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AFRIQUE

AFRIQUE (219)

Le parti au pouvoir en Côte d'Ivoire a obtenu la majorité absolue aux législatives du 6 mars avec 137 sièges sur 254 à l'Assemblée nationale, contre 91 aux partis d'opposition, selon les résultats publiés mardi par la Commission électorale indépendante (CEI).

Parmi les partis d'opposition, la coalition entre le Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI) et les partisans de l'ex-président Laurent Gbagbo obtient 50 sièges, le PDCI seul 23, et les pro-Gbagbo seuls 8, soit au total 81.

Les autres partis d'opposition se partagent 10 sièges, les indépendants en obtenant 26.

Avec ses 137 sièges, le Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP, au pouvoir) perd la majorité qualifiée des deux tiers qu'il possédait depuis les dernières législatives, en décembre 2016, avec ses 167 élus, plus ceux de ses alliés.

37,88% de participation

Le taux de participation de ces législatives à un tour s'élève à 37,88%, selon la CEI, soit un taux équivalent aux législatives de 2016.

Ces élections, qui se sont déroulées sans violence contrairement à de récents scrutins, dont la présidentielle d'octobre 2020 - 87 morts et 500 blessés - réunissaient pour la première fois depuis dix ans l'ensemble des principaux acteurs politiques.

Il a marqué le retour du Front populaire ivoirien (FPI) de Laurent Gbagbo, pièce maîtresse de la coalition Ensemble pour la démocratie et la souveraineté (EDS) qui avait fait alliance avec le PDCI dans une majorité des 204 circonscriptions.

Michel Gbagbo, fils aîné de l'ancien président, a été élu dans la circonscription de la commune de Yopougon à Abidjan, la plus grande de tout le pays.

L'opposant placé en garde à vue la semaine dernière a encouragé ses manifestants à continuer leur mobilisation dans le calme.

À peine remis en liberté par les autorités sénégalaises, Ousmane Sonko, a tenu à immédiatement adresser ses supporteurs. Lors d'une conférence de presse, il a appelé à une mobilisation "beaucoup plus importante" mais "pacifique".

"La révolution est déjà lancée, rien ni personne ne peut l'arrêter. Aucune puissance interne ou externe ne peut plus l'arrêter. Le peuple a pris sa responsabilité et a compris les enjeux. Conduisons cette révolution à son terme, c'est à dire au plus tard 2024" a t il déclaré dans une conférence de presse, peu de temps après avoir quitté sa garde à vue.

"Beaucoup de crises politiques ont été traversée, jamais on en a vécu une comme celle là. Et c'est d'autant plus grave que l'avènement de Macky Sall avait suscité un grand espoir de la part de tout les sénégalais, avec une prière de promesse. Le peuple veut que sa démocratie progresse c'est ça qu'on attend d'un chef d'Etat, pas de passer tout son temps à payer des milliards à des laboratoires qui commentent des coups fourrés contre des opposants" affirme Ousmane Sonko.

Appel au calme du président

Dans sa première intervention à la télévision publique depuis l'arrestation de son principal opposant le mercredi 3 mars, le président sénégalais Macky Sall a appelé au calme.

"Tous ensemble, taisons nos rancœurs et évitons la logique de l'affrontement qui mène au pire. Cette synergie positive montre que dans des moments de doutes, d'inquiétudes et de turbulences, nos régulateurs sociaux fonctionnent" a t-il déclaré sur la Radiodiffusion télévision sénégalaise.

Après avoir rencontré différents membres de la société civile et de la classe politique, le président sénégalais joué désormais la carte de l'apaisement face à la contestation inédite qui secoue le Sénégal.

L'opposante béninoise Reckya Madougou, dont la candidature à la présidentielle du 11 avril avait été rejetée, a été placée sous mandat de dépôt, accusée d'avoir "planifié des exécutions en série de personnalités politiques", selon le porte-parole du gouvernement.

"Des compatriotes qui s'apprêtaient à commettre des crimes ont désigné Reckya Madougou comme leur commanditaire", a déclaré aux journalistes, Alain Orounla, porte-parole du gouvernement béninois.

Reckya Madougou, cheffe de file du parti Les Démocrates, proche de l'ancien président Boni Yayi, a "planifié des exécutions en série de personnalités politiques", a-t-il ajouté, soulignant qu'il s'agissait d'une "infraction très grave de terrorisme prévue et punie par les lois de la république".

"Une enquête préliminaire conduite par le parquet ne requiert aucune preuve. (...) Le procureur est autorisé à mettre aux arrêts qui il veut, quand il veut et comme il veut et c'est le tribunal après au vu de ce qui est présenté qui décide, acquitte, relaxe ou condamne", s'est défendu le porte-parole du gouvernement de Patrice Talon, montré du doigt pour avoir engagé le Bénin dans un tournant autoritaire.

Inculpée pour financement du terrorisme

Reckya Madougou avait été interpellée la semaine dernière à Porto-Novo en présence de Joël Aïvo, un autre candidat de l'opposition recalé pour l'élection présidentielle, qui s'est échappé au moment de l'arrestation.

Renaud Agbodjo, avocat de plusieurs figures de l'opposition actuellement en prise avec la justice, a confirmé qu'elle était "inculpée pour financement du terrorisme", et qu'une enquête était ouverte, mais qu'aucun procès n'était "en vue pour l'instant".

 

Soigné depuis début mars à l’Hôpital américain de Paris, le Premier ministre ivoirien, dont l’état de santé s’est détérioré, a été admis dans un établissement en Allemagne selon le journal Jeune Afrique sur son site.

Hospitalisé depuis le début du mois de mars à l’Hôpital américain de Paris, le Premier ministre ivoirien a été transféré en Allemagne dans la matinée du 6 mars.

L’état de santé d’Hamed Bakayoko, 56 ans, s’est brusquement dégradé ces derniers jours fait savoir le journal

Après plusieurs jours d’affrontements, le calme est revenu dans la ville de Ziguinchor, en Casamance. Mais un calme précaire, le temps d’un week-end. Le correspondant d'Africanews, Wahany Johnson Sambou, a rencontré de nombreux jeunes manifestants qui promettent de redescendre dans la rue d’ici lundi si jamais une décision défavorable est prise contre celui qu’ils considèrent comme leur président : Ousmane Sonko.

"Nous lançons un avertissement au président Macky Sall. Il doit savoir qu’il ne s'en est pa pris seulement à Sonko, mais aussi à la jeunesse, parce que Sonko est l’espoir de toute une nation. Tout ce qu’on veut, c’est qu’il le libère. Là, nous sommes calmes, mais si Sonko n'est pas libéré, nous ferons pire que ce que nous avons déjà fait", dit un jeune manifestant.

"Si Macky Sall entend notre message pour une marche pacifique, nous manifesterons pacifiquement. Mais s’il ne réagit pas, nous opterons pour la violence. Nous allons tout saccager. S’il enferme Sonko, nous irons le trouver au palais".

  1. Sonko a été arrêté officiellement pour trouble à l'ordre public, alors qu'il se rendait en cortège au tribunal où il était convoqué pour répondre à des accusations de viol portées contre lui par une employée d'un salon de beauté dans lequel il allait se faire masser pour, dit-il, soulager ses maux de dos.

 

 

Au moins dix personnes ont été tuées et une trentaine d'autres blessés ce vendredi par l'explosion d'un rickshaw devant un restaurant populaire de la capitale somalienne Mogadiscio, a annoncé un responsable sécuritaire.

L'explosion a été très forte et a causé des destructions importantes et fait des victimes civiles. Les opérations sont toujours en cours pour établir le bilan exact des victimes, mais les premières informations obtenues par les responsables sécuritaires indiquent que plus de dix personnes ont péri", a déclaré ce responsable, Mohamed Osman.

L'attaque de ce soir a frappé le populaire restaurant yéménite Lul Yamani, qui est situé près du port de Mogadiscio. Suite à l'explosion, un bâtiment voisin s'est effondré alors qu'une opération de sauvetage a été déclenchée. Quelques heures plus tôt, les militants présumés du groupe avaient attaqué une prison dans la ville portuaire de Bosaso, dans la province semi-autonome du Puntland, tuant au moins huit membres du personnel de sécurité. Plusieurs détenus se sont échappés, y compris des terroristes présumés, a déclaré la police. Selon des sources policières, al-Shabaab a également revendiqué l'attentat, déclarant que les assaillants ont libéré près de 400 prisonniers.

C'est la deuxième fois que des terroristes d'al-Shabaab ont mené une telle attaque contre le restaurant Lul Yamani. Le 3 août 2020, un homme portant un gilet d'explosifs a fait sauter la porte d'entrée du restaurant. Cette attaque est le deuxième attentant à la voiture piégée en moins d'un mois. Le samedi 13 février, au moins trois personnes ont été tués dans l’explosion d’une voiture piégée à Mogadiscio, non loin du palais présidentiel.

 

Dakar a vécu vendredi des scènes de guérilla urbaine entre les forces de l'ordre et des centaines de jeunes réclamant la libération du principal opposant au pouvoir, Ousmane Sonko, dont l'arrestation a libéré une exaspération accumulée devant la dureté des conditions de vie.

Vendredi soir, le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres s'est dit "très préoccupé" et a appelé "à éviter une escalade" tandis que le ministre sénégalais de l'Intérieur, Antoine Félix Abdoulaye Diome, annonçait quatre tués dans les émeutes de ces derniers jours.

Les tensions, sensibles depuis deux jours dans un pays habituellement considéré comme un îlot de stabilité en Afrique de l'Ouest, se sont intensifiées sans perspective apparente d'apaisement, la justice ayant maintenu Ousmane Sonko en garde à vue.

Plusieurs quartiers de Dakar ont connu des affrontements d'une ampleur inconnue depuis plusieurs années, bien que la riposte policière semble se limiter essentiellement aux moyens anti-émeutes.

La bataille a laissé après coup le spectacle saisissant de rues vidées de gens et de véhicules, jusqu'aux proches abords des lieux de pouvoir, et jonchées de projectiles de toutes sortes, entre les magasins tous fermés.

"Libérez Sonko!"

Dans le quartier populaire de la Médina, au cœur de la capitale sénégalaise à l'arrêt, des groupes de jeunes scandant "Libérez Sonko!" ont harcelé en jetant des pierres les très nombreux policiers, dans les nuages de lacrymogènes et les déflagrations de grenades assourdissantes, selon des journalistes de l'AFP.

Les mêmes incidents se sont reproduits un peu plus loin près de la place de la Nation. Des blindés avaient été positionnés auprès de la présidence et ses accès bouclés.

A Mbao, dans la grande banlieue, des pillards ont été aperçus par un journaliste de l'AFP, sortant les bras chargés de marchandises d'un supermarché Auchan, dont au moins 14 magasins ont été attaqués et 10 "pillés", selon la direction du groupe français.

L'arrestation, mercredi, de M. Sonko, troisième de la présidentielle de 2019 et pressenti comme un des principaux concurrents de celle de 2024, a provoqué la colère de ses partisans, mais aussi, disent de nombreux Sénégalais, porté à son comble les frustrations suscitées par les conditions de vie depuis la pandémie de Covid-19.

Dans la foule, beaucoup exprimaient leur ressentiment contre le président Macky Sall.

La garde à vue d'Ousmane Sonko doit s'achever dimanche. Il sera présenté à nouveau au juge lundi, selon ses avocats.

 

La Cour suprême ghanéenne a rejeté jeudi le recours de l’opposant John Mahama qui contestait les résultats de la présidentielle de décembre pour cause de bourrage d'urnes.

"L'accusation de bourrage des urnes n'a pu être étayée par des preuves crédibles, nous n'avons donc aucune raison d'ordonner une nouvelle élection, nous rejetons ainsi cette plainte, car jugée sans fondement", a déclaré Kwesi Anin Yeboah, le juge de la Cour suprême à Accra.

La décision valide donc le verdict de la commission électorale qui donnait vainqueur le président sortant avec 51,59 % des voix contre 47,36 % pour son rival. Seules 515.524 voix séparaient les deux candidats. Les observateurs internationaux avaient salué un scrutin qui s’était déroulé dans le calme. Alors que 5 personnes avaient trouvé la mort dans des violences post-électorales.

Le parti de Mahama, le Congrès national démocratique avait déposé un recours au lendemain de la présidentielle du 7 décembre 2020 pour invalider la victoire d'Akufo-Addo, dénonçant un scrutin "frauduleux" et réclamant une "nouvelle élection".

La sentence de la Cour Suprême met donc fin au contentieux électoral au Ghana.

 

Dans la foulée de la distribution des vaccins, contre le coronavirus, La république démocratique du Congo a réceptionné mardi 1,7 millions de doses sur les six millions qu'elle espérait.

Selon le ministre de la santé, Eteni Longondo, ce stock devrait d’abord servir à faire vacciner le personnel médical et également les personnes âgées de plus de 55 ans et celles avec des comorbidités, l'hyper-tension chronique, ou le diabète. La campagne de vaccination doit démarrer la semaine prochaine mais avant les autorités prévoient de sensibiliser la population encore réticente.

Avant la RDC, le Ghana, la Côte d'Ivoire ou encore le Nigeria ont reçu les vaccins du dispositif Covax. Mardi, un avion a également débarqué à Luanda avec à son bord 624 000 doses de vaccins AstraZeneca/Oxford permettant à l'Angola d'entamer la vaccination de membres du personnel de santé.

Elles avaient été enlevées vendredi dernier, dans ce dortoir, ce mardi, le gouverneur de Zamfara annonce la libération des adolescentes de l'école secondaire de Jangebe. le gouverneur Bello Matawalle a salué sur twitter la libération des jeunes filles et invité tous les Nigérians à se réjouir.

Les filles qui ont retrouvé la liberté sont au nombre de 279, et pourtant les autorités avaient initialement affirmé que 317 jeunes filles manquaient à l'appel après l'attaque de ce pensionnat. Il s'agissait de la quatrième attaque d'écoles en moins de trois mois dans le nord-ouest du Nigeria, où des groupes criminels, appelés bandits, multiplient les vols de bétail à grande échelle et pratiquent les enlèvements contre rançon depuis plus de dix ans.

Les autorités de Zamfara ont l'habitude de discuter avec les groupes criminels avec lesquels ils négocient depuis plus d'un an des accords d'amnistie en échange de la remise de leurs armes.

À chaque libération, les autorités nient payer une quelconque rançon aux ravisseurs, mais cela fait pourtant peu de doute pour les experts en sécurité qui craignent que cela ne mène à une multiplication des enlèvements dans ces régions minées par l'extrême pauvreté et peu ou pas du tout sécurisées.

 

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