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Le Bureau des Opérations et de Transmissions (BOT) de la 2ème Compagnie de la Brigade Nationale de Sapeurs-Pompiers a été alerté le mercredi 15 Août à 13h03min pour un accident de la circulation avec épandage de carburant dans le village de Yégueresso à 17 kms environ de la ville de Bobo-Dioulasso , sur la RN 1.

IL s'agit d'une collision entre deux (02) véhicules poids lourds articulés, l'un vide et l'autre transportant de l'hydrocarbure .

Bilan, 04 victimes dont:

-01 blessé grave

-03 blessés légers .

Tous les blessés ont été évacués au CHUSS de Bobo-Dioulasso par les ambulances de la BNSP.

La BNSP, tout en souhaitant prompt rétablissement aux blessés, exhorte les usagers de la route à éviter la conduite en état de fatigue. Elle leur recommande une fois de plus, vigilance et prudence sur la route.

 source BNSP

« Go PAGA » est un programme d’insertion économique des veuves et orphelins de militaires tombés au front. Lancé en février 2021, la phase pilote a accompagnée 06 veuves, 06 enfants et une adolescente de la famille des défunts de l’unité spéciale d’intervention de la gendarmerie nationale.

 

07 mois après, le programme entend se déployer au niveau national. Pour ce fait, 300 enfants seront scolarisés à hauteur de 40 000 Francs par enfant pour cette rentrée scolaire. Dès le mois d’octobre, tous les orphelins des militaires tombés au front, bénéficieront d’une assurance santé à hauteur de 80%.

 

Quant aux veuves, elles auront un suivi psychologique et juridique et seront accompagnées à trouver un emploi ou créer une activité génératrice de revenu.

 

La phase Nationale de ce programme se déroulera sur 36 mois, allant d’octobre 2021 à septembre 2024.

 

« Loin d’une aide matérielle ou financière ponctuelle, Go PAGA est une solution durable pour aider et accompagner ces veuves et les enfants à entrer ou revenir dans le monde du travail » a laissé entendre l’initiatrice du projet, Fadhila KAMBOU.

C'est ce que révèle une étude menée par un pharmacien assistant burkinabè.

 << Recherche des résidus de pesticides dans les thés vendus sur le marché de Ouagadougou >>. Tel a été le sujet de recherche du pharmacien assistant Abdoul Aziz DOULGOU pour sa soutenance de thèse. L'étude a été menée au LNSP, le Laboratoire National de Santé Publique afin de contribuer à une meilleure connaissance de la qualité des thés consommés au Burkina Faso. Pour atteindre son objectif, Aziz DOULGOU a mené son étude  Sur 20 échantillons de thés de marques différentes (6 thés noirs et 14 thés verts) . Les analyses ont montrées que des résidus de pesticides sont ont été  sur 100 % des échantillons.La famille des organochlorés interdite était la plus retrouvée.

'Un potentiel risque chronique sur la santé a été observé chez l'aldrine, la dieldrine, le carbofuran et l'hexachlorobenzene.

Le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré a reçu en audience ce mardi matin, le ministre malien de la défense, Colonel Sadio Camara, porteur d'un message du président de la Transition malienne Colonel Assimi Goïta. « Nos échanges ont essentiellement porté sur la situation sécuritaire de la région et la coopération bilatérale entre nos deux pays », a indiqué le ministre Sadio Camara à sa sortie d'audience. Selon lui, dans les mois à venir, la mutualisation des efforts va se renforcer davantage dans le combat contre l’insécurité car « le défi auquel nous sommes confrontés est commun et la réponse est globale ». Le ministre malien de la défense a rappelé que les peuples malien et burkinabè sont unis par l’histoire et la géographie et se battent au quotidien contre l’ennemi commun qu’est le terrorisme. Il faut donc trouver une solution à ce problème « qui a trop fait souffrir nos braves populations ». Colonel Sadio Camara a enfin souligné que les présidents Kaboré et Goïta partagent la même vision dans le cadre de la lutte contre le terrorisme. Direction de la communication de la présidence du Faso

Le document ci-dessous est un communiqué du procureur du Faso, près le Tribunal de Grande Instance de Kongoussi sur la mort de huit orpailleurs dans les anciennes galeries de Bissa Gold

"Le 1er septembre 2021 à 14h 42 minutes, le Commissaire de police du commissariat du district de Sabcé informait le parquet de la découverte de trois corps sans vie dans une ancienne fosse de la mine de Bissa. Nous avons alors requis comme en pareilles circonstances la réalisation des constatations d’usage.

Ce n’est que plus tard que nous avons été saisi d’images et de vidéos laissant penser qu’il s’agissait d’orpailleurs clandestins qui se seraient frauduleusement introduits dans des fosses désaffectées appartenant à la mine. Le bilan actualisé fait état de huit personnes décédées. Une enquête à parquet conduite par un Substitut du procureur du Faso a permis d’entendre deux rescapés qui ont fait état de l’usage de gaz lacrymogène ayant entrainé panique et étouffement des orpailleurs clandestins estimés à une quarantaine. Une procédure contre x sera incessamment instruite pour homicide involontaire.

Par ailleurs, une enquête diligentée par le commissariat de district de Sabcé suite à l’envahissement de la mine et à l’incendie de dix véhicules a conduit à l’arrestation d’au moins quatre personnes et toutes les personnes mises en causes répondront de leurs actes.

Tout en présentant ses condoléances aux familles des victimes et prompt rétablissement aux blessés, le procureur du Faso invite toute personne disposant d’informations pouvant aider à l’aboutissement des enquêtes en cours à saisir diligemment ses services. Il en appelle au calme et à la retenue."

    Le Procureur du Faso                                                           

 Wendyam Lambert SANFO                                                  

Un éboulement s’est produit dans les anciennes galeries de la mine d’or de Bissa Gold ce mercredi 01 septembre vers 15h dans la commune de Sabcé. Le bilan provisoire fait état de 6 morts et 7 blessés.  

Suite à la mort de 6 orpailleurs dans ces anciennes galeries de Bissa Gold, les orpailleurs ont organisé une manifestation « spontanée » devant l’entrée principale de la mine selon des sources sécuritaires. Dix (10) véhicules ont été endommagés dont 8 complètements incendiés selon des sources locales. Les manifestants ont été dispersés par nos forces de sécurité

Les Forces Armées Nationales poursuivent les opérations de sécurisation du territoire national à travers les activités menées au sein des Groupements de Forces


23 août 2021: Une unité d'intervention du détachement militaire de Barsalogho est intervenue au profit d'un groupe de VDP qui a essuyé des tirs d'un groupe d'individus armés. La réaction des VDP combinée à l'intervention de l'unité a permis de mettre en déroute les assaillants. Aucune perte n'a été enregistrée.


24 août 2021: Les unités du Groupement de Forces ont sécurisé le chargement de véhicules de transport du PAM (Programme Alimentaire Mondial) au profit des populations. Les unités militaires ont également assuré l'escorte du convoi jusqu'à Djibo.


26 et 27 août 2021: Les Forces Armées Nationales ont assuré par air le ravitaillement en vivres et en produits pharmaceutiques plusieurs localités du centre-nord. Cette action s'inscrit dans le cadre de l'assistance apportée aux populations civiles.


28 août 2021: Trois (03) engins explosifs improvisés ont été découverts et neutralisés dans les environs de Arbinda grâce à la collaboration entre VDP et militaires de la localité.

Ceci est un communiqué du procureur du Faso près le Tribunal de Grande Instance de Gaoua

Le 27 août 2021, aux environs de 15 heures, nous étions informé par un de nos contacts de ce qu’un accident mortel de la circulation routière, impliquant un véhicule de marque Toyota RAV4 et un enfant, serait survenu dans le village de Banlo, localité située dans la commune rurale de Broum-Broum, province du Poni, région du Sud-Ouest. La même source précisait que l’accident aurait causé la mort de l’enfant et que les occupants du véhicule auraient été lynchés par les riverains. Quelques temps après, l’information sur la survenance de l’accident mortel nous était donnée par le Commissaire de Police de District de Broum-Broum qui, toutefois, ne confirmait pas le  lynchage des occupants du véhicule impliqué dans l’accident.
S’étant déportés sur les lieux, les éléments de police procédaient aux constatations d’usage de l’accident et le corps sans vie de l’enfant KAMBOU Sami Ambroise, âgé d’environ dix (10) ans,  qui gisait sur place. La circulation  était bloquée par une foule en furie qui avait déjà endommagé le véhicule. Des téléphones portables étaient retrouvés dans le véhicule, mais personne n’était en mesure de donner des nouvelles de ses occupants. Le ratissage, fait par les éléments de la police après les constatations, ne permettait pas non plus de retrouver les traces des occupants du véhicule. Des chaussures seront trouvées dans une zone marécageuse, mais cela ne laissait point présager que le lynchage dont il est fait cas était avéré.
En pareille circonstance, en général, l’auteur de l’accident prend la fuite dans le but de se réfugier au poste de commissariat ou de gendarmerie le plus proche. Nous avons donc instruit le commissaire de police de faire tracter le véhicule impliqué dans l’accident en vue de le déposer au commissariat en attendant que le propriétaire se manifeste.
Pendant ce temps, malgré la persistance des rumeurs sur le lynchage des occupants du véhicule, nos différents contacts dans la localité n’étaient pas en mesure de nous fournir des informations précises sur la question.
Finalement, c’est aux environs de 3 heures du matin du 28 août 2021 que le Commissaire de Police de District  de Broum-Broum nous informait qu’il avait été contacté par le Conseiller Villageois de Développement (CVD) de Banlo qui l’informait que, dès les premiers instants de l’accident, les trois (03) occupants du véhicule avaient été lynchés, tués et leurs corps sans vie cachés dans un champ de maïs à environ un (01) kilomètre du lieu de l’accident. L’officier de police ajoutait qu’il s’était rendu sur les lieux, accompagné de l’oncle de l’enfant victime de l’accident et du CVD et avait effectivement constaté la présence de trois (03) corps dans le champ de maïs.
C’est ainsi qu’une équipe du parquet de Gaoua, dépêchée sur les lieux aux environs de 6 heures, en présence des officiers de police judiciaire et de deux (02) agents de santé, faisait le constat de trois (03) corps sans vie, présentant des blessures causées par des objets contondants et tranchants. L’un des corps présentait des traces de projectiles, probablement causées par une arme à feu dont on ignore la nature pour l’instant.
Idenfiées, les victimes répondaient aux nom de OUEDRAOGO Harouna, de NABA Yentema Edmond et de NARE Jacques, tous agents du Centre de Contrôle des Véhicules Automobiles (CCVA) de Gaoua, allant à Ouagadougou après une cérémonie de passation de service.
A ce stade, une enquête a été ouverte, aussi bien sur les circonstances de l’accident que sur celles du lynchage des trois (03) occupants du véhicule en vue de situer les responsabilités. D’ores et déjà, l’enquête a permis d’identifier et d’interpeller deux (02) personnes soupçonnées d’avoir participé aux actes de lynchage.
C’est le lieu pour nous de rappeler qu’en toutes circonstances,  le pardon et la tolérance doivent prédominer sur tous autres sentiments de vengeance et de justice privée qui sont de nature à remettre en cause les valeurs du vivre ensemble et les principes de cohésion sociale.
En ces circonstances douloureuses, le Procureur du Faso, en son nom propre et au nom des membres du Tribunal de Grande Instance de Gaoua, présente ses sincères condoléances à toutes les familles éplorées et les assure que chacun des cas relevés sera traité conformément à la loi.

Fait à Gaoua, le 28 août 2021
Le Procureur du Faso

Le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré a reçu ce matin une délégation des chefs coutumiers de la province du Nahouri, avec à sa tête, sa majesté le Pô Pê.
Les coutumiers ont souhaité la bienvenue au chef de l’Etat et lui ont présenté leurs doléances qui sont entre autres la construction de CSPS, d'infrastructures routières  et  d'écoles publiques dans certains villages.
Le chef de la délégation a indiqué aussi avoir souhaité' l'érection de la ville de Pô en centre d’examen pour les élèves, « en vue de leur faciliter la composition aux examens. (...) Le président nous a rassurés que ces doléances seront réalisées progressivement », a précisé le chef de Pô.
Il a précisé que certaines de leurs doléances ont déjà été satisfaites. Il s’agit de la réalisation du pont sur le fleuve Nazinon, la construction du palais de justice et d’une prison.
Les chefs coutumiers ont donc remercié le président du Faso pour toutes ces réalisations.

Direction de la communication de la présidence du Faso

Suite à la fermeture du lycée Philippe Zinda Kaboré de Ouagadougou le 24 mai 2021, jusqu’à nouvel ordre,  les élèves dudit  lycée   seront affectés dans d’autres établissements.

  Le gouvernement a suspension des recrutements pour complément d’effectifs dans la commune de Ouagadougou à cet effet.
Le Directeur Provincial des Enseignements Post-primaires et secondaires du Kadiogo informe par ailleurs les élèves et parents d’élèves dudit lycée, de l’ouverture de sites d’enregistrement en vue de l’affectation  des élèves dans les établissements publics de la commune de Ouagadougou pour la rentrée scolaire 2021-2022.

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