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La première session de l’année 2021 du dialogue  politique entre les ministres du secteur rural et les PTF (partenaires techniques et financiers) du secteur « production-Agro-Sylvo-Pastorale » s’est ouverte le 17 mai 2021 à Ouagadougou. Une session au cours de laquelle les acteurs vont échanger sur les défis du monde rural burkinabè.

Redynamiser le dialogue politique entre les partenaires techniques et les ministres en charge du secteur rural, tel est l’objectif de cette rencontre. « Cette première rencontre de l’année s’inscrit dans la redynamisation de notre cadre de concertation capital pour des orientations stratégiques dans le secteur » a affirmé Siméon SAWADOGO, ministre en charge de l’environnement.
A écouter les ministres en charge du secteur rural, les difficultés liées à ce secteur sont d’ordres stratégiques et financiers. Et ce cadre d’échange devrait permettre d’apporter des informations sur la mise en œuvre des activités permettant de relever ces défis et de proposer des orientations pour les prochaines étapes. « Les défis majeurs de ce secteur sont entre autres la réduction de la pauvreté en milieu rural, de l’insécurité alimentaire et nutritionnelle dans un contexte de changement climatique et de crises sécuritaire et sanitaire, le chômage des jeunes et des femmes » a poursuivi Siméon SAWADOGO.

Les partenaires techniques et financiers de leur côté apprécient cette démarche, « importante » et « nécessaire » pour une meilleure gestion du secteur. « Il est important de le faire parce que nous avons la possibilité lors d’une rencontre de pouvoir parler à quatre ministères en même temps et avec l’ensemble des PTF qui parlent à travers le chef de file. C’est vraiment l’occasion idéale de pouvoir communiquer, de travailler et de traiter des questions liées aux défis du monde rural » a précisé Jean Michel LIMAT, chef de file des PTF.

A noter que la dernière rencontre de ce genre entre les PTF et le gouvernement date de 2018.
 Ce dialogue concerne les ministères en charge de l’environnement, des ressources animales et halieutiques, de celui de l’agriculture, de l’innovation … 

Les chefs d’Etats du G5 Sahel ont tenu lundi à Paris en France, un mini-sommet axé sur la sécurité, le développement et le financement.

Le mini-sommet s’est tenu cet après-midi à l’hôtel Peninsula, à Paris, autour du président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré, doyen des chefs d’Etat de l’espace.

Les questions de sécurité, de développement et de financement ont été au centre des échanges entre les chefs d’Etat et de gouvernement.

«La rencontre que nous avons eue cet après-midi a été une occasion pour nous, de faire le point de la situation au Tchad. Nous avons pu constater aussi, que malgré les différentes opérations communes menées sur le terrain, nous n’avons pas encore véritablement réussi à donner une grande estocade au terrorisme dans notre sous-région», a indiqué le président Kaboré à la presse.

Pour lui, il y a une nécessité de revisiter le mode opératoire du G5 Sahel, pour plus d’efficacité.

Le mini-sommet a enregistré la présence des présidents Mohamed Bazoum (Niger), Mohamed Ould el-Gazouani (Mauritanie), Bah N’Daw (Mali) et du Premier ministre du Tchad Pahimi Padacké Albert.

La réunion a eu lieu en marge du sommet de Paris sur le financement des économies africaines qui s’ouvre demain mardi dans la capitale française.

 

Au moins neuf personnes, dont trois supplétifs civils enrôlés dans la lutte antijihadiste au Burkina Faso, ont été tuées dimanche lors d'une attaque dans la commune de Pissila, dans le nord du pays, ont indiqué lundi des sources sécuritaire et locale.

   "Des éléments des groupes terroristes ont attaqué le village de Palsegué, dans la commune de Pissila, hier (dimanche) matin, faisant neuf morts parmi les populations", a déclaré à l'AFP une source sécuritaire.

   "On dénombre malheureusement trois VDP (volontaires pour la défense de la patrie) parmi les neuf victimes, parmi lesquelles également le chef du village", a précisé à l'AFP un responsable local, joint à Pissila, soulignant que "trois autres personnes sont toujours portées disparues".

   "La riposte qui a été donnée avec le soutien des FDS (forces de défense et de sécurité) a permis de neutraliser des terroristes, de procéder à l'enlèvement des corps dans un premier temps et de lancer un ratissage", a poursuivi ce responsable, sans donner de bilan précis sur le nombre de jihadistes tués.

Poissonnerie, restaurant communément appelé "resto par terre" et autres ateliers de mécanique, ils sont légion ces lieux qui contribuent à l'insalubrité dans la ville de Ouagadougou. Les déchets provenant des poissons vidés, les eaux usées, les ordures ménagères sont déversées soit dans les caniveaux soit sur la voie publique obligeant les riverains et usagers de la route à supporter les odeurs nauséabondes émanant de ces détritus.

Interrogés aucun de ces intéressés n'a voulu répondre à nos questions même si les responsables de cette situation reconnaissent leur part de responsabilité dans les faits et les désagréments causés. Et avec la saison hivernale qui s'installe l'on se demande bien quelle sera l'ampleur du préjudice ?

Vivement donc que les autorités en charge de la salubrité de la ville capitale se penchent sur la question.

Commentaire, Aïda Yolande 

Ce sont quatre (04) individus qui viennent d’être mis aux arrêts par la Police Nationale, à travers la Division des Investigations Criminelles (DIC) de la Direction de la Police Judiciaire (DPJ). Ils s’étaient spécialisés dans la fraude fiscale, le faux et usage de faux en écriture privée et le blanchiment de capitaux.

En effet, tout est parti d’un constat de la Direction Générale des Impôts (DGI), qui a fait ressortir une vaste fraude à la Taxe à la Valeur Ajoutée (TVA) par le recours à de fausses factures, organisée par trois (03) sociétés de la place, en complicité avec cinquante-neuf (59) autres entreprises.

Grâce à des investigations poussées, la DIC a réussi à investir les sièges de ces sociétés où plusieurs objets ont été saisis, notamment du matériel informatique et un important lot de factures de vente de marchandises, délivrés par lesdites sociétés au bénéfice de cinquante-neuf (59) autres.

Le mode opératoire de ces présumés malfrats consistait à recourir à des facturations croisées, la délivrance de fausses factures sur la base d’opérations fictives entre leurs entreprises et leurs clients complices (au nombre d’une soixantaine de sociétés), dans l’intention manifeste de déduire indument la TVA. Ils utilisaient également les numéros IFU de leurs entreprises pour des importations frauduleuses au profit d’autres entreprises qui ne désiraient pas s’immatriculer auprès de l’administration publique.

Au total, le préjudice subi par le Trésor Public a été évalué à près de 16.953.658.631 FCFA.

 Source : police nationale

Depuis 2016, la situation sécuritaire du Burkina Faso est marquée par de multiples attaques terroristes et d’extrémisme violent. Cette situation a entrainé malheureusement la radicalisation de certains jeunes burkinabè dans le rang des forces obscurantistes. Pour prévenir la radicalisation et la lutte contre l’extrémisme violent, le gouvernement a lancé l’élaboration d’une stratégie nationale pour lutter contre ce fléau. Le document ainsi rédigé a été porté pour validation au cours d’un atelier ce 10 mai 2021 à Ouagadougou.

Ce sont près de 03 années que le comité de pilotage interministériel et pluridisciplinaire a mis pour élaborer la stratégie nationale de prévention de la radicalisation et de la lutte contre l’extrémisme violent ; document qui doit être validé à ce présent atelier. Cette étude a été menée sous une approche participative en vue de conduire le processus de formulation de ladite stratégie.

Cette stratégie vise à doter l’exécutif d’une politique efficace pour endiguer le phénomène. « Des jeunes, des frères, des enfants à nous ont eu le malheur de se laisser embrigader par des visions que certains leur ont servi en matière d’extrémisme ; et ont même pris les armes contre leurs communautés et contre leur nation. Il va de soi que nous ne pouvons pas gagner la guerre contre le terrorisme si nous n’arrivons pas à transformer la mentalité de ceux qui se sont laissés induire en erreur. C’est ce à quoi va servir cette stratégie en plus bien entendu de faire en sorte de leur offrir un nouvel avenir afin qu’ils ne soient plus tentés de rejoindre les groupes terroristes», a martelé Zéphirin Diabré, ministre chargé de la réconciliation nationale.

La lutte contre le terrorisme ne se résume pas seulement à la puissance militaire. Il faut donc explorer d’autres approches. « Sur le plan socio-culturel il faut revoir déjà le contenu de l’éducation dans les familles. Il faut voir au niveau du comportement des représentants de l’Etat, à mener une sorte d’équité au niveau de la répartition des richesses et des ressources du pays. Et puis il faut une justice assez transparente qui ne laisse pas trainer les choses. Il faut aussi une sorte de coopération, d’ouverture avec les autres pour qu’on fasse une mutualisation des ressources » a plaidé Sidibé Saïdou, consultant de la stratégie nationale de prévention de la radicalisation.

Après validation de la présente stratégie, le document sera par la suite soumis à la commission chargée d’approuver les stratégies au niveau du ministère de l’économie des finances et du développement.

Ouagadougou le 10 mai 2021

A l’instar de leurs camarades dans plusieurs localités et établissements du territoire national les élèves du Lycée Philippe Zinda Kaboré (LPZK) manifestent depuis le mois de mars contre les reformes que le gouvernement a initié courant mas 2021.

Ainsi la marche des élèves du 29 avril a fait l’objet d’une répression aveugle de la part des forces de l’ordre qui ont usé à souhait de gaz lacrymogène. Malgré le repli des élèves dans la cour du LPZK les gaz les ont y poursuivis. La journée du lundi 3 mai 2021 fut la plus risquée, des dizaines de grenades lacrymogènes ont été balancées dans la cour du lycée, jusque devant la salle des professeurs et les bureaux de l’administration, prenant en otage les personnels présents à leur lieu de travail. Ce fut le désarroi aussi bien parmi les élèves que les personnels enseignants et administratifs. Certains élèves suffoquaient, d’autres se sont évanouis, avec en prime des risques d’incendie.

Depuis le début de la semaine du 3 mai, il ne se passe plus une journée sans que, sous prétexte de pourchasser les élèves, le personnel du LPZK ne soit gazé et pris en otage par les forces de l’ordre.

Il faut rappeler que dans le même temps les responsables administratifs du lycée ont enjoint aux enseignants d’être présents au lycée quand bien même les élèves sont en grève.

Depuis le jeudi 29 avril les élèves du LPZK ne sont pas retournés en classe, contrairement au mensonge grossier du Ministre Ouaro qui prétend le contraire. L’autre mensonge à relever est la prétendue rencontre que le proviseur du LPZK aurait eu avec le personnel. Aussi nous tenons à informer M. le Ministre que le proviseur du LPZK, depuis le début de ces évènements, n’a jamais rencontré le personnel contrairement à ce qu’il a déclaré dans les médias le mardi 4 mai 2021. Ainsi le personnel ne se reconnait pas dans les propos de M. le ministre.

Visiblement toute cette répression aveugle digne d’un régime fasciste se fait sous l’œil approbateur et complice des responsables du lycée qui n’ont usé d’aucun moyen pour protéger leur personnel et leurs élèves.

Le personnel du LPZK victime de cette barbarie :

Condamne la prise en otage du personnel pendant la répression barbare des élèves par les FDS ;

Dénonce le comportement irresponsable et complice du chef d’établissement dans la répression des élèves et du personnel ;

Appelle les directeurs provincial et régional à plus de responsabilité dans la gestion de la crise qui secoue les établissements de la ville de Ouagadougou et particulièrement du LPZK ;

Prend l’opinion nationale à témoin sur les tentatives du ministre de jeter les enseignants du LPZK en pâture en prétendant que ce sont eux qui refusent d’assurer les cours ;

Dénonce l’instauration au LPZK d’une liste de présence des enseignants pendant la grève des élèves ;

Exige que la sécurité du personnel soit assurée à son lieu de travail ;

Exige des forces de sécurité le respect des franchises scolaires ;

Décide d’une manifestation ce jour 10 mai 2021.

Pour le personnel du LPZK, les délégués

Mme OUEDRAOGO/SAWADOGO Salimata

TOUSSAKOE Karim

Ampliations :

- APE du LPZK

- Le DPEPS Kadiogo

- Le DREPS Centre

- MENA/PLN

Au moins trois civils ont été tués et trois soldats blessés  samedi lors de deux attaques distinctes dans le nord du Burkina Faso, a-t-on appris dimanche de sources sécuritaires et locales.

   "Le village de Tin-akoff, dans la province de l'Oudalan, a fait l'objet d'une attaque terroriste dans la nuit de samedi à dimanche. Au moins trois civils ont été tués par des assaillants qui ont effectué des tirs dans un secteur du village", a déclaré une source sécuritaire.

   "Les victimes sont toutes des hommes" et "au moins deux personnes étaient toujours portées disparues ce matin (dimanche), après le passage des terroristes", a affirmé un élu local, évoquant également des dégâts notamment "des concessions incendiées".

   Dans la journée de samedi, "un convoi mixte, de soldats et de VDP (volontaires pour la défense de la Patrie, des supplétifs engagés dans la lutte antijihadiste ndlr), qui sécurisait un convoi de vivres, a été soufflé par l'explosion d'un engin artisanal, sur l'axe Seba-Mansila. Trois soldats ont été blessés", a indiqué une autre source sécuritaire dans le nord du pays.

Dans quelques semaines, le Burkina Faso sera en pleine période hivernal. Entre inondations et autres dégâts liés aux fortes précipitations, cette période est souvent redoutée par les populations. Et Si les caniveaux et autres canaux d’évacuation des eaux sont là pour limiter ces dégâts, force est de constater que certains de ces canaux sont remplis de sable et d’ordures de tout genre. C’est le cas du canal situé entre les quartiers Yongssin et Ouidi communément appelé canal de yongssin. Le constat dans les lignes qui suivent.

Des sachets plastiques, des papiers, du sable, des vêtements usés bref des ordures ont remplacé les eaux dans le canal de yongssin. Ce canal qui a comme objectif premier de drainer les eaux de pluies, est devenu une sorte de dépotoir de déchets de tout genre. Toute chose qui cause d’énormes dégâts en période hivernale. C’est ce que nous raconte Abdoul Aziz BAGAGNAN qui habite cette zone depuis toujours. « Pendant la saison pluvieuse, nous avons des difficultés avec le canal. L’eau envahit nos concessions. Ce ne sont pas tout le temps de fortes pluies, mais cela cause beaucoup de dégâts » a-t-il affirmé. 

Ouagadougou a déjà enregistré quelques pluies, et avant que la saison pluvieuse ne s’installe complètement, les riverains souhaitent que le canal soit curé pour favoriser le passage des eaux et limiter les dégâts. « Si à l’approche de la période hivernale on venait curer, cela résoudrait un tant soit peu le problème » a poursuivi Abdoul Aziz BAGAGNAN.
A écouter les riverains, la mairie passe de temps en temps nettoyer le canal, mais cela n’est pas suffisant. « Il y a eu un temps où la mairie a fait venir des machines pour curer le canal, mais après cela plus rien. Si vraiment ils pouvaient faire des efforts à ce niveau, ça arrangerait tout le monde » a demandé Issouf NOUGTARA.   

Les riverains reconnaissent cependant que la population a sa part de responsabilité dans cette situation. En effet, certains habitants de la zone déversent le contenu de leurs poubelles dans le canal. Ce qui contribue à le boucher. Pour Issa KANAZOE riverain, il serait bien que la population prenne conscience des conséquences de ces actes sur leur propre existence. « Il faut reconnaitre que nous même, nous n’agissons pas de façon responsable. L’Etat c’est nous tous, c’est à nous de poser des actions qui ne nous causeront pas de soucis. Si tu balaies ta cour et tu viens jeter les ordures dans le canal, ce n’est pas normal. Il faut donc que main dans la main nous aidons les autorités à nous aider » a-t-il martelé.
A Alidou SIMPORE, un autre riverain d’ajouter que « le problème du canal nous concerne tous. Il faut que la population elle-même prenne conscience que les actions qu’elle pose sont néfastes pour sa propre survie. Vous venez jeter des ordures et vous demandez à la mairie de venir curer. C’est pas du tout correct ».

Abdoul Aziz BAGAGNAN pense que des campagnes de sensibilisations organisées par la mairie pourraient contribuer à un changement de comportement. « Il arrive souvent que tu vois un voisin qui vient vider sa poubelle. Si c’est un enfant, tu peux l’interpeller. Mais si c’est une personne d’âge mûr, on va te traiter d’impoli si tu parles » a-t-il témoigné. Il souhaite donc que « la mairie organise des campagnes de sensibilisation, c’est-à-dire passer dans les concessions pour sensibiliser les gens »

En tout état de cause, l’entretien des caniveaux relève de la responsabilité de tout un chacun, et à l’approche de la saison pluvieuse, la vigilance citoyenne doit être de mise.  

Le Burkina Faso à l’instar des autres pays du monde entier a célébré ce 03 mai 2021, la 28e journée mondiale de la liberté de la presse. Le Centre National de Presse Norbert Zongo (CNPNZ) a tenu sa traditionnelle cérémonie de la journée du 03 mai qui a été ponctuée en plusieurs axes. A cette occasion le CNPNZ a procédé au lancement du prix de la meilleure journaliste et le prix africain du journalisme d’investigation Norbert ZONGO.

Si le thème retenu au niveau mondial est « l’information comme bien public », au niveau national, les professionnels des médias ont mené la réflexion sur « la viabilité des entreprises de presse au Burkina Faso ». Un thème d’actualité et fort de sens selon le président du comité de pilotage du CNPNZ Inoussa OUEDRAOGO, et ce au regard des conditions de vie et de travail des entreprises de presse mais aussi des journalistes. « La plupart de nos entreprises de presse traversent des situations difficiles liées notamment à la situation économique globale du pays, mais également à la maladie du coronavirus. Ces derniers temps, il y a pas mal d’entreprises de presse qui ont dû mettre la clé sous le paillasson, et nous espérons qu’avec les réflexions qui seront menées, des solutions commenceront à germer » a-t-il souhaité.

Le prix de la meilleure journaliste a été officiellement lancé par la lauréate de l’édition précédente Rabiatou SIMPORE. Ce prix initié en faveur des femmes de médias porte désormais le nom de « Marie-Soleil Frère Minougou », en hommage à cette illustre femme spécialiste des médias africains et combattante de la liberté disparue le 25 mars dernier. Les œuvres sont recevables jusqu’au 29 septembre 2021 et concernent les catégories télévision, radiodiffusion, la presse écrite et la presse en ligne.

Au cours de cette cérémonie du 03 mai, le « Prix Africain du Journalisme d’Investigation Norbert ZONGO » a également été lancé. Cette année, 04 catégories (presse écrite, presse en ligne, télévision et radio) seront primées au lieu de 03. Le prix sera décerné à Ouagadougou au cours du FILEP, le Festival International de la liberté d’expression et de presse qui se tiendra cette année du 10 au 13 novembre 2021. Afin de « valoriser » cet événement, les organisateurs ont décidé d’en faire désormais un rendez-vous annuel (elle se tenait de façon biennale).

En rappel, selon le classement de Reporters sans Frontières, le Burkina Faso est classé 5e au niveau Africain et 1er en Afrique Francophone en terme de liberté d’expression. Et sur le plan mondial, il est classé 37e .

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