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Pierre Nkurunziza, est décédé lundi à l'âge de 55 ans des suites d'un "arrêt cardiaque", a annoncé mardi la présidence burundaise dans un communiqué.

Dans la nuit de samedi à dimanche, Pierre Nkurunziza « a senti un malaise et s’est vite rendu à l’hôpital de Karuzi pour se faire soigner ». Mais si, selon le communiqué officiel, « son état de santé s’est amélioré » le dimanche, il a été victime d’un arrêt cardiaque dans la matinée du lundi.

« Une réanimation immédiate a été entreprise par une équipe multidisciplinaire de médecins pendant plusieurs heures avec une assistance cardio-respiratoire », précise le gouvernement burundais. Mais « l’équipe médicale n’a pu récupérer le patient ».

Les ministres de l’Intérieur des États membres de l’UE ont décidé, vendredi 5 juin lors d’une vidéoconférence, de revenir le plus tôt possible à une zone Schengen sans contrôles aux frontières intérieures et se sont, pour une majorité d'entre eux, fixé la date du 15 juin pour revenir à un espace Schengen presque intégralement fonctionnel. Les États membres qui ne seront pas en mesure de le faire à cette date pour des raisons sanitaires pourront encore garder leurs frontières fermées jusqu’à la fin juin. Madrid, par exemple, a déjà annoncé que les frontières terrestres du pays avec la France ou le Portugal ne seraient pas rouvertes avant le 22 juin.

Vendredi, les ministres ont également signalé leur souhait de rouvrir progressivement les frontières extérieures de l’UE au 1er juillet.

Cela signifierait donc que des voyageurs des pays tiers seraient à nouveau autorisés à voyager dans l’UE pour des voyages non essentiels alors que la Commission a recommandé jusqu’ici de prolonger ces restrictions jusqu’au 15 juin.

Mais cette réouverture de Schengen et de l’UE aux pays tiers se ferait aussi en fonction de critères, certains pays montrant encore un taux élevé d’infections au coronavirus devant encore faire l’objet de restrictions. 

Lors d’une conférence de presse, la secrétaire d’État croate aux Affaires européennes, Terezija Gras, a confirmé ces avancées et indiqué que « la majorité des États membres rouvrirait ses frontières au 15 juin et d’autres plus tard, en fonction de leurs conditions sanitaires ».

Les États membres ont aussi effectivement demandé à la Commission de prolonger les restrictions pour les voyages non essentiels vers l'UE « jusqu’à fin juin ». La Commission devrait donc proposer une communication en ce sens la semaine prochaine, a confirmé de son côté la commissaire européenne aux Affaires intérieures, Ylva Johansson.

« Presque tous les États membres ont exprimé leur souhait d'une légère prolongation » des restrictions pour les voyages non essentiels, au moins « jusqu'à début juillet », a indiqué la commissaire.

Quant à la zone de libre circulation dans Schengen, la discussion des ministres a donné la conviction à Mme Johansson « que l'on reviendra à un espace pleinement fonctionnel pas plus tard que fin juin ». 

Le 4 juin, la commission Libertés civiles du PE avait appelé les États membres à revenir à la normale. 

Beaucoup de pays, comme l’Allemagne, la Belgique, la France, l’Autriche et la Suisse avaient déjà misé sur le 15 juin, mais avec quelques limitations. La Suisse a confirmé cette date du 15 juin et a décidé également d'ouvrir sa frontière avec l’Italie.

Appel à l'aide de Malte

Les ministres ont aussi discuté de la situation migratoire en Méditerranée centrale et à Malte et ont écouté la présentation des priorités de la Présidence allemande du Conseil de l’UE.

La commissaire a indiqué avoir demandé aux États membres de venir en aide à la petite île qui cherche une solution pour faire accoster 250 migrants. La commissaire leur a demandé de s'accorder pour relocaliser sur leur territoire ces personnes secourues au large de la Libye

Les membres de la Coordination Nationale des Enseignant-e-s du Privé du Burkina (CNEP-B) ont tenu une conférence de presse ce mercredi 3 juin 2020 à Ouagadougou. Il a été question pour eux de faire le point sur les multiples injustices qu’ils traversent.

A en croire les propos du premier responsable de la Coordination Nationale des Enseignant-e-s du Privé du Burkina (CNEP-B), Amadou Tindano, les enseignants vacataires souffrent ces temps-ci.

Selon lui, de nombreux vacataires, “laissés à eux-mêmes” ont vu leur contrat être rompu « sans aucune raison apparente » et sans aucun texte qui puisse valider cette rupture. Il a indiqué qu’il s’agit d’une rupture qui ne peut se faire normalement qu’en cas de force de majeure.

« Il n’y a pas de base juridique de la rupture des contrats des enseignants vacataires. L’école ne saurait être assimilée à une usine », a-t-il indiqué. Il a poursuivi en affichant leur mécontentement et leur étonnement suite aux différentes déclarations du ministre de l’éducation, Pr Stanislas Ouaro. « Nous sommes étonnés que même le ministre dise sur un média de la place qu’il n’a aucun engagement avec les vacataires », a affirmé Amadou Tindano.

Cependant, « les enseignants vacataires sont une minorité. Leur contrat ne couvre pas non plus toute la période de leur vacance », a-t-il expliqué.

La coordination nationale des enseignant-e-s du privé du Burkina dit attendre du ministère de l’éducation la satisfaction de trois principales préoccupations.

Ce sont l’accompagnement des travailleurs des établissements d’enseignement privé avec une allocation nécessaire pour toute la durée de la fermeture des établissements ; le maintien des contrats des agents engagés comme permanents par lesdits établissements durant la période de fermeture et le paiement régulier de leurs salaires ; la régularisation des arriérés de paiement constatés dans certains établissements.

La CNEP-B a lancé par ailleurs un appel à tous les travailleurs du privé à, entre autres, boycotter toutes les instances dans les différents établissements sur toute l’étendue du territoire ; exiger les paiements des arriérés et des salaires du mois de juin avant la fin de la semaine ; entreprendre toutes les initiatives utiles pour faire entendre leur voix dans les différentes régions.

Le Congrès pour la Démocratie et le Progrès s’est prononcé sur la double attaque survenue le 30 mai 2020 dans les régions de l’est et centre-nord à travers un communiqué daté du 01 juin. Suite à cette attaque, le CDP fustige un abandon et une insouciance du gouvernement.

La substance de ce communiqué avec Cheick Omar Ouédraogo.

Pour l’ex parti au pouvoir, les attaques du 30 mai 2020 dénotent l’abandon, la négligence et surtout l’insouciance du gouvernement.

Le parti accuse le gouvernement d’être préoccupé par sa réélection en menant des activités de campagnes déguisées plutôt que de s’occuper de la sécurité du peuple burkinabè.

Sur la question de l’éducation, toujours selon le CDP le gouvernement a sacrifié l’éducation de toute une génération, préférant la maintenir dans l’ignorance.

Se prononçant sur les taxes imposées aux fonctionnaires, le parti estime que le gouvernement préfère la clochardisation des fonctionnaires par l’application de certaines taxes jugé injuste.

Le CDP exige donc du gouvernement une gestion professionnelle de la défense et de la sécurité du pays, la protection de toutes les populations et le respect des droits humains.   

Au sortir du Conseil des ministres de ce mercredi 27 mai 2020, le ministre porte-parole du gouvernement, Rémis Fulgance Dandjinou était en compagnie de son collègue en charge du Commerce, Harouna Kaboré et celui en charge de l’Education nationale, Stanislas Ouaro, pour le bref compte-rendu aux hommes des médias.

Et des trois membres du gouvernement, le dernier cité était le plus attendu, à moins d’une semaine de la reprise programmée des activités pédagogiques.

Sur la question, d’importantes décisions ont été prises par le Conseil des ministres, en lien avec le mode d’évaluation et de validation de l’année scolaire 2019-2020. Et ce, sur la base des rapports sur l’état d’exécution des activités pédagogiques.

Ainsi, pour le préscolaire, le Conseil a décidé de valider l’année scolaire 2019-2020. Dans les classes de CP1, CE1 et CM1, tous les élèves passent en classe supérieure, indépendamment des moyennes obtenues.

Quant aux classes de CP2, CE2 et les classes intermédiaires des enseignements post-primaire et secondaire, l’année scolaire est également considérée comme validée. Mais pour le passage en classe supérieure, il a été décidé que c’est la meilleure moyenne obtenue par l’élève au cours des semestres ou trimestres qui fera l’objet d’appréciation. « Le gouvernement a décidé qu’aucun élève ne soit renvoyé pour insuffisance de résultats», a précisé le ministre Ouaro.

Par ailleurs, on retiendra que la date du 1er juin est maintenue pour la reprise des cours dans les classes d’examen. Et ce, jusqu’au 11 juillet 2020.

Pour ce qui est des examens, ils commenceront par le CEP, le BEP et le BEPC à partir du 14 juillet. Le Baccalauréat se tiendra, lui, du 3 au 27 août 2020.

En outre, il est prévu une réquisition, à titre exceptionnel, de l’ensemble des enseignants du 1er au 15 juillet 2020 en vue d’apporter un appui, notamment dans le cadre du respect des mesures barrières. De plus, recommandation a été faite afin que chaque enseignant poursuive avec les élèves qu’il a tenus au cours de l’année écoulée.

Pour la rentrée 2020-2021, le volet administratif est prévu pour le 15 septembre 2020 tandis que celui pédagogique aura lieu le 1er octobre 2020.

Au tour du ministre en charge du commerce, il a été question de la relance de la culture du coton. Et aux dires du ministre Kaboré, le gouvernement a apporté, au cours de la campagne écoulée, la manne financière de 28 milliards de FCFA aux fins de subventions, d’apurement des impayés, estimés autour de 11 milliards de FCFA, et d’amélioration du prix d’achat du coton.

En dépit des difficultés rencontrées dans le secteur, le ministre en charge du commerce a indiqué que le gouvernement a décidé de poursuivre ses efforts afin de permettre aux cotonculteurs de pouvoir faire face aux prix des intrants.

Aussi, le Conseil des ministres a décidé de concéder 10 FCFA par kilogramme de coton graine au titre de la campagne 2020-2021 en complément au prix qui sera en vigueur sur le marché.

A son tour, le porte parole du gouvernement a rapporté qu’au ministère en charge des Finances, le Conseil a décidé de la révocation de trois agents sans préjudice de poursuite pénale, pour «actes d’indiscipline d’une extrême gravité». Pour rappel, c’est au cours de la grève au sein de ce département que ces actes ont été posés.

Interpellé sur la question du couvre-feu, Rémis Dandjinou a précisé qu’il est toujours en vigueur, de 21 heures à 4 heures du matin. Pour ce faire, il en appelle à l’esprit de discipline et de respect des Burkinabè.

Dans le cadre de la lutte contre la maladie à Coronavirus, le ministre Dandjinou a aussi invité les populations au strict respect des mesures barrières, notamment le port des masques afin d’accompagner les acteurs de la santé dans leurs efforts de maîtrise de la maladie.

DCM/Ministère de la Communication
et des relations avec le Parlement

Le Premier ministre burkinabè Christophe Dabiré a appelé à nouveau, mardi, les syndicats à une trêve sociale, le temps de trouver «des résultats durablement satisfaisants pour tous».

«En attendant la conclusion des travaux engagés, j’invite tous les acteurs à s’investir pour l’apaisement du climat social afin d’aboutir à des résultats durablement satisfaisants pour tous», a déclaré mardi, le Premier ministre burkinabè Christophe Dabiré devant le Parlement.

Le front syndical est entré à nouveau en ébullition depuis février 2020, avec l’extension de l’impôt sur les primes et indemnités des agents publics, déjà effective dans le privé et le parapublic.

La suspension et les coupures de salaires appliquées aux travailleurs opposés à cette mesure, ont exacerbé les positions et le risque est grand, de voir encore les syndicats dans la rue, après la levée des mesures restrictives prises dans le cadre du Covid-19.

Selon le Premier ministre, le gouvernement compte achever la réforme du système de rémunérations dans une optique d’équité et de justice.

«Le gouvernement agit dans ce sens, en étant conscient de la nécessité d’apurer d’abord le passif des engagements pris et d’apporter ensuite des réponses aux préoccupations nouvelles des travailleurs» , a assuré Christophe Dabiré.

Agence d’information du Burkina

 

Le Premier ministre burkinabè Christophe Dabiré a assuré mardi que les Forces armées travaillent dans le respect des droits humains, alors qu’elles sont accusées d’avoir exécuté sommairement le 11 mai, douze civils à l’Est du pays.

Accusées d’avoir exécuté sommairement le 11 mai, douze civils peuls à l’Est du pays, les Forces armés du Burkina avaient été également accusées par le Haut-commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés (HCR), d’avoir violenté le 02 mai, des réfugiés maliens à Mentao (Nord), et également par Human Rights Watch d’avoir exécuté sommairement 31 civils peuls à Djibo (Nord).

En réponse à ces accusations, le Premier ministre burkinabè Christophe Joseph Marie Dabiré, a «rassuré qu’elles (Forces armées) interviennent en ayant à l’esprit, le respect des droits humains et la sécurité des personnes qui ont trouvé refuge au Burkina Faso».

Le Premier ministre burkinabè s’exprimait lors d’un discours sur la situation de la Nation de l’année 2020.

«D’ailleurs, le rapport présenté par notre pays l’année dernière, devant le Comité des Nations Unies de lutte contre la torture, (…) a valu au Burkina Faso d’être élu comme membre du Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU» a argumenté M. Dabiré.

«De même, les progrès accomplis en matière de gestion des réfugiés ont favorisé l’acceptation de notre candidature comme membre statutaire au Comité Exécutif du Programme du Haut-commissariat des nations Unies pour les réfugiés», a-t-il ajouté.

Agence d’information du Burkina

 

Le ministre de la sécurité a effectué une sortie terrain   pour constater de visu le contrôle du port obligatoire de masque. Ce contrôle consiste à sensibiliser une fois de plus la population sur l’importance du port du masque afin de briser la chaine de contamination de la maladie à coronavirus.

Le ministre de la sécurité, Ousséni compaoré s’est rendu sur trois sites pour s’assurer de l’effectivité du contrôle du port obligatoire de masque ou cache-nez, entré en vigueur depuis le 27 avril 2020. Pour le ministre, ce contrôle s’inscrit dans une campagne de sensibilisation et non de répression. « les fds contribuent aussi à leur manière, pas seulement en faisant des contrôles mais aussi en sensibilisant, en mettant à la disposition du CORUS des moyens de communication qui contribuent à l’interruption de la chaine de contamination » dit-il.

Des bavettes ont également été distribuées aux contrevenants lors du passage du ministre pour appuyer cette sensibilisation. Néanmoins le constat chez certains usagers est tout autre .« des gens ont des masques mais ils ne portent pas. C’est une question de sensibilisation et ils doivent comprendre que le port du masque est obligatoire » souligne le ministre.

Le ministre de la sécurité se dit  toutefois satisfait de l’adhésion d’une majorité des Burkinabès dans le port du masque en stipulant que « les Burkinabès ont pris conscience de l’utilité du port du masque. 80% en portent, 10% ont les masques dans leurs sacs et 10% ne l’ont pas ou l’ont oublié à la maison ».

Comme toute loi,  des sanctions découlerons à l’endroit des réfractaires, souligne le ministre tout en en précisant que l’objectif n’est pas la sanction mais l’interruption de la chaine de transmission du virus.   

Cheick Omar Ouedraogo (stagiaire)

Notre pays le Burkina Faso traverse des moments difficiles sans précédent. Des actes de haine, de rejet des autres, de discriminations et de défiance de l’autorité de l’Etat menacent dangereusement notre « vivre ensemble en paix ». Dans ce contexte, la construction de la paix et la nécessité de promouvoir le vivre ensemble en harmonie sont plus que jamais indispensables.

Le gouvernement du Burkina Faso en général et mon département en charge de la Cohésion sociale en particulier, s’évertue au quotidien à créer un environnement apaisé et à cultiver  un esprit de paix, condition sine qua non du bien-être des populations, de stabilité et de développement durable.

La Journée internationale du vivre ensemble en paix (JIVEP) , célébrée chaque année le 16 mai, est selon les Nations Unies : « un moyen de mobiliser régulièrement les efforts de la communauté internationale en faveur de la paix, de la tolérance, de l'inclusion, de la compréhension et de la solidarité, et l'occasion pour tous d'exprimer le désir profond de vivre et d'agir ensemble, unis dans la différence et dans la diversité, en vue de bâtir un monde viable reposant sur la paix, la solidarité et l'harmonie. »

La commémoration de la JIVEP, au regard la situation que vit notre pays, est l’occasion d’une introspection individuelle et collective, un ardent moment de réflexion aux moyens et aux actions concrets à poser en vue d’améliorer le vivre-ensemble et de favoriser la tolérance, l'inclusion, la compréhension et la solidarité.

Comme l’affirmait le philosophe Baruch Spinoza : « La paix n'est pas l'absence de guerre, c'est une vertu, un état d'esprit, une volonté de bienveillance, de confiance, de justice. » Faisant mienne cette pensée, je puis rappeler à chacun et à tous que cette paix dont il est question n’est jamais un acquis, mais une quête permanente. En effet, c’est un processus positif, dynamique, participatif qui favorise le dialogue et le règlement des conflits dans un esprit de compréhension mutuelle et de coopération. Il nous incombe alors de respecter et de comprendre la diversité des cultures, des religions et des opinions.

En cette journée, je rends hommage à tous les artisans de la paix dans notre pays pour leurs  efforts inlassables déployés pour instaurer la paix. J’appelle tous les acteurs (politiques, religieux, coutumiers, OSC) de notre société à œuvrer pour la tolérance, car  convaincu à la suite de l’ancien Secrétaire général des Nations Unies Kofi Annan, « La tolérance est une vertu qui rend la paix possible. »

Bonne Journée internationale du vivre ensemble en paix !

Vive la paix au Burkina Faso et dans le monde !

 

                                                                                                    Siméon Sawadogo,

Officier de l’Ordre de l’Etalon

Ouagadougou, le 02 Mai, les secteurs structurés du Mouvement du Peuple et du progrès ont remis à l’équipe capitale, du matériel de protection contre le Covid-19.L’ensemble des kits est composé de laves mains, du gel hydro-alcoolique, du savon et des cache nez.Ces dons s’inscrivent dans une série d’efforts promus, par les secteurs structurés du MPP, pour soutenir les médias à stopper l’expansion du Covid-19 au Burkina Faso.

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