ECOUTER EN DIRECT


Warning: file_get_contents(http://graph.facebook.com/?ids=http://www.monpulsar.com/index.php?option=com_k2&view=item&id=5302:l-afrique-appelee-a-poursuivre-la-vaccination-contre-le-coronavirus): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 400 Bad Request in /home/site778/web/www/plugins/content/bt_socialshare/bt_socialshare.php on line 955

Warning: file_get_contents(http://graph.facebook.com/?ids=http://www.monpulsar.com/index.php?option=com_k2&view=item&id=5301:liberation-de-soumaila-cisse-bamako-aurait-verse-deux-millions-d-euros): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 400 Bad Request in /home/site778/web/www/plugins/content/bt_socialshare/bt_socialshare.php on line 955

Warning: file_get_contents(http://graph.facebook.com/?ids=http://www.monpulsar.com/index.php?option=com_k2&view=item&id=5300:nigeria-plus-de-1-800-detenus-s-echappent-d-une-prison): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 400 Bad Request in /home/site778/web/www/plugins/content/bt_socialshare/bt_socialshare.php on line 955

Warning: file_get_contents(http://graph.facebook.com/?ids=http://www.monpulsar.com/index.php?option=com_k2&view=item&id=5299:nigeria-vers-un-vaccin-local-contre-le-coronavirus): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 400 Bad Request in /home/site778/web/www/plugins/content/bt_socialshare/bt_socialshare.php on line 955

Warning: file_get_contents(http://graph.facebook.com/?ids=http://www.monpulsar.com/index.php?option=com_k2&view=item&id=5298:mali-les-casques-bleus-repoussent-une-attaque-complexe-contre-le-camp-de-la-minusma-a-aguelhok): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 400 Bad Request in /home/site778/web/www/plugins/content/bt_socialshare/bt_socialshare.php on line 955

Warning: file_get_contents(http://graph.facebook.com/?ids=http://www.monpulsar.com/index.php?option=com_k2&view=item&id=5297:mali-la-ministre-francaise-des-armees-refute-les-accusations-de-l-onu): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 400 Bad Request in /home/site778/web/www/plugins/content/bt_socialshare/bt_socialshare.php on line 955

Warning: file_get_contents(http://graph.facebook.com/?ids=http://www.monpulsar.com/index.php?option=com_k2&view=item&id=5296:burkina-six-suppletifs-civils-tues-dans-une-attaque-a-dablo): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 400 Bad Request in /home/site778/web/www/plugins/content/bt_socialshare/bt_socialshare.php on line 955

Warning: file_get_contents(http://graph.facebook.com/?ids=http://www.monpulsar.com/index.php?option=com_k2&view=item&id=5295:tentative-de-coup-d-etat-dejouee-au-niger-avant-l-investiture-du-nouveau-president): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 400 Bad Request in /home/site778/web/www/plugins/content/bt_socialshare/bt_socialshare.php on line 955

Warning: file_get_contents(http://graph.facebook.com/?ids=http://www.monpulsar.com/index.php?option=com_k2&view=item&id=5294:la-cpi-confirme-l-acquittement-de-crimes-contre-l-humanite-de-l-ex-president-ivoirien-laurent-gbagbo): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 400 Bad Request in /home/site778/web/www/plugins/content/bt_socialshare/bt_socialshare.php on line 955

Warning: file_get_contents(http://graph.facebook.com/?ids=http://www.monpulsar.com/index.php?option=com_k2&view=item&id=5293:niger-tirs-nourris-dans-la-nuit-pres-de-la-presidence-a-niamey-selon-des-riverains): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 400 Bad Request in /home/site778/web/www/plugins/content/bt_socialshare/bt_socialshare.php on line 955

Warning: file_get_contents(http://graph.facebook.com/?ids=http://www.monpulsar.com/index.php?option=com_k2&view=item&id=5292:mali-une-frappe-francaise-a-tue-19-civils-selon-une-enquete-de-l-onu): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 400 Bad Request in /home/site778/web/www/plugins/content/bt_socialshare/bt_socialshare.php on line 955

Warning: file_get_contents(http://graph.facebook.com/?ids=http://www.monpulsar.com/index.php?option=com_k2&view=item&id=5291:mozambique-la-prise-de-palma-temoin-de-la-montee-en-puissance-des-djihadistes): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 400 Bad Request in /home/site778/web/www/plugins/content/bt_socialshare/bt_socialshare.php on line 955

Warning: file_get_contents(http://graph.facebook.com/?ids=http://www.monpulsar.com/index.php?option=com_k2&view=item&id=5290:double-attaque-djihadiste-meurtriere-en-cote-d-ivoire): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 400 Bad Request in /home/site778/web/www/plugins/content/bt_socialshare/bt_socialshare.php on line 955

Warning: file_get_contents(http://graph.facebook.com/?ids=http://www.monpulsar.com/index.php?option=com_k2&view=item&id=5289:burkina-faso-deces-de-soumane-toure-secretaire-general-du-parti-pour-l-independance-le-travail-et-la-justice-pitj): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 400 Bad Request in /home/site778/web/www/plugins/content/bt_socialshare/bt_socialshare.php on line 955
AFRIQUE

AFRIQUE (219)

La désinformation reste l’adversaire principal des campagnes de vaccination contre le coronavirus. A fortiori pendant que des effets secondaires, bien que rares, de certains vaccins ont été présentés.

Aussi, le Centre africains de contrôle et de prévention des maladies a-t-il appelé jeudi à la lutte contre ces fausses informations.

"Nous demandons sincèrement aux pays et aux médias et à la communauté d’unir leurs forces pour, lutter contre la désinformation et la diffusion de fausses informations en ce qui concerne les vaccins. Il y en a beaucoup dans les réseaux sociaux. Et je pense que notre plus grande préoccupation et crainte est que cela devienne le facteur prédominant dans cette équation, ce qui ne profiterait à personne.", souligne John Nkengasong, Directeur du Centre africain de contrôle et de prévention des maladies.

D’où la nécessité pour le centre de rappeler que l'Organisation Mondiale de la Santé et de nombreuses autres autorités sanitaires ont déclaré à plusieurs reprises que le vaccin d'AstraZeneca, très utilisé sur le continent est sûr et efficace.

"Les vaccins sont sûrs. Nous ne devrions pas interpréter ce qui se passe avec le vaccin AstraZeneca comme un échec des vaccins, je pense que cela ne fait que souligner le fait qu’ils ont mis en place en Europe et ailleurs, de solides systèmes de surveillance pour détecter même les événements très rares. Je pense que cela devrait être interprété à la lumière de ce qui a conduit à l'identification de ces faits rares.’’, explique John Nkengasong.

 

 

Un intermédiaire crucial dans la libération de quatre otages en octobre au Mali a déclaré sur RFI que les autorités maliennes avaient versé deux millions d'euros aux jihadistes pour l'un des prisonniers, le politicien malien Soumaïla Cissé.

Dans cet entretien diffusé lundi par Radio France Internationale, le Touareg Ahmada Ag Bibi, lui-même ancien membre d'un groupe armé Djihadiste, mais aussi député à plusieurs reprises, dit aussi que les autorités maliennes n'ont pas payé de rançon pour les trois autres otages, la Française Sophie Pétronin et deux Italiens. Il est peu clair sur le versement éventuel d'argent par une partie autre que malienne.

Aucune réaction n'a été obtenue des autorités de transition dominées par les militaires.

Malgré des conjectures persistantes, le gouvernement malien n'a jamais confirmé le paiement d'une rançon en plus de la libération de 200 prisonniers, dont un certain nombre de Djihadistes, contre la liberté de Sophie Pétronin, des Italiens Nicola Chiacchio et Pier Luigi Maccalli et de Soumaïla Cissé, personnalité politique nationale, décédée depuis.

Ahmada Ag Bibi, qui avait déjà officié comme intermédiaire dans de telles opérations, passe pour avoir joué un rôle prééminent en octobre. Il a combattu par le passé au côté d'I**yad Ag Ghaly**, chef du Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (GSIM), alliance affiliée à Al-Qaïda. C'est Iyad Ag Ghaly qui avait accueilli triomphalement les prisonniers libérés par l'Etat malien.

Il réfute le chiffre de 10 ou 30 millions d'euros de rançon évoqué notamment par Mustapha Derrar, présenté par les autorités algériennes comme un des djihadistes relâchés puis repris.

"Ce n'est pas vrai. Il n'y a pas ces chiffres là. Je sais que l'Etat malien, les autorités de transition ont payé deux millions d'euros pour libérer Soumaïla", dit-il.

Pour les autres otages, il est moins clair. Il dit ne pas avoir vu circuler d'autres billets que ceux réunis par les autorités maliennes.

"Pour les Français, je ne suis au courant de rien du tout. Moi, c'est les Maliens qui m'ont mandaté", dit-il. Il dit aussi que "c'est l'État malien qui a fait tout".

 

L'attaque menée par un groupe d'hommes armés sur le complexe pénitencier a eu lieu aux premières heures de l'aube.

Plus de 1 800 détenus se sont échappés lundi d'une prison de l'Etat d'Imo, dans le sud-est du Nigeria, après une attaque perpétrée par "des hommes armés", ont déclaré les services pénitentiaires nigérians.

"La prison d'Owerri (...) a été attaquée vers 02h15 du matin, lundi 5 avril, par des hommes armés non-identifiés et ont libéré de force 1 844 détenus", a indiqué Francis Enobore, le porte-parole des services pénitentiaires nigérian dans un communiqué, indiquant que les assaillants avaient utilisé des explosifs.

"Des témoins ont raconté avoir vu un nombre important d'hommes armés à bord de pick-ups (...), ils ont aussitôt attaqué le personnel de la prison avant de faire exploser la porte principale", explique ce communiqué.

De son côté, le chargé de communication des prisons de l'Etat d'Imo, James Madugba, a confirmé l'attaque et affirmé que la "situation est sous contrôle", invitant les habitants à "continuer à vaquer à leurs affaires".

L'Etat voisin d'Abia a mis en place un couvre-feu de 22 heures à 06 heures du matin suite à cette attaque, la plus importante contre une prison dans l'histoire récente du pays.

 

 

Le pays travaille sur le développement de deux vaccins contre la covid-19. C’est Boss Mustapha, le patron de la task force présidentielle contre pandémie dans ce pays ouest-africain qui annoncé l’information.

''J_e demande à toutes les agences concernées de fournir le soutien nécessaire et un environnement propice au bon déroulement des protocoles restants pour la certification de ces vaccins, afin d’encourager et de motiver d’autres chercheurs ''_, a-t-il souligné.

Le Nigeria a mis la main au porte-monnaie. Le géant ouest-africain a ordonné en janvier, la mobilisation de 25 millions de dollars dans cette perspective.

Abuja n’exclut pas aussi de produire des vaccins sous licence à l’image de l’Inde pour AstraZeneca.

L’idée pour le pays est de tenir son pari : vacciner 140 de ses 200 millions d’habitants.

Pour l’heure, le pays n’a encore reçu que 3,92 millions de doses de vaccins AstraZeneca de l’initiative Covax.

Le Nigeria a déjà enregistré environ 163 000 cas de coronavirus pour 2058 décès depuis le début de la pandémie.

Ce 02 avril 2021 aux alentours de 6h15, les Casques bleus ont vaillamment repoussé une attaque complexe perpétrée par plusieurs terroristes lourdement armés contre le camp de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation au Mali (MINUSMA) à Aguelhok dans le cercle de Tessalit.

Un bilan provisoire fait état de quatre Casques bleus décédés et des blessés. Des hélicoptères ont été dépêchés sur place afin d’évacuer les blessés. Les assaillants ont subi de lourdes pertes notamment plusieurs morts abandonnés sur place.

La MINUSMA salue le courage et la bravoure des Casques bleus et remercie les Forces internationales pour leur soutien aérien. Elle présente ses condoléances au gouvernement, familles et frères d’armes des Soldats de la paix tombés au champ d’honneur et souhaite également un prompt et complet rétablissement aux blessés.

La MINUSMA condamne fermement cette ignoble attaque terroriste, une énième tentative contre le processus de paix et la mise en œuvre de l’Accord par les ennemis de la paix, qui n’entamera en rien sa détermination à poursuivre l’exécution de son Mandat. Elle réitère son engagement continu à protéger les populations et à œuvrer pour la paix.

Source : communiqué MINUSMA

 

La ministre française des Armées est arrivée au Mali avec ses homologues estonien et tchèque pour annoncer la pleine capacité de "Takuba", unité de forces spéciales européennes censée former l'armée malienne au combat face aux djihadistes, a indiqué le ministère.

Florence Parly, Kalle Laanet et Lubomir Metnaront rencontré le président de la transition Bah Ndaw et le ministre malien de la Défense Sadio Camara. Des entretiens qui sont intervenus au lendemain de la publication d'un rapport des Nations unies faisant état de la mort de 19 civils lors d'une frappe de la force française Barkhane, ce que Paris réfute avec vigueur.

"Les trois ministres acteront la pleine capacité opérationnelle de la task force Takuba, étape majeure pour ce regroupement inédit d'unités de forces spéciales européennes au Sahel", a précisé un communiqué du ministère français des Armées. "Cette étape est majeure d'un point de vue tactique et opérationnel, il s'agit également d'un symbole fort".

Outre les Tchèques et les Estoniens, des soldats suédois et italiens participent à l'opération, sur laquelle Paris compte beaucoup pour partager avec ses partenaires le fardeau de la lutte contre les djihadistes liés à Al-Qaïda et au groupe Etat islamique.

 

Au moins six volontaires pour la défense de la patrie engagés dans la lutte antijihadiste ont été tués jeudi soir dans une embuscade dans la région du centre nord selon une source sécuritaire. Ces VDP qui s’étaient lancés à la poursuite des hommes armés qui avaient attaqué leur base, sont tombés dans une embuscade.

 

Une "tentative de coup d'Etat" militaire a été déjouée dans la nuit au Niger, a affirmé mercredi le gouvernement, deux jours avant la prestation de serment du président élu Mohamed Bazoum qui prend la tête d'un pays frappé par les attaques djihadistes et à l'histoire marquée par des putschs.

Des riverains du quartier de la présidence à Niamey ont raconté à l'AFP avoir été réveillés par des tirs. "Les tirs étaient intenses, il y avait des armes lourdes et des armes légères", a témoigné l'un d'eux.

Des sources proches du pouvoir ont dans un premier temps annoncé des "arrestations" à la suite d'une "tentative de coup d'Etat", ce qui a été confirmé quelques heures plus tard par le gouvernement.

"Dans la nuit du 30 au 31 mars 2021 une tentative de coup d'Etat a été déjouée", indique-t-il dans un communiqué en condamnant "cet acte lâche et rétrograde voulant mettre en péril la démocratie et l'Etat de droit dans lequel notre pays s'est résolument engagé".

Une enquête a été ouverte mais "d'ores et déjà plusieurs personnes en lien avec cette tentative de coup d'Etat" ont été "interpellées et d'autres sont activement recherchées", a-t-il précisé, sans plus de détails.

Le gouvernement affirme que "la situation est totalement sous contrôle" et invite "la population à vaquer normalement à ses occupations quotidiennes"

La Cour pénale internationale (CPI) a confirmé mercredi l'acquittement, prononcé en 2019, de Laurent Gbagbo, reconnu non coupable de crimes contre l'humanité, ouvrant ainsi la voie à un retour de l'ex-président en Côte d'Ivoire après une décennie d'absence.

Les juges ont rejeté l'appel de la procureure de la CPI contre la décision de la chambre de première instance qui avait acquitté M. Gbagbo et un de ses proches, Charles Blé Goudé, ex-chef du mouvement des Jeunes patriotes, lors d'un procès pour crimes contre l'humanité liés aux violences post-électorales en 2010 et 2011.Gbagbo, premier ancien chef d'Etat jugé par la CPI, et M. Blé Goudé ont toujours clamé leur innocence dans ces crimes ayant fait 3.000 morts en Côte d'Ivoire, lors de violences nées du refus de M. Gbagbo de reconnaître fin 2010 la victoire à la présidentielle de son rival Alassane Ouattara.

En confirmant l'acquittement sous l'oeil de MM. Gbagbo et Blé Goudé, présents à l'audience mercredi, la chambre d'appel de la CPI écarte la tenue d'un procès en appel et a clos l'affaire, près de 10 ans après l'ouverture du dossier.

"A la majorité, la chambre d'appel rejette l'appel du procureur et confirme la décision de la chambre de première instance", a déclaré le juge présidant la chambre d'appel, Chile Eboe-Osuji, ancien président de la CPI, basée à La Haye.Gbagbo a hoché de la tête à l'annonce de la décision, puis a levé deux pouces en l'air et a souri. A la fin de l'audience, il s'est levé et a applaudi, tandis que M. Blé Goudé à légèrement secoué ses poings en signe de victoire.

La CPI "abroge par la présente toutes les conditions restantes à la libération de M. Gbagbo et M. Blé Goude", a poursuivi le juge, ordonnant aux fonctionnaires du tribunal de "prendre des dispositions pour le transfert en toute sécurité de M. Gbagbo et M. Blé Goudé vers le ou les Etats d'accueil".

Depuis son acquittement, M. Gbagbo vit en Belgique. La CPI avait refusé sa demande de liberté sans condition, mais autorisé l'ex-président à quitter la Belgique vers un pays acceptant de le recevoir.

En possession, selon son avocate, de deux passeports, un ordinaire et un diplomatique, remis par les autorités ivoiriennes, l'ex-président avait annoncé en décembre son désir de rentrer en Côte d'Ivoire, mais ce retour se fait toujours attendre.

La décision de la CPI sur l'appel de l'accusation était attendu en Côte d'Ivoire, où l'ombre de Laurent Gbagbo plane toujours sur une nation meurtrie par les violences politiques depuis plus de 20 ans. De nouvelles violences liées à la dernière présidentielle d'octobre 2020, remportée par Alassane Ouattara qui se représentait pour un troisième mandat controversé, ont fait près de 100 morts.

Président de 2000 à 2010, M. Gbagbo, toujours très populaire chez ses partisans, avait été arrêté en 2011.

Après son acquittement surprise - les juges ayant notamment estimé que les preuves à charge étaient insuffisantes -, le bureau de la procureure de la CPI avait estimé que les magistrats n'avaient pas rendu une décision motivée en bonne et due forme et avaient commis des erreurs de droit et de procédure.

La procureure générale sortante de la Cour, Fatou Bensouda, avait interjeté appel en septembre 2019, huit mois après l'acquittement, réclamant la tenue d'un procès en appel.

 

«Des tirs nourris», y compris à «l'arme lourde», ont été entendus dans la nuit de mardi à mercredi dans le secteur de la présidence à Niamey, ont indiqué des riverains à l'AFP.

«C'était vers 03h00 (02h00 GMT), nous avons entendu des tirs d'armes lourdes et légères et cela a duré quinze minutes avant de cesser, suivis de tirs à l'arme légère, tout a ensuite cessé», a raconté un riverain du quartier du Plateau à Niamey qui abrite les bureaux et la résidence présidentielle. «Les tirs ont duré une vingtaine de minutes», selon un autre témoin. «Les tirs étaient intenses, il y avait des armes lourdes et des armes légères», a témoigné un autre riverain.

Selon le journal en ligne actuniger.com, «des tirs à l'arme lourde ont retenti vers 3h00 du matin vers la Présidence et les autres quartiers du centre-ville», mais «la situation est redevenue calme aux environs de 04h00».  

Aucune source officielle n'était disponible pour confirmer ces tirs intervenus à la veille de l'intronisation prévue jeudi à Niamey du nouveau président élu Mohamed Bazoum, très proche du chef de l'Etat sortant Mahamadou Issoufou. Son rival, l'ex-président Mahamane Ousmane, conteste les résultats du scrutin et a revendiqué la victoire. Il a appelé à des «marches pacifiques» dans tout le pays. Dans la capitale Niamey, la marche prévue mercredi par l'opposition a été interdite mardi par les autorités.

Pulsar Communication SARL

Adresse:

Boulevard des Tansoaba Immeuble Nassa 01 B.P. 5976 - OUAGADOUGOU 01

Adresse email:

info@monpulsar.com