également été saisis.

Lors d’une mission de ratissage, les militaires Tchadiens du 8e bataillons ont découvert un camp d’entrainement de terroristes aux environ de la localité de TORELA à quelques kilomètres de la frontière nord du Burkina Faso. Les terroristes ont tenté de résister en ouvrant le feu, mais ont fini par prendre la fuite. L’opération a permis de capturer 33 terroristes, mais aussi de saisir deux fusils d’assaut et de détruire une dizaine de motos. Ce démantèlement a eu lieu le 11 avril 2021.

Dans la journée du 02 avril, deux présumés terroristes ont été ont été arrêtés à BANGAO. Également dans la même journée, un individu qui transportait du matériel de préparation d’engins explosifs improvisés a été appréhendé en compagnie d’une femme et d’un enfant.

De plus les 05 et 06 avril, 03 terroristes ont été capturés dans la localité de BANGAWA et 08 autres présumés terroristes ont été appréhendés à HACHAM.

Un détachement mixte des unités de la force conjointe de DORI et de BANKILARE a effectué une opération de ratissage dans la localité de SAKAREWAL à 44 km au nord de BOULKESSI au Mali le 09 avril. Ce qui a permis d’interpeller 04 individus détenant illégalement deux armes.

03 jours après le 13 avril, le 8e bataillon Tchadien a encore appréhendé 02 terroristes et saisi 03 motos.

La prison à vie. C’est la sentence prononcée, hier, par le juge Charles Bini contre Amadé Ouérémi. Cette condamnation à perpétuité de l’accusé est intervenue au terme de huit séances de procès. Tout le long de ces audiences, au Palais de justice au Plateau, le concerné avait à sa charge de nombreuses chefs d’accusations tels que crimes contre les populations, séquestration, coups et blessures volontaires, meurtres, menaces de mort. Cette peine privative de liberté prise en son encontre va dans le sens de la réquisition formulée la veille par le procureur adjoint de la République, Kouassi Amien Ernest. En plus de cette sentence, celui qui était présenté comme le seigneur du parc du Mont Péko durant la période de crise doit s’acquitter de fortes amendes. Ainsi, à l’ensemble des victimes qui se sont constituées en partie civile dans cette affaire, il doit verser un montant avoisinant au moins 1 milliard de FCfa si l’on additionne les quelques 100 millions qu’il doit payer à chaque personne en guise de dédommagement. Le nombre de celles-ci tourne autour de quinze. Les organisations de défense des droits de l’homme que sont la Ligue ivoirien des droits de l’homme (Lidho), Le Mouvement ivoirien des droits humains (Midh) et la Fédération internationale des droits de l’homme ( Fidh) ont réclamé la somme symbolique de 1FCfa.

Me Roselyne Aka Séripka, l’avocat de Amadé Ouérémi, s’est dit outrée par cette peine. Pour elle, dès le départ, le procès était biaisé. « Un procès biaisé ne peut donner lieu qu’à une sentence biaisée », a-t-elle décrié. Elle a souhaité que des dispositions soient prises pour préserver la vie de son client en prison, en ce sens qu’il se racontait depuis le mardi 13 avril sur les réseaux sociaux que Amadé Ouérémi aurait été empoisonné ou se serait suicidé.

Me Roselyne Aka Séripka a, en outre, fait savoir qu’il y a eu beaucoup de zones d’ombre dans ce procès, dans la mesure où des autorités militaires nommément citées par son client comme impliquées dans ces évènements de Duékoué n’ont pas comparu. « Sur ce fait, la vérité étant déjà couverte, on ne peut avoir qu’une sentence pas très véridique », a-t-elle regretté. A la question de savoir si elle ne reconnaît pas la responsabilité de Amadé Ouérémi dans les faits portés contre lui dans ces procès, elle a répondu : « Il n'est responsable qu’en partie. Mais il n’a pas à supporter toute la responsabilité ».

L’avocat a informé que la décision de faire appel revient à son client et qu’elle échangera avec lui pour connaître son avis sur la question. Issiaka Diaby, le président du collectif des victimes de Côte d’Ivoire, s’est dit satisfait de cette peine prononcée contre le prévenu. Pour lui, justice a été rendue aux hommes et femmes et même à leurs proches qui ont été la cible de Amadé Ouérémi et sa bande durant période sombre de l’histoire de la Côte d’Ivoire.

L’incendie s’est déclaré dans une école constituée de huttes de paille à Niamey au Niger. Les élèves ont été pris au piège.

Mardi, dans l’après-midi vers 16 heures (heure locale), les enfants étaient en classe dans l’école du quartier Pays-Bas aux abords de Niamey au Niger quand l’incendie s’est déclaré. Le feu dans cette école constituée de huttes de paille s’est rapidement propagé et a pris au piège les élèves.

« Vingt et une salles de classe dans des huttes de paille ont pris feu. Une vingtaine d’enfants ont été pris au piège dans l’incendie », a expliqué à la télévision publique le commandant des pompiers, Sidi Mohamed en ajoutant : « les sauveteurs sont partis rapidement et le feu a été éteint… Mais la puissance du feu était énorme et les enfants n’ont pas pu s’échapper. »

Le bilan est dramatique avec une vingtaine d’enfants décédés et plusieurs blessés notamment chez les plus jeunes.

Pour l’heure, les causes de cet incendie demeurent inconnues et une enquête a été ouverte, selon Actualités Niger. Le Premier ministre Ouhoumoudou Mahamadou s’est aussi rendu sur les lieux pour rencontrer les familles après ce drame.

Dans ce pays qui est l’un des plus pauvres au monde, la moitié de la population a moins de 15 ans. Les autorités du pays du Sahel ont construit des milliers de huttes de paille pour servir de salles de classe avec des enfants parfois assis par terre. Si les incendies dans ces bâtiments sont assez courants en raison des matériaux inflammables utilisés, ils sont rarement avérés mortels, selon les médias locaux.

 

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